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    Dernière modification par absente, 26 avril 2007, 09h11.

  • #2
    Laisse tes douleurs d'être emportées par mes vagues
    Laisse ta peine se noyer au fin fond de mon océan
    Laisse-toi emporter par la douceur des mes vagues
    Elle t'emmeneront au pays des merveilles
    Là où la serinité règne
    Où l'amour l'emporte
    Là où la joie s"installe sans être invitée
    Viens, suis ma vague
    Elle te déposera sur le sable
    Pour contempler ce beau paysage
    Les montagnes verdâtres
    Viens et oublie tout car mon monde est beau.
    Dernière modification par Absente, 08 mars 2007, 09h56.

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    • #3
      Thin,

      Ce que tu as écrit est très beau, et je parle en connaissance de cause.
      Je passe beaucoup de mon temps à regarder la mer, ses vagues, le reflet du ciel sur sa surface argentée par temps calme, et dès qu’il fait beau, je passe parfois des heures dans l’eau à admirer ses fonds et tout ce qui s’y trouve.
      Et, dans mes moments de tristesse, c’est face à la mer que je trouve du réconfort, car elle inspire des rêveries qui conviennent à notre état d’âme et donnent du plaisir à la mélancolie.
      Merci et au plaisir de te relire.

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      • #4
        .......................................
        Dernière modification par absente, 26 avril 2007, 09h12.

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        • #5
          Heureux de te retrouver en forme, Tin.

          Tin, ton message passe inéluctablement; cinq sur cinq. La mer a toujours été l'endroit idéal où l'on dépose aussi bien ses rêves que son amertume, comme l'a si bien dit notre ami Laari. La mer aussi est un symbôle de bonheur immense, d'espoir grandiose et de sentiment pûr et inaliénable. Elle peut être pressentie comme une protection face à un danger immatériel qui menacerait un bonheur fragile ou un rêve inachevé. Je te dédis ce texte.

          Dans cette île…

          Dans cette île idyllique aux couleurs de printemps
          Habitée par deux êtres esseulés trop longtemps
          Attendant patiemment un bonheur en retour
          Un orage inquiétant vient de couvrir ses alentours.

          Les vagues telles des montagnes grondent avant d’étaler
          Sur les plages leur écume et venir mourir sur les galets
          Le vent rude entraînant des bourrasques effrayantes
          Pourrait bien perturber un peu, cette retraite fascinante

          Grisâtre et voilé est soudain devenu ce coin de ciel
          Invitant la tempête, mais là hélas, n’est pas l’essentiel
          J’ai peur que cette couleur ne s’enfonce vers le noir
          Et que ces deux hôtes ne puissent plus rien entrevoir.

          Liés par un langage qu’eux deux, peuvent comprendre
          Ils sont seuls à connaître cette île et ses méandres,
          Si l’orage, par malheur, venait à tout détruire,
          Eux aussi, je le crains, pourraient bien en mourir.

          J’implore le ciel pour qu’enfin, il ordonne l’éclaircie
          Dieu m’entendra, c’est certain, et je l’en remercie.
          Deux êtres aussi rayonnants sur leur île fantastique.
          Ne peuvent finir leur rêve d’une façon aussi tragique.
          Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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