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Le chef du Polisaio a été reçu en grande pompe au Sénat mexicain.

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  • Le chef du Polisaio a été reçu en grande pompe au Sénat mexicain.

    Les ONG mexicaines doivent tout ignorer du dossier relatif à la colonisation du Sahara Occidental:

    " Pauvre Mexique si près des USA et si loin de Dieu" édicte un adage.

    - Visite du chef du Polisario au Mexique, première réaction des ONG mexicaines

    Réagissant à l'invitation du chef du polisario pour l'investiture du nouveau président élu du Mexique, Andrés Manuel López Obrador, et l'accueil qui lui a été réservé au Sénat mexicain, un collectif d'ONG mexicaines a dénoncé via une pétition une "grave atteinte à la démocratie mexicaine".


    Première réaction à l'invitation du chef du polisario à Mexico pour l'investiture du nouveau président élu du Mexique, Andrés Manuel López Obrador. Dans un communiqué conjoint, dont copie est parvenue à le360, un collectif d'ONG mexicaines se dit très préoccupé par cet acte "attentattoire à la démocratie mexicaine".

    Dans le même communiqué, diffusé également sur le site ambajadastv.com, le collectif associatif s'étonne qu'un tel accueil officiel soit réservé au chef d'"un Etat fictif non reconnu par les Nations unies ni par les grandes puissances mondiales telles que la Chine, la Russie, les Etats-Unis, la France avec l'ensemble de l'Union européenne, encore moins par les grands pays d'Amérique Laine".

    "Comment le chef d'une entité fictive ait pu être invité à prendre part à un acte aussi symbolique et démocratique qu'une 'investiture présidentielle dans un contexte profondément multipartite et propre au système démocratique et à l'Etat de droit?", s'exclame le collectif d'ONG mexicaines.
    (…).
    "La visite de ce personnage est en contradiction flagrante avec les principes démocratiques prônés par le parti au pouvoir (Mouvement de régénération nationale, Morena, d'obédience castro-chaviste), c'est d'autant plus grave que cette visite est estampillée officielle au coeur d'un symbole de notre démocratie", assène le même collectif.

    Et d'enfoncer ce clou: "Il y a quelques mois, le juge de l'Audience nationale espagnole, José de la Mata, avait convoqué le secrétaire général du front Polisario, Brahim Ghali, pour répondre d'accusations de crimes génocidaires, d'actes de torture, de détentions arbitraires et de disparitions".

    Pour précision, les signataires de cette pétition sont entre autres Global Africa Foundation pour le Mexique, l'Assemblée de la société civile de Guerrero et Urbana de Oaxaca-.

    Le 360.ma
    Dernière modification par rago, 02 décembre 2018, 12h10.

  • #2
    " Le chef du Polisaio a été reçu en grande pompe au Sénat mexicain."

    Etonnante cette faute d'orthographe par le 360. ma? Commise par irritation?

    De plus, M. Brahim Ghali n'est pas président du Polisario, mais président de la RASD et donc nuance; ceci même si l'instruction marocaine est reconnue pour sa médiocrité.

    Commentaire


    • #3
      Il faut savoir que le Président de la RASD devrait bientôt se rendre en Afrique du Sud afin de prendre contacts avec les partenaires des indépendances sahraouie et palestinienne.

      - Les secrets de la nouvelle offensive du Polisario en Amérique Latine et aux Caraïbes

      Après Mexico, où il a été accueilli par le Sénat mexicain jeudi 29 novembre, le chef du Polisario a mis le cap mardi 4 décembre à la Havane, où il a reçu le soutien du nouveau président cubain, Miguel Diaz-Canel.

      Le chef du polisario poursuit sa quête de soutien en Amérique Latine et aux Caraïbes. Après le Mexique, où il a assisté à l'investiture samedi 1er décembre du nouveau président élu, le castro-chaviste Andrés Manuel López Obrador (A.M.L.O), Brahim Ghali s'est en effet rendu à La Havane, où il a été reçu en audience hier mardi 4 décembre par le nouveau président cubain, Miguel Diaz-Canel, élu en avril dernier, en remplacement de Raul Castro, frère du "lider" Fidel Castro.

      "Lors de cette rencontre, le président cubain a réaffirmé la solidarité de l'île avec la cause sahraouie et le soutien à son droit à l'autodétermination", rapporte l'agence Granma, porte-voix du parti communiste cubain.

