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le LED est apparemment nocif au long cours..

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  • le LED est apparemment nocif au long cours..

    Une étude publiée dans science et vie démontré la nocivité de la lumière LED ..
    Quoi que avec la future augmentation des prix de l'électricité il n'y a que le LED qui arranger les choses .. choisir entre payer plus ou avoir la cécité après 60 ans .. :smily50:

    https://www.science-et-vie.com/quest...rage-led-47173

  • #2
    de quelle lumiére Parle-t-on ............... la bleue la rouge , la verte , la jaune , ............


    ou la blanche , Chaude , froide ou neutre .
    " Je me rend souvent dans les Mosquées, Ou l'ombre est propice au sommeil " O.Khayaâm

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    • #3
      Surtout la bleue mais toutes sont impliquées...quoiqu' une information récente montre que c'est surtout les lumières qui touchent directement l'œil et donc la rétine..

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      • #4
        La lumière LED :le nouveau soin de beauté

        dz(0000/1111)dz

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        • #5
          Le rayonnement bleu des ampoules LED

          Depuis quelques années, l’éclairage à diodes électroluminescentes (LED) est devenu très courant dans les environnements de travail. Il suscite cependant certaines interrogations et parfois des inquiétudes. Voici quelques informations et quelques conseils pour une utilisation judicieuse de la technologie LED.

          Quels avantages ? Quels risques ?

          Les avantages des éclairages LED
          Les LED (light emitting diodes ou diodes électroluminescentes) présentent de multiples avantages sur les autres dispositifs d’éclairage notamment les lampes à décharge (lampes à vapeur de sodium, lampe à vapeur de mercure, lampes aux halogénures métalliques) et les tubes fluorescents :
          pas de risque d’explosions
          pas de risque de bris de verre
          peu de risque de brûlure au contact
          pas d’émission de rayonnements ultraviolets ou infrarouges
          forte résistance aux chocs et aux secousses
          possibilité de gradation et d’intermittence de l’éclairage
          taille réduite qui permet de les intégrer dans de très petits espaces.

          Ces qualités spécifiques expliquent le développement rapide de l’utilisation des LED. On les rencontre aujourd’hui dans l’éclairage domestique, professionnel et urbain. On les retrouve également dans l’éclairage scénographique, dans certains types d’écrans d’ordinateurs, de téléviseurs, tablettes et téléphones, certains phares automobiles, dans les éclairages « scialytiques » des blocs opératoires, les projecteurs, les lampes de luminothérapie.


          Lumière : quelques définitions
          Flux lumineux : puissance lumineuse d'un éclairage, telle qu'elle est perçue par l'œil humain. Il prend en compte la sensibilité de l’œil à la longueur d’onde de la lumière, nulle dans l’ultraviolet et l’infrarouge, faible dans le bleu et le rouge, maximale dans le jaune-vert. Un flux lumineux s’exprime en lumen.
          Éclairement : flux de lumière incidente, par unité de surface. L’éclairement lumineux prend en compte la sensibilité de l’œil. Il s’exprime en lux (lumen/m²) et se mesure à l’aide d’un luxmètre.

          Luminance : flux de lumière émise, par unité de surface, dans une direction et selon un angle limité. La luminance lumineuse s’exprime en candela par mètre carré (cd/m²) et se mesure à l’aide d’un luminancemètre. Elle exprime l’aspect lumineux ou sombre d’un objet. A éclairement identique, un objet clair (A) sera plus lumineux qu’un objet foncé (B)
          Risques liés à l’utilisation des LED

          En 2010, l’ANSES a considéré que deux risques devenaient préoccupants avec l’emploi généralisé des LED : l’effet toxique de la lumière bleue sur la rétine et le risque d’éblouissement (Effets sanitaires des systèmes d’éclairage utilisant des diodes électroluminescentes (LED), ANSES ; 2010)
          Les effets de la lumière bleue
          Les effets toxiques
          Les LED émettent une lumière enrichie en bleu qui correspond à l’émission d’une proportion plus importante de rayonnements à des longueurs d’ondes courtes (de 350 à 500 nanomètres environ). Chez l’homme, la lumière bleue a des effets physiologiques qui, à des niveaux de luminance élevés, peuvent entraîner des atteintes de la rétine. L’exposition à la lumière bleue pourrait être un des facteurs à l’origine de certaines pathologies telles que la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA).

          La norme NF62471 définit quatre groupes de dangerosité pour les sources de rayonnements optiques liés à la durée d’exposition maximale admissible de l’œil à la lumière :
          GR0 - groupe de risque 0 : pas de risque quel que soit le temps d’observation de la source
          GR1 - groupe de risque 1 (risque faible) : temps d’exposition maximal de 10 000 s (3 h)
          GR2 - groupe de risque 2 (risque modéré) : temps d’exposition maximal de 100 s
          GR3 - groupe de risque 3 (risque élevé) : temps d’exposition maximal de 0,25 s
          Obligatoire à la vente, le marquage CE des lampes et luminaires impose d’afficher leur classement en termes de risques photobiologiques s’il dépasse GR1.

          Des risques visuels semblent présents lors de l’utilisation de LED de groupe de risque supérieur à 1, dans certaines conditions d’utilisation, notamment en cas de vision directe. Cela peut être le cas, pour des opérateurs, lors de la fabrication des lampes à LED, de leur contrôle qualité ou des opérations de maintenance. De même, par exemple, dans le milieu du spectacle des expositions importantes peuvent survenir lors des opérations de mise en place et de réglage des spots par les éclairagistes, ainsi que pendant le spectacle, pour les artistes.

          Les personnes aphakes (absence de cristallin), pseudophakes (cristallin artificiel), atteintes de DMLA et les consommateurs de substances photosensibilisantes (médicaments, cosmétiques…) peuvent montrer une sensibilité accrue à cette lumière bleue. Des études sont en cours pour évaluer précisément ces cas, ainsi que l’effet d’une exposition chronique à des doses plus faibles de lumière bleue.

          Le risque « Lumière bleue » est évalué vis-à-vis d’une valeur limite d’exposition journalière admissible (VLE). Lorsqu’il n’y a pas de gêne visuelle (moins de 10.000 cd/m² perçus, équivalents à un tube fluorescent T8 à nu), la proportion de lumière bleue émise par une LED blanche ne suffit pas à dépasser cette VLE (CEI/TR 62778, AFNOR 2014)

          Effets sur l’horloge biologique
          La lumière bleue émise par les LED peut avoir un effet important sur l’horloge biologique qui régule de nombreuses fonctions de l’organisme telles que l’appétit, la vigilance ou la température corporelle.
          L’horloge biologique est particulièrement sensible aux niveaux d’éclairement lumineux faibles (entre 30 et 100 lux) et de luminance faible tels ceux émis par un écran d’ordinateur ou une tablette (moins de 150 cd/m²). Une exposition pendant 2-3 heures inhibe partiellement la sécrétion de mélatonine. Les effets et les risques dépendent de l’heure à laquelle la lumière est perçue. En fin de journée, une exposition aux sources de lumière enrichies en bleu peut entrainer un décalage de l’horloge biologique et retarder l’endormissement.
          En revanche, une exposition en début de journée à ce type de lumière ne posera pas de problème et pourra même être bénéfique en facilitant l’éveil.

          Les risques d’éblouissement
          En termes de confort visuel, la luminance d’un tube fluorescent (10.000 à 15.000 cd/m²) est couramment admise en éclairage comme suffisante pour éblouir. Or, les LED peuvent présenter des luminances 1 000 fois plus élevées. Implantées dans le champ visuel des travailleurs, les LED peuvent être à l’origine d’éblouissements qui diminuent le confort de travail et peuvent favoriser la survenue d’accidents.
          Les risques liés au papillotement
          Des risques d’accidents du travail peuvent être liés au papillotement (flicker) des LED. Très variable d’un produit à l’autre, le papillotement peut donner l’illusion, par effet stroboscopique, qu’un objet en mouvement rapide (exemple : machine-outil) est lent ou immobile. La mauvaise perception de l’environnement peut alors devenir source de danger. Il n’y a actuellement aucune norme ni réglementation à ce sujet en Europe.

          Dernière modification par katiaret, 18 décembre 2018, 09h57.
          dz(0000/1111)dz

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