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L’invention d’une start-up marseillaise vous donne l’heure… à condition d’un peu de calcul mental. Un objet beau et ludique.
Depuis son espace de travail installé dans le quartier de la Belle-de-Mai, à Marseille (Bouches-du-Rhône), et grâce à son site (www.albertclock.com), Axel Schindelbeck vend et expédie dans 37 pays son Albert Clock, une horloge design « qui fait chauffer les neurones », également présente dans des boutiques de musées en Allemagne et au Moma Design Store de New York. Disponible en trois couleurs pour 279 euros, cette horloge simple et belle propose des opérations de calcul mental pour déterminer l’heure qu’il est, avec six niveaux de difficulté et plusieurs vitesses.
« L’objectif est de faire travailler son cerveau le plus possible, c’est un bon prétexte pour faire des maths. Avec une technologie banale, Albert Clock sollicite beaucoup plus l’intelligence de l’utilisateur qu’un smartphone », explique le designeur allemand, installé depuis trois ans à Marseille et qui a fondé la start-up MNTNT avec un développeur parisien. « On a de la clientèle dans les écoles, des familles, des entreprises…
par :Marc Leras
le parisien.fr
Depuis son espace de travail installé dans le quartier de la Belle-de-Mai, à Marseille (Bouches-du-Rhône), et grâce à son site (www.albertclock.com), Axel Schindelbeck vend et expédie dans 37 pays son Albert Clock, une horloge design « qui fait chauffer les neurones », également présente dans des boutiques de musées en Allemagne et au Moma Design Store de New York. Disponible en trois couleurs pour 279 euros, cette horloge simple et belle propose des opérations de calcul mental pour déterminer l’heure qu’il est, avec six niveaux de difficulté et plusieurs vitesses.
« L’objectif est de faire travailler son cerveau le plus possible, c’est un bon prétexte pour faire des maths. Avec une technologie banale, Albert Clock sollicite beaucoup plus l’intelligence de l’utilisateur qu’un smartphone », explique le designeur allemand, installé depuis trois ans à Marseille et qui a fondé la start-up MNTNT avec un développeur parisien. « On a de la clientèle dans les écoles, des familles, des entreprises…
par :Marc Leras
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