SALIMA TLEMCANI 23 DÉCEMBRE 2018
Le dossier des migrants illégaux constitue pour le pays une préoccupation majeure, parce qu’il s’agit d’équilibrer entre la nécessité de respecter le droit humanitaire, et en même temps garantir la sécurité du pays, menacée par l’entrée de dizaines de djihadistes arabes exfiltrés de leurs pays d’origine et la récupération d’importantes quantités de missiles sophistiqués et de 48 millions de balles. Il y a 48 heures, cette menace est devenue pesante en raison de l’arrivée en Libye d’un navire bourré d’armement en provenance de Turquie. Pour les plus avertis, le scénario de déstabilisation se dessine et prend forme…
Prise entre la pression exercée sur elle pour ouvrir ses frontières sud aux flux massifs de migrants illégaux et entre la nécessité de protéger le pays des scénarios d’éclatement au nom du droit humanitaire qui a plongé des pays entiers dans le chaos, l’Algérie se trouve aujourd’hui confrontée à une des menaces les plus pesantes.
Ainsi, après la prolifération au nord du Niger de réseaux de passeurs lourdement armés, qui organisent l’acheminement au prix fort et dans des conditions inhumaines de centaines de migrants subsahariens et de l’Afrique de l’Ouest jusqu’aux frontières sud du pays, on assiste depuis quelque temps à une nouvelle route migratoire destinée à l’arrivée massive en Algérie de migrants arabes venant principalement de pays tiraillés par des conflits armés et minés par la profusion de groupes djihadistes financés par des pays tiers.
Opérées par les services de sécurité, les dernières arrestations de plus d’une centaine d’ex-combattants syriens de Daech ou d’Al Qaîda, ex-filtrés vers notre pays avec de fausses pièces d’identité, lèvent le voile sur une volonté délibérée de certaines officines à faire de l’Algérie une terre d’asile à des cellules subversives, bien armées et suffisamment financées pour constituer au moment opportun une nouvelle arène de combat.
En état d’alerte maximum, les forces de sécurité n’ont jamais récupéré autant d’armes aussi sophistiquées que durant ces derniers mois. Cela va des simples fusils mitrailleurs kalachnikov, jusqu’aux missiles anti-aviation et antichar, en passant par les obus, les lance-roquettes, les explosifs… De véritables arsenaux de guerre dissimulés en plein désert, prêts à l’utilisation au moment opportun par des cellules terroristes.
L’inquiétude commence à peser lourdement depuis quelque temps, nous révèle une source sécuritaire, «où l’on assiste à des mouvements suspects en Libye, notamment depuis ces dernières 48 heures, avec l’arrivée de Turquie d’un bateau bourré d’armes de guerre. L’objectif n’est pas uniquement de déstabiliser ce pays, mais aussi pour acheminer cet arsenal vers de futurs foyers de tension et de crise, dont l’Algérie». Pour nos interlocuteurs, «les missiles découverts ces derniers jours aux frontières sud du pays et les 48 millions de balles saisies constituent une véritable déclaration de guerre à notre pays.
Nos dispositifs aux frontières sont prêts et opérationnels. Les unités de l’Anp et tous nos services de sécurité sont mobilisés à un haut niveau. Ils feront face à toute tentative d’atteinte à notre intégrité territoriale». Nos sources se disent convaincues de l’existence «d’un plan de déstabilisation des pays du Maghreb qui se dessine et prend forme. Allons-nous assister au transfert du scénario du Moyen-Orient vers le continent africain ? Toutes les conditions sont réunies pour le déroulement de ce plan chaotique pour la région en général et pour notre pays en particulier».
En dressant ce constat inquiétant, nos sources disent lever le voile sur les enjeux qui se cachent derrière toute cette pression exercée sur l’Algérie, pour qu’elle ouvre ses frontières aux milliers de migrants, dont une partie servira pour des missions de mercenariat, comme cela se passe dans de nombreux pays qui ont sombré dans des guerres fratricides.
Raison pour laquelle des mesures très strictes en matière de contrôle ont été imposées, appuyées par une mobilisation permanente tout au long de la bande frontalière où une pression opérationnelle est maintenue, ce qui a permis des résultats remarquables en matière de récupération d’armes et d’arrestation de dizaines de personnes suspectées de mercenariat et détentrices de fausses pièces d’identité.
