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80% de femmes mariées subissent la violence conjugale

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  • 80% de femmes mariées subissent la violence conjugale

    La violence envers les femmes n’a pas uniquement des conséquences psychologiques, physiques et sociales très dramatiques, mais entame des effets très sérieux et déstabilisants dans la société entière....
    Dóu le Pourquoi de sa considération comme la moitié de la société, sa base ou son pilier...

    =
    Selon le ministère chargé de la Famille et de la Condition féminine, la violence à l’égard des femmes en Algérie atteint un seuil critique. En 2006, 80% de femmes mariées ont subi la violence conjugale, un chiffre choquant qui reflète malheureusement la triste réalité. L’association nationale SOS femmes en détresse de la wilaya d’Alger, qui a traité des résultats concernant ce phénomène, a estimé que sur 12 172 appels, 55% des cas sont relatifs à la violence conjugale. Les femmes agressées avaient un âge compris entre 26 et 45 ans, de différents niveaux de scolarité (moyen, secondaire et universitaire).
    Côté agresseur, dans la plupart des cas de violence, l’auteur est le mari, alors que la nature de cette agression se résume dans plus de 60% des cas à des coups et blessures volontaires, en outre du frère, du fiancé et du fils envers sa mère.
    Ces chiffres, selon Mme Sabrina Ouared, directrice et secrétaire générale de ladite’association, décrivent les mentalités souvent archaïques des Algériens qui restent convaincus que le mari à le droit de frapper sa femme quant elle sorte du droit de chemin. Ou encore certains aussi se disent que la femme doit être corrigée.
    «Nous sommes une société violente qui justifie la violence»», a-t-elle ajouté.
    En termes de réaction, Mme. Sabrina Ouared a estimé que les choses n’avance pas rapidement mais il y a une certaine conscience que «la violence n’est pas un acte normal».
    Aussi, la majorité des femmes agressées ne demandent pas le divorce, elles veulent une solution miracle pour que la violence cesse. Actuellement, les femmes battues cherchent à connaître leur droit mais aussi se défendre. Cela est déjà important, car «on considère que c’est le premier pas vers le changement».
    Elle a souligné, par ailleurs, qu’il y a un refus total de plus en plus des parents d prendre en charge leurs filles divorcées et ses enfants, et ce, à cause de la cherté de la vie, a souligné la même responsable.
    S’agissant de la nouvelle loi qui donne le droit à la femme de garder le domicile conjugal, M. Sabrina Ouared a expliqué que «si le mari demande le divorce et si la femme A des enfants, elle reste dans le domicile jusqu’a ce qu’il trouve une autre maison ou lui paye entre 4 000 DA et 6 000 DA pour louer».
    Selon elle, ce nouveau système ne règle pas vraiment le problème, car il ne prend pas en considération la réalité socio-économique de notre pays et en plus il y a des gens qui se déclarent en faillite pour ne rien payer.
    Par ailleurs, la violence de famille vient en deuxième position avec 12% des cas enregistrés par l’association dont aussi la violence de la belle famille qui existe jusqu’à maintenant. La violence sexuelle, quant à elle, occupe la 3e place avec seulement 6,5%. Vu que les gens n’osent pas en parler, à cause de la peur ou de la haine, les statistiques de la violence sexuelle sont très minimes qui sont loin de la réalité.
    Le phénomène de la violence reste un tabou dans nos sociétés et il doit être suivi par des études sur le terrain en coordination avec les autorités et des différentes institutions concernées, ainsi qu’une sensibilisation à tous les niveaux et un travail sur l’aspect genre. Enfin, l’objectif de SOS femmes en détresse est «d’aider la femme en détresse, ainsi que ses enfants, de l’informer sur ses droits et les défendre et de créer des foyers d’accueil et d’hébergement.


    -La nouvelle repubilque

  • #2
    D ou a t on tirer ces 8o pour cent, meme le pape n y croit pas, si comme dire que toutes nos meres sont battus, arreter ce cirque de desinformation gratuite, les femmes battus existent mais tres tres rarement dans notre temps que ce soit en algerie ou au maghreb.

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    • #3
      je vois que tu manque de réalisme revolutionna
      franchement la violance contre les femmes était et est toujours un sport nationnal
      les femmes sont battu soit par le père, le frère ou le mari
      si une femme veut porter plainte, on lui répond que ça se fait pas 3ibe et puis c'est normale y a pas de quoi se pleindre

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      • #4
        un sport nationnal



        la femme maghrébine aiment tellement la boxe et sa façon de se surestimer dans sa chance de gagner le combat fait qu'elle est toujours la perdante .
        Mr NOUBAT

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