« La cybersécurité devient une question importante au Japon. Et nous allons prendre des mesures fermes de différents ordres à ce sujet », a indiqué ce vendredi le porte-parole du gouvernement japonais.
Le gouvernement nippon s'apprêterait à modifier les règles de ses appels d'offres pour en exclure les deux grands équipementiers chinois, soupçonnés par Washington d'une trop grande proximité avec le régime communiste de Pékin.
Suivant la décision de son allié américain, le gouvernement japonais s'apprêterait, à son tour, à interdire les équipementiers chinois Huawei et ZTE de ses grands appels d'offres. Selon le quotidien « Yomiuri », l'exécutif va très prochainement revoir les règles de ces grands contrats pour en écarter les acteurs chinois qui sont, soupçonnés d'entretenir des liens trop étroits avec le régime communiste de Pékin.
Interrogé ce vendredi matin sur ces révélations, Yoshihide Suga, le porte-parole du gouvernement, a refusé de confirmer clairement cette décision mais a reconnu que le Japon était en communication étroite avec les Etats-Unis sur les enjeux de cybersécurité. « La cybersécurité devient une question importante au Japon. Et nous allons prendre des mesures fermes de différents ordres à ce sujet », a précisé le responsable politique, qui est l'une des personnalités les plus influentes du pouvoir nippon.
lesechos
Le gouvernement nippon s'apprêterait à modifier les règles de ses appels d'offres pour en exclure les deux grands équipementiers chinois, soupçonnés par Washington d'une trop grande proximité avec le régime communiste de Pékin.
Suivant la décision de son allié américain, le gouvernement japonais s'apprêterait, à son tour, à interdire les équipementiers chinois Huawei et ZTE de ses grands appels d'offres. Selon le quotidien « Yomiuri », l'exécutif va très prochainement revoir les règles de ces grands contrats pour en écarter les acteurs chinois qui sont, soupçonnés d'entretenir des liens trop étroits avec le régime communiste de Pékin.
Interrogé ce vendredi matin sur ces révélations, Yoshihide Suga, le porte-parole du gouvernement, a refusé de confirmer clairement cette décision mais a reconnu que le Japon était en communication étroite avec les Etats-Unis sur les enjeux de cybersécurité. « La cybersécurité devient une question importante au Japon. Et nous allons prendre des mesures fermes de différents ordres à ce sujet », a précisé le responsable politique, qui est l'une des personnalités les plus influentes du pouvoir nippon.
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