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Peter Cherif, le commanditaire présumé des attentats de Paris de 2015. D. R.
Par Mesloub Khider – Peter Cherif, le terroriste français le plus recherché au monde, faisant l’objet d’un mandat d’arrêt international, pourchassé dans tous les pays de la planète, particulièrement dans les pays dominés par les djihadistes, dans les villes gouvernées par les islamistes, poursuivi depuis des années, Peter Cherif vient enfin d’être interpellé en France.
On le croyait réfugié dans une contrée lointaine inexpugnable, il résidait en fait dans une ville française à forte présence militaire, où les membres des services de renseignement sont légion, à savoir Djibouti.
Ainsi, des années durant, il aura échappé à la vigilance de la police française, à la traque des renseignements généraux français. Puis, rebondissement majeur inattendu : il vient d’être appréhendé, au moment sensible où toutes les forces de l’ordre françaises sont en butte au doute, en proie à une fragilisation de leurs compétences, aux protestations sociales, l’objet de toutes les attaques, pleinement occupées à réprimer les manifestations récurrentes des Gilets jaunes.
Apparemment, Peter Cherif aurait été arrêté par les supplétifs de la police française officiant dans l’agglomération française, à savoir Djibouti. Aussitôt interpellé, Peter Cherif a été transféré dans son pays natal, la France, traversée actuellement par une latente éclatante et épatante guerre civile. La déstabilisation du pays par cette guerre civile larvée aurait-elle précipité la résolution de la classe dirigeante française navrée de procéder à l’interpellation de Peter Cherif probablement hébergé aux frais de l’Etat français dans une luxueuse résidence située à Djibouti ?
En tout état de cause, cette arrestation tombe à point nommé. Elle permet au gouvernement de Macron de s’enorgueillir de sa force sécuritaire. Elle lui offre surtout l’occasion de redorer son blason blasé, son pouvoir désabusé, sa crédibilité usée. De détourner le regard de l’actualité sur cette extraordinaire interpellation opérée de manière secrète. Car, selon les médias bien déformés – pardon, très bien informés – aucune information n’a filtré sur les circonstances de l’arrestation de Peter Cherif.
Probablement las de vivre dans la clandestinité officielle sous la protection des forces de sécurité françaises, a-t-il décidé de se rendre aux autorités policières françaises djiboutiennes pour éviter la prison à Macron, menacé d’arrestation en cas de prise d’assaut de l’Elysée par les Gilets jaunes.
Peter Cherif aura été le sauveur du soldat Macron prêt à être soldé par ses souteneurs en raison de la mauvaise gestion de la Banque France à la tête de laquelle il a été propulsé pour distribuer les deniers publics à ses camarades de classe milliardaires, ses amis patrons des multinationales.
Décidément, les terroristes ne sont jamais autant exécutés ou arrêtés qu’aux moments instables du pouvoir français. Ces loups solitaires, délibérément mis en sommeil, se réveillent par hasard de leur léthargie opportunément aux époques les plus délicates pour les classes dirigeantes.
Au final, après avoir été gardé chaudement bien en vue, Peter Cherif vient d’être froidement mis en garde à vue par ses complices policiers.
M. K.DZPAT
Par Mesloub Khider – Peter Cherif, le terroriste français le plus recherché au monde, faisant l’objet d’un mandat d’arrêt international, pourchassé dans tous les pays de la planète, particulièrement dans les pays dominés par les djihadistes, dans les villes gouvernées par les islamistes, poursuivi depuis des années, Peter Cherif vient enfin d’être interpellé en France.
On le croyait réfugié dans une contrée lointaine inexpugnable, il résidait en fait dans une ville française à forte présence militaire, où les membres des services de renseignement sont légion, à savoir Djibouti.
Ainsi, des années durant, il aura échappé à la vigilance de la police française, à la traque des renseignements généraux français. Puis, rebondissement majeur inattendu : il vient d’être appréhendé, au moment sensible où toutes les forces de l’ordre françaises sont en butte au doute, en proie à une fragilisation de leurs compétences, aux protestations sociales, l’objet de toutes les attaques, pleinement occupées à réprimer les manifestations récurrentes des Gilets jaunes.
Apparemment, Peter Cherif aurait été arrêté par les supplétifs de la police française officiant dans l’agglomération française, à savoir Djibouti. Aussitôt interpellé, Peter Cherif a été transféré dans son pays natal, la France, traversée actuellement par une latente éclatante et épatante guerre civile. La déstabilisation du pays par cette guerre civile larvée aurait-elle précipité la résolution de la classe dirigeante française navrée de procéder à l’interpellation de Peter Cherif probablement hébergé aux frais de l’Etat français dans une luxueuse résidence située à Djibouti ?
En tout état de cause, cette arrestation tombe à point nommé. Elle permet au gouvernement de Macron de s’enorgueillir de sa force sécuritaire. Elle lui offre surtout l’occasion de redorer son blason blasé, son pouvoir désabusé, sa crédibilité usée. De détourner le regard de l’actualité sur cette extraordinaire interpellation opérée de manière secrète. Car, selon les médias bien déformés – pardon, très bien informés – aucune information n’a filtré sur les circonstances de l’arrestation de Peter Cherif.
Probablement las de vivre dans la clandestinité officielle sous la protection des forces de sécurité françaises, a-t-il décidé de se rendre aux autorités policières françaises djiboutiennes pour éviter la prison à Macron, menacé d’arrestation en cas de prise d’assaut de l’Elysée par les Gilets jaunes.
Peter Cherif aura été le sauveur du soldat Macron prêt à être soldé par ses souteneurs en raison de la mauvaise gestion de la Banque France à la tête de laquelle il a été propulsé pour distribuer les deniers publics à ses camarades de classe milliardaires, ses amis patrons des multinationales.
Décidément, les terroristes ne sont jamais autant exécutés ou arrêtés qu’aux moments instables du pouvoir français. Ces loups solitaires, délibérément mis en sommeil, se réveillent par hasard de leur léthargie opportunément aux époques les plus délicates pour les classes dirigeantes.
Au final, après avoir été gardé chaudement bien en vue, Peter Cherif vient d’être froidement mis en garde à vue par ses complices policiers.
M. K.DZPAT
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