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France Football: Ahcène Lalmas au top des 10 icônes oubliées du foot africain

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  • France Football: Ahcène Lalmas au top des 10 icônes oubliées du foot africain

    France Football: Ahcène Lalmas au top des 10 icônes oubliées du foot africain
    PARIS - Le meilleur footballeur algérien de tous les temps, Ahcène Lalmas, décédé le 7 juillet dernier, a été classé par France Football à la tête des dix icônes oubliées du football africain.

    L'ancien international algérien figure aux côtés des joueurs Jomo Sono (Afrique du Sud), Karim Abdul Razak (Ghana), Jean Manga Onguéné (Cameroun), Serge-Alain Maguy (Côte d'Ivoire), Paul Moukila (Congo), Godfrey Chitalu (Zambie), Mahmoud al-Khatib (Egypte), Olusegun Odegbami (Nigeria) et Peter Dawo (Kenya).

    Lire aussi: Football : Lalmas, meilleur joueur algérien de tous les temps n'est plus
    "S'ils ont marqué l'histoire sur leur continent, ils n'ont pas eu la notoriété qu'ils méritaient hors d'Afrique", a écrit le magazine du football dans sa dernière livraison.

    Pour Ahcène Lalmas, le magazine a considéré que pendant une belle décennie, juste après l'indépendance de l'Algérie, le capitaine du Chabab Riadhi Belcourt (CRB) "a incarné un football technique et inspiré", soulignant qu'à la tête du club algérois, il a tout conquis sur le plan local et même dans les Coupes maghrébines.

    France Football se remémore que lors de la première participation de l'Algérie en Coupe d'Afrique des nations (Ethiopie-1968), Lalmas avait réussi un triplé contre l'Ouganda sans pour autant parvenir à qualifier son pays pour le dernier carré.

    Lire aussi: Feu Ahcène Lalmas était "l'un des piliers du football algérien" (Président Bouteflika)
    "Longtemps considéré comme le meilleur joueur algérien, il a hésité à franchir le pas du professionnalisme, alors qu'il ne manquait pas d'offres", a écrit le magazine.

    "Grand dribbleur, il brille avec la sélection en 1964 à l'occasion d'un match amical contre l'URSS (2-2) où il avait marqué un but à Lev Yachine", a-t-il encore rappelé.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    Lalmas, meilleur joueur algérien de tous les temps n'est plus

    ALGER - L'ancien international algérien dans les années 1960 et 1970, Ahcene Lalmas, est décédé samedi à Alger à l'âge de 75 ans suite à une longue maladie.

    Vivant complètement en retrait, Lalmas a évité ces dernières années tout contact avec le milieu du football ou de la presse. Il se trouvait en convalescence pour des problèmes de santé.

    Considéré comme le meilleur joueur algérien de tous les temps, selon un sondage organisé par le journal sportif Echibek à la fin de 1999 auprès de 150 personnes entre joueurs, entraîneurs, dirigeants, arbitres et journalistes, Lalmas a marqué de son empreinte le football algérien.

    Il a débuté sa carrière footballistique avec l’OM Ruisseau, réalisant un record original qui n’a d’ailleurs jamais été battu par un autre joueur. Il a inscrit à lui seul 14 buts en une seule rencontre officielle. C’était un match éliminatoire de Coupe d’Algérie contre la formation de Birtouta, qui avait encaissé ce jour-là 18 buts.

    Lalmas a ensuite signé une licence au sein du club voisin, le CR Belcourt, créé en 1962 de la fusion de deux formations, le WRB et le CAB. Avec le Chabab, il a marqué le football algérien des années soixante.

    Il a décroché 4 titres de champion (1965, 1966, 1969 et 1970), trois Coupes d’Algérie (1966, 1969 et 1970) et trois fois (1970, 1971 et 1972) le titre maghrébin.

    En équipe nationale, il a été convoqué pour le premier match de l'Algérie indépendante, le 6 janvier 1963, contre les espoirs de la Bulgarie : il n’avait pas encore dépassé les 20 ans lorsqu’il a été appelé par le trio d’entraîneurs composé d'Abdelkader Firoud, Smaïl Khabatou et Abderrahmane Ibrir.

    Evoluant en Algérie, Lalmas était toujours appelé en sélection, même lorsqu’on faisait appel aux joueurs professionnels exerçant en France, ceux qui avaient fait les beaux jours de l’équipe du FLN.

    Les anciens se remémorent le match livré le 4 novembre 1964 à Alger devant la grande équipe de l’ex-Union soviétique qui possédait dans ses ranges plusieurs célébrités dont Lev Yachine, considéré jusqu’à aujourd’hui comme le plus grand gardien de tous les temps.

    Menés au score (2-1), les Algériens avaient enregistré en seconde mi-temps la rentrée de Lalmas qui avait réussi à égaliser pour son équipe d’une magistrale reprise de la tête qui avait pris à défaut Yachine.

    La légende Lalmas était née. Ahcene fera l’histoire du football algérien tant son influence sur le jeu, sa combativité, sa maîtrise du ballon, son extraordinaire clairvoyance, ses dribbles déroutants et son sens très aigu du but étaient développés chez ce joueur comme on en fait peu. A son ombre pousseront de jeunes talents qui ont pour noms Amirouche, Fréha, Salhi, Seridi, Selmi, Kalem et Betrouni, entre autres.

    En plus de ses qualités de buteur, Lalmas a toujours eu un certain ascendant sur ses coéquipiers, ce qui l’amena petit à petit à se transformer en stratège, abandonnant le poste d’avant-centre. Son intelligence de jeu, ses qualités de meneur d’hommes et ses accélérations décisives en avaient fait l’un des joueurs les plus complets du continent africain.

    A la fin de sa carrière, il avait quitté le Chabab pour intégrer le NA Husseïn-Dey avec sa pléiade de jeunes talents qui avaient pour noms Ali Fergani, Mohamed Khedis, Meziane Ighil et Mahmoud Guendouz.Lalmas a également exercé comme entraîneur des sélections nationales de jeunes (juniors) lors des années 1980.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

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    • #3
      Dommage que ce grand joueur talentueux qu'est Hacéne Lalmas n'ait pas pu sortir du territoire dans les années 1970 pour jouer en Europe car beaucoup d'équipes européennes le voulaient entre autres A.S .St Etienne , en effet à cette époque le règlement interdisait à tout joueur Algérien d'opérer à l’étranger, quelle saute décision !
      Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre.
      (Paul Eluard)

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      • #4
        Lalmas, Kalem, Gamouh, les meilleurs de cette époque
        y avait aussi Tahir dans une moindre mesure, selon moi.

        Abrouk, meilleur gardien.

        Le CRB meilleur club.

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        • #5
          Kedou betrouni cerbah
          Des noms qui me reviennent aussi

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          • #6
            Achour,Selmi...
            Le métier de Lalamas allah yerahmou,commissaire de police.

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