      Bien sûr, ce soutien n'a rien de secret, la république cubaine n'a eu de cesse de l'apporter publiquement à la "rasd" depuis 1980, année à laquelle le Maroc avait rompu ses relations diplomatiques avec la Havane, en protestation contre la reconnaissance de la "rasd".

      Mais voilà, les relations entre Rabat et La Havane ont été rétablies en avril 2017 grâce à la diplomatie proactive du roi Mohammed VI. Près d'un an plus tard, le 29 juin 2018 précisément, un ambassadeur marocain a été installé pour la première fois à la Havane, en l'occurence le socialiste Boughaleb El Attar. Le 28 août dernier, c'est au tour d'Elio Eduardo Rodríguez Perdomo de remettre ses lettres de créance au MAECI, Nasser Bourita, en tant qu'ambassadeur plénipotentiaire et extraordinaire de son pays au Maroc avec Résidence à Paris.

      Depuis, plus rien ou presque. Après la percée royale entamée dans la "citadelle" cubaine -jadis forteresse imprenable, tellement elle était acquise au tandem Alger-Polisario-, la diplomatie marocaine ne s'est pas manifestée pour occuper le terrain, encore moins pour anticiper une "riposte" ennemie qui était plus que prévisible.

      Mais passons, car ce qui était vrai de Cuba l'était aussi du Mexique. Là encore, notre diplomatie, officielle et parallèle comprise, a péché par une absence d'anticipation inquiétante de ce qui allait advenir dans ce grand pays d'Amérique latine, soit l'arrivée au pouvoir du nouveau président élu du Mexique, en l'occurence Andrés Manuel López Obrador, d'obédience castro-chaviste.

      Or, le soutien marqué aujourd'hui aussi bien par Mexico que par la Havane à l'entité "rasd" est susceptible de fausser le jeu de la diplomatie marocaine. Ce soutien tombe à un moment où le front polisario a en effet perdu "du poil de la bête", depuis fin octobre dernier, en raison de la résolution à charge adoptée par le Conseil de sécurité, qui a renvoyé à dos et le front séparatiste et son mentor Alger, appelée à "s'impliquer pleinement" dans le nouveau processus mis en place par l'envoyé personnel du SG de l'ONU, Horst Köhler, à l'initiative de la "table ronde initiale" qui s'ouvre ce mercredi, en présence du ministre algérien des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel.

      C'est dans ce contexte que s'inscrit le périple latino-américian du chef du Polisario, qui s'y est rendu pour briser l'isolement où il se trouve actuellement. Qu'a fait la diplomatie marocaine, pour ne pas parler des partis de gauche, ou ce qu'il en reste, pour contrer cette "offensive"?-.

      Le 360.ma

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      • #4
        Si selon la position de la dictature chérifienne le Sahara Occidental est marocain, pourquoi alors miné son propre territoire?

        - Brahim Ghali saisit Guterres au sujet des mines «terrestres marocaines» au Sahara

        Le Front Polisario ne rate aucune occasion pour adresser ses lettres au secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres. Mardi, l’agence de presse du mouvement a annoncé que le secrétaire général du Polisario, Brahim Ghali a adressé une nouvelle lettre au secrétaire général des Nations unies lui demandant le «déminage» du territoire situé à l’ouest du Mur des sables.

        Dans sa missive, le patron du Polisario évoque des «mines qui menacent la vie de Sahraouis» et appelle le secrétaire général de l’ONU à «intervenir pour accélérer le déminage» de ces «restes d’explosifs de guerre qui constituent une menace quotidienne pour la vie des Sahraouis et de leurs propriétés».

        L’agence presse explique, de son côté, que les Sahraouis se déplacent, pendant la saison pluviale, vers «des terres proches du Mur des sables», ce qui reste «malheureusement accompagné» d’incidents «tragiques». Elle rappelle l’explosion, vendredi 14 décembre, de deux mines «terrestres marocaines», provoquant «la mort d’un Sahraoui et des blessures graves pour un deuxième».

        Brahim Ghali n’a pas raté l’occasion pour demander également à Antonio Guterres «d’imposer des mesures et de faire pression sur le Maroc pour qu’il procède au déminage du territoire». Il accuse même le Maroc de «remplacer les mines emportées par les inondations».

        Ya..bi

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