Malgré sa force bien souvent,
L’homme n’est qu’un fétu de paille
Emporté par le moindre vent
Du mal d’amour qui le tenaille.
Avec son air parfois moqueur
La femme est maîtresse de l’homme
Quand il n’écouta que son cœur
Adam a bien cueilli la pomme.
En se disant souvent pressée
Que de fois l’a-t-elle laissé
Comme on abandonne un enfant
Qui va attendre en pleurant.
Si parfois il hausse le ton
Parce qu’elle a franchi la barre
Elle lui dit qu’elle en a marre
Alors il redevient mouton.
Mais dans des cas, c’est le contraire,
La femme manque d’affection
Pourtant elle voudrait lui plaire
Faut-il qu’il y prête attention.
Quand les époux se font la guerre
Pour voir qui prendra le dessus
De la vie, ils ne gardent guère
Que les coups qu’ils auront reçus.
L’homme n’est qu’un fétu de paille
Emporté par le moindre vent
Du mal d’amour qui le tenaille.
Avec son air parfois moqueur
La femme est maîtresse de l’homme
Quand il n’écouta que son cœur
Adam a bien cueilli la pomme.
En se disant souvent pressée
Que de fois l’a-t-elle laissé
Comme on abandonne un enfant
Qui va attendre en pleurant.
Si parfois il hausse le ton
Parce qu’elle a franchi la barre
Elle lui dit qu’elle en a marre
Alors il redevient mouton.
Mais dans des cas, c’est le contraire,
La femme manque d’affection
Pourtant elle voudrait lui plaire
Faut-il qu’il y prête attention.
Quand les époux se font la guerre
Pour voir qui prendra le dessus
De la vie, ils ne gardent guère
Que les coups qu’ils auront reçus.
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