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Putsch de Skhirat : Des décennies de marginalisation d’Ahermoumou

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  • Putsch de Skhirat : Des décennies de marginalisation d’Ahermoumou

    Faut-il regretter que la tentative de putsch à Skhirat ait échoué? A l'époque (1971) certainement, mais à présent, c'est loin d'être sûr.


    - Putsch de Skhirat : Des décennies de marginalisation d’Ahermoumou

    Pour comprendre les conséquences de la tentative de putsch de Skhirat (1971), Ya..bi est parti à la rencontre de participants à cette opération. Ils nous confient ce qui s’est passé et parlent de leur ville, Ahermoumou. Rebaptisée Ribate El Kheir depuis, cette dernière semble avoir été oubliée, tel un châtiment collectif à ceux qui vivent là où tout a commencé.

    Le 10 juillet 1971 au Palais royal, le Maroc a vécu une première tentative de coup d’Etat, conduite par le général Mohamed Medbouh et le colonel Ahmed Ababou, qui a dirigé l’école militaire d’Ahermoumou. Sans connaissance de leur engagement dans cette opération, les élèves de cet établissement y ont pris part. Ce n’est qu’une fois au Palais royal et au milieu des fusillades qu’ils prennent conscience de la gravité de la situation.

    Sur les lieux, plusieurs morts ont été comptés dans les rangs des élèves militaires, tandis qu’une partie de ces derniers a rencontré par hasard le roi Hassan II (1962 – 1999). Confrontés à l’absence de leur commandant, d’autres encore ont préféré rentrer à l’école militaire d’Ahermoumou-.

    Ya..bi (extraits).

    https://www.youtube.com/watch?time_c...&v=wZRvLKgflVk
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