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Donc, à lire l'article de Ya...bi, les Sahraouis ne sont pas Marocains alors que leur terre est marocaine? Pourtant, n'est-ce pas la dictature marocaine qui supplie les " séquestrés de Tindouf" à regagner la "Mère patrie" où ils bénéficieront d'une villa et d'un emploi?
Alors, pourquoi donc le Maroc est incapable d'offrir ce privilège à tous ces citoyens et pour cause qu'ils s'enfuient tous de cet enfer ( Cf. Maroc: pourquoi partent-ils tous?).
- En septembre 2017, 18 prisonniers sahraouis portant la nationalité marocaine pour trafic de drogue s’échappaient d’une prison du Polisario installée à Tifariti. Parmi ce groupe, cinq ont été arrêtés par une unité