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Le Maroc exige une réponse officielle de l’Algérie à la proposition de Mohammed VI

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  • Le Maroc exige une réponse officielle de l’Algérie à la proposition de Mohammed VI

    Si le Maroc espère pas recevoir une réponse par l'Algérie quant à la proposition funeste du narcotrafiquant et addictif à la coke M6, il s'avère qu'il s'emploie à bonne escient.

    On sait que l'Algérie n'a pas pour habitude de succomber aux desideratas d'autrui et au contraire, elle se bornera d'ignorance les injonctions d'autrui.

    - Le Maroc exige une réponse officielle de l’Algérie à la proposition de Mohammed VI

    Le ministère marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a reçu l'ambassadeur d'Algérie, lundi 26 novembre à Rabat. Il demande une réponse officielle de l'Algérie à la « main tendue » par Mohammed VI sur le dossier du Sahara occidental.

    Le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita, s’est entretenu lundi 26 novembre avec l’ambassadeur d’Algérie à Rabat afin d’exiger une réponse à la main tendue du roi Mohammed VI. « Cette rencontre intervient après plusieurs démarches, formelles et informelles, entreprises vainement, dix jours durant, afin d’établir un contact avec les autorités algériennes à un niveau ministériel », explique le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.

    Rabat prône une initiative bilatérale

    Cette rencontre intervient suite à la lettre adressée par l’Algérie au Secrétariat général de l’Union du Maghreb arabe (UMA), le 23 novembre, appelant à la tenue du Conseil des ministres des affaires étrangères de l’UMA. Une réponse qui ne satisfait pas Rabat, qui estime qu’elle « est sans rapport avec l’initiative royale » car « celle-ci est bilatérale, alors que la démarche algérienne s’inscrit dans le cadre de la relance de la construction régionale ».
    En effet, dans son traditionnel discours de la Marche verte, mardi 6 novembre, Mohammed VI avait proposé « la création d’un mécanisme politique conjoint de dialogue et de concertation ». Et le souverain d’affirmer : « Nous réitérons notre engagement à œuvrer main dans la main avec nos frères en Algérie »-.

    Jeune Afrique (extraits)

  • #2
    Comment Le ministre des A.E. se permet de dire qu'il ''exige'' une réponse de l’Algérie? Je pense qu'il n'y aura pas un rapprochement entre les deux pas tant que le Maroc refuse l'UMA.
    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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    • #3
      L'Algérie ne pourra pas fuir éternellement ses responsabilités ! Un jour ou l'autre elle viendra négocier bon gré mal gré

      Commentaire


      • #4
        Article complet

        DIPLOMATIE
        Le Maroc exige une réponse officielle de l’Algérie à la proposition de Mohammed VI
        26 novembre 2018 à 18h18
        Par Jeune Afrique
        Mis à jour le 26 novembre 2018 à 18h43

        Le ministère marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, a reçu l'ambassadeur d'Algérie, lundi 26 novembre à Rabat. Il demande une réponse officielle de l'Algérie à la « main tendue » par Mohammed VI sur le dossier du Sahara occidental.

        Le ministre des Affaires étrangères et de la coopération internationale, Nasser Bourita, s’est entretenu lundi 26 novembre avec l’ambassadeur d’Algérie à Rabat afin d’exiger une réponse à la main tendue du roi Mohammed VI. « Cette rencontre intervient après plusieurs démarches, formelles et informelles, entreprises vainement, dix jours durant, afin d’établir un contact avec les autorités algériennes à un niveau ministériel », explique le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.
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        inRead invented by Teads


        Rabat prône une initiative bilatérale
        Cette rencontre intervient suite à la lettre adressée par l’Algérie au Secrétariat général de l’Union du Maghreb arabe (UMA), le 23 novembre, appelant à la tenue du Conseil des ministres des affaires étrangères de l’UMA. Une réponse qui ne satisfait pas Rabat, qui estime qu’elle « est sans rapport avec l’initiative royale » car « celle-ci est bilatérale, alors que la démarche algérienne s’inscrit dans le cadre de la relance de la construction régionale ».

        En effet, dans son traditionnel discours de la Marche verte, mardi 6 novembre, Mohammed VI avait proposé « la création d’un mécanisme politique conjoint de dialogue et de concertation ». Et le souverain d’affirmer : « Nous réitérons notre engagement à œuvrer main dans la main avec nos frères en Algérie ».

