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Fétu de paille

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  • Fétu de paille

    Malgré sa force bien souvent,
    L’homme n’est qu’un fétu de paille
    Emporté par le moindre vent
    Du mal d’amour qui le tenaille.

    Avec son air parfois moqueur
    La femme est maîtresse de l’homme
    Quand il n’écouta que son cœur
    Adam a bien cueilli la pomme.

    En se disant souvent pressée
    Que de fois l’a-t-elle laissé
    Comme on abandonne un enfant
    Qui va attendre en pleurant.

    Si parfois il hausse le ton
    Parce qu’elle a franchi la barre
    Elle lui dit qu’elle en a marre
    Alors il redevient mouton.

    Mais dans des cas, c’est le contraire,
    La femme manque d’affection
    Pourtant elle voudrait lui plaire
    Faut-il qu’il y prête attention.

    Quand les époux se font la guerre
    Pour voir qui prendra le dessus
    De la vie, ils ne gardent guère
    Que les coups qu’ils auront reçus.

  • #2
    Merci Laari, j'ai apprécié ce nouveau jet.

    Cela me fait d'ailleurs fort plaisir de retrouver ta plume.

    Ton texte...j'y sens une note d'amertume, tu y décris la servitude...
    Toutes les femmes te paraissent elles aussi dictatrices...?

    Crie leur qu'on est le monde...Que le peuple finira par vaincre,
    Qu'ils ont le chiffre, qu'on a le nombre...Et que la rue nous appartient!

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    • #3
      bonsoir laari

      c'est avec beaucoup de plaisir que je lis tes poemes
      trés agréables
      merci
      Celui que les Dieux veulent détruire, ils le privent d'abord de son bon sens.

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      • #4
        Azul,

        Et moi, je découvre quelqu'un qui semble avoir une complicité certaine avec l'inspiration et la façon de dire les choses. J'aurais peut être changé quelques mots si je l'avais écrit, mais ton poème est agréable à la lecture. Merci à toi !

        Tazerwalt

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        • #5
          Salut, Laari.
          Alors que j'attendais avec impatience de te lire, celui là, et pas des moindres, a faillit me passer sous le nez, toujours à cause de cette fichue connexion.
          Que de vérités dans tes vers, Laari, et "artistement" bien dites. Tes festins, je m'en rassasie jamais. Bravo, l'ami.
          Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

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