Le dossier des migrants illégaux constitue pour le pays une préoccupation majeure, parce qu’il s’agit d’équilibrer entre la nécessité de respecter le droit humanitaire, et en même temps garantir la sécurité du pays, menacée par l’entrée de dizaines de djihadistes arabes exfiltrés de leurs pays d’origine et la récupération d’importantes quantités de missiles sophistiqués et de 48 millions de balles. Il y a 48 heures, cette menace est devenue pesante en raison de l’arrivée en Libye d’un navire bourré d’armement en provenance de Turquie. Pour les plus avertis, le scénario de déstabilisation se dessine et prend forme…
Prise entre la pression exercée sur elle pour ouvrir ses frontières sud aux flux massifs de migrants illégaux et entre la nécessité de protéger le pays des scénarios d’éclatement au nom du droit humanitaire qui a plongé des pays entiers dans le chaos, l’Algérie se trouve aujourd’hui confrontée à une des menaces les plus pesantes.
Ainsi, après la prolifération au nord du Niger de réseaux de passeurs lourdement armés, qui organisent l’acheminement au prix fort et dans des conditions inhumaines de centaines de migrants subsahariens et de l’Afrique de l’Ouest jusqu’aux frontières sud du pays, on assiste depuis quelque temps à une nouvelle route migratoire destinée à l’arrivée massive en Algérie de migrants arabes venant principalement de pays tiraillés par des conflits armés et minés par la profusion de groupes djihadistes financés par des pays tiers.
Opérées par les services de sécurité, les dernières arrestations de plus d’une centaine d’ex-combattants syriens de Daech ou d’Al Qaîda, ex-filtrés vers notre pays avec de fausses pièces d’identité, lèvent le voile sur une volonté délibérée de certaines officines à faire de l’Algérie une terre d’asile à des cellules subversives, bien armées et suffisamment financées pour constituer au moment opportun une nouvelle arène de combat.
En état d’alerte maximum, les forces de sécurité n’ont jamais récupéré autant d’armes aussi sophistiquées que durant ces derniers mois. Cela va des simples fusils mitrailleurs kalachnikov, jusqu’aux missiles anti-aviation et antichar, en passant par les obus, les lance-roquettes, les explosifs… De véritables arsenaux de guerre dissimulés en plein désert, prêts à l’utilisation au moment opportun par des cellules terroristes.
L’inquiétude commence à peser lourdement depuis quelque temps, nous révèle une source sécuritaire, «où l’on assiste à des mouvements suspects en Libye, notamment depuis ces dernières 48 heures, avec l’arrivée de Turquie d’un bateau bourré d’armes de guerre. L’objectif n’est pas uniquement de déstabiliser ce pays, mais aussi pour acheminer cet arsenal vers de futurs foyers de tension et de crise, dont l’Algérie». Pour nos interlocuteurs, «les missiles découverts ces derniers jours aux frontières sud du pays et les 48 millions de balles saisies constituent une véritable déclaration de guerre à notre pays.
Nos dispositifs aux frontières sont prêts et opérationnels. Les unités de l’Anp et tous nos services de sécurité sont mobilisés à un haut niveau. Ils feront face à toute tentative d’atteinte à notre intégrité territoriale». Nos sources se disent convaincues de l’existence «d’un plan de déstabilisation des pays du Maghreb qui se dessine et prend forme. Allons-nous assister au transfert du scénario du Moyen-Orient vers le continent africain ? Toutes les conditions sont réunies pour le déroulement de ce plan chaotique pour la région en général et pour notre pays en particulier».
En dressant ce constat inquiétant, nos sources disent lever le voile sur les enjeux qui se cachent derrière toute cette pression exercée sur l’Algérie, pour qu’elle ouvre ses frontières aux milliers de migrants, dont une partie servira pour des missions de mercenariat, comme cela se passe dans de nombreux pays qui ont sombré dans des guerres fratricides.
Raison pour laquelle des mesures très strictes en matière de contrôle ont été imposées, appuyées par une mobilisation permanente tout au long de la bande frontalière où une pression opérationnelle est maintenue, ce qui a permis des résultats remarquables en matière de récupération d’armes et d’arrestation de dizaines de personnes suspectées de mercenariat et détentrices de fausses pièces d’identité.
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