        >> À LIRE – Main tendue de Mohammed VI : l’Algérie entre silence et méfiance

        Si le ministère marocain indique qu’il « n’a pas d’objection de principe quant à la tenue d’une réunion du Conseil des Ministres des Affaires étrangères de l’UMA », il insiste sur le fait qu’il « ne peut que douter que cette 35e réunion ministérielle puisse parvenir à des résultats tangibles, différents des 34 précédentes, en l’absence d’une bonne préparation et d’un dialogue direct responsable entre deux Etats membres de l’UMA ». Le dialogue voulu par le Royaume doit donc être « bilatéral, direct et sans intermédiaires » précise le communiqué.

        Alger tarde à répondre sur le fond
        Lors de cette entrevue avec l’ambassadeur d’Algérie à Rabat, le ministre a réitéré le souhait du Maroc d’obtenir une réponse officielle des autorités algériennes à la volonté de voir se mettre en place un mécanisme politique de dialogue et de concertation avec l’Algérie, tel que défendu par Mohammed VI. Le Maroc « demeure ouvert et attentif à toutes propositions de l’Algérie concernant le niveau, les déclinaisons, l’ordre du jour, les modalités et le rythme de ce dialogue bilatéral », précise le communiqué.

        Depuis cette annonce, le président algérien s’est contenté, lors de son traditionnel message à l’occasion de l’indépendance du pays, sa « détermination » à « consolider les relations de fraternité et de solidarité qui unissent » les deux voisins et à des « relations bilatérales basées sur le respect mutuel ». Des termes qui sont, peu ou prou, ceux utilisés dans les messages qu’adresse le chef d’État algérien au roi du Maroc à l’occasion des fêtes nationales ou religieuses. Le ministère marocain des Affaires étrangères se dit cependant « ouvert et optimiste quant au futur des relations entre les deux pays frères »
        Ja

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        • #5
          Le Maroc exige une réponse officielle de l’Algérie à la proposition de Mohammed VI
          .

          Les malades mentaux ??

          Le Maroc ordonne , veut que le voisin de l Est exécute ???
          A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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          • #6
            Nasser Bourita, s’est entretenu lundi 26 novembre avec l’ambassadeur d’Algérie à Rabat afin d’exiger une réponse
            mdrrrrr

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            • #7
              " Concernant la question du Sahara occidental, la position de l’Algérie n’a jamais changé et elle ne changera pas. La seule solution possible et légale est le respect du plan de paix de l’Organisation des Nations unies avec la tenue d’un référendum sur l’autodétermination du peuple sahraoui. Ce n’est pas un problème entre l’Algérie et le Maroc, c’en est un entre les représentants du peuple sahraoui et le royaume marocain."
              (…).
              Ainsi, quand en mai 2013 Hamid Chabat, le secrétaire général du parti Istiqlal, somme l’Algérie de restituer au Maroc les villes de Tindouf, Hassi Baida (lesquelles avaient constitué l’une des causes de la guerre des sables), Béchar et Elknadssa, les autorités algériennes réagissent avec une rare virulence, aussitôt relayée par la presse toutes tendances confondues. Dans nombre d’éditoriaux, la perspective habituelle avec laquelle le conflit du Sahara est abordé s’inverse.

              L’idée qui s’impose est que le but principal du Maroc n’est pas d’annexer définitivement le Sahara, mais bien de remettre d’abord en cause « l’intégrité nationale algérienne » — formule habituelle qui en appelle au sentiment et à la mobilisation nationalistes des Algériens.

              Durant les semaines qui suivront la sortie de Hamid Chabat, les médias et plus encore les internautes des deux pays continueront de s’invectiver sur, non pas le dossier du Sahara (objet quant à lui de polémiques récurrentes) mais sur les revendications propres au « Grand Maroc ».
              (…).
              Malgré ces prises de parole pour le moins iconoclastes et très médiatisées, la question de la position algérienne à l’égard du Sahara n’a jamais fait l’objet d’un vrai débat national. Officiellement, le consensus règne, hormis quelques exceptions comme celle du général Nezzar. La majorité de la classe politique, islamistes compris, n’a de cesse de réclamer le droit à l’autodétermination des Sahraouis tout en appelant néanmoins à des relations plus apaisées avec le « peuple frère » du Maroc.

              Ce discours, qui peut paraître paradoxal, est plus ou moins en phase avec l’opinion publique algérienne. Il convient, concernant cette dernière, de relativiser nombre d’affirmations concernant l’usage mobilisateur que les dirigeants algériens auraient fait de la question sahraouie. Contrairement à la cause palestinienne, le Sahara occidental n’a jamais servi de ciment ou d’incitation au nationalisme (sauf par ricochet dès lors qu’il s’agissait de s’en prendre au voisin marocain).

              Certes, la solidarité à l’égard des réfugiés dans les camps de Tindouf a fait l’objet de nombre de discours et de mobilisations mais sans jamais déclencher de passions. Si quelques ONG algériennes sont engagées dans des actions humanitaires en faveur des Sahraouis, de nombreux Algériens adoptent une attitude plutôt neutre, voire indifférente. Sans jamais aller jusqu’à nier leur droit à l’autodétermination des Sahraouis, cette opinion silencieuse tend à se comporter comme si ce problème ne concernait que ses dirigeants-.

              L'Orent XXI

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              • #8
                Le Maroc exige une réponse officielle de l’Algérie à la proposition de Mohammed VI
                Titre accrocheur mais qui n'apparaît point dans le communiqué officiel.

                C'est plutôt une demande réitéré qui est plus dans le souhait.

                C'est bien une Big difference Dans la forme et le fond.

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                • #9
                  Par sa cautèle d'exigence, le Maroc sait très bien qu'il n'obtiendra rien de l'Algérie.

                  Donc, aussi pourquoi cette dialectique maladroite ( "exige") par la dictature marocaine? Fuite désespérée du mendiant marocain?

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                  • #10
                    Notons qu'il ne s'agit pas de première étourderie marocaine par manque d'intelligence de sa diplomatie

                    -" D’autant qu’elle s’accompagne d’une proposition de pourparlers directs et surtout quasi officiels entre le Maroc et le Polisario – ce que le royaume a toujours considéré comme une hérésie.

                    Une préréunion entre experts se tient néanmoins à Pretoria, le 3 septembre 2004. Elle se passe mal. Un second rendez-vous est alors avancé : les 6 et 7 septembre 2004, toujours à Pretoria. Prétextant la visite concomitante au Sahara du représentant spécial de l’ONU, Alvaro de Soto, les Marocains, qui n’avaient aucune intention de s’y rendre, déclinent l’invitation. Thabo Mbeki est furieux, et le fil ténu, qui depuis dix ans retenait l’épée de Damoclès de la reconnaissance de la RASD, se rompt.

                    Restait à trouver l’occasion de franchir le Rubicon : ce sera la réunion du Parlement panafricain, en présence de députés sahraouis venus de Tindouf. Si la surprise est totale pour les Marocains, elle l’est beaucoup moins aux yeux de leur roi. En août, en effet, si l’on en croit les Sud-Africains, Thabo Mbeki aurait personnellement écrit à Mohammed VI afin de lui expliquer qu’il ne pouvait décemment accueillir des représentants d’un pays – la RASD – que l’Afrique du Sud n’aurait pas reconnu.

                    Pour le Maroc, qui juge la décision sud-africaine « partiale, tranchée, inopportune, contraire aux aspirations et aux intérêts du peuple » et qui a rappelé son ambassadeur à Pretoria, il s’agit donc là d’un incontestable revers – [B]lequel ne fait que confirmer un déficit diplomatique congénital que l’activisme et l’imagination de Hassan II ne sont plus là pour compenser[
                    /B].

                    Pour un Polisario euphorique qui envisage désormais de demander son adhésion à l’ONU, c’est une victoire dont il avait bien besoin. Pour l’Algérie, c’est un évident motif de satisfaction-.

                    Jeune Afrique extraits
                    Dernière modification par rago, 26 novembre 2018, 23h10.

                    Commentaire


                    • #11
                      On se croirait dans une cour d'école, le Sahara occidental est une affaire entre le Maroc et le SO, personne d'autre, la seule solution est un référendum d'autodétermination et rien d'autre.
                      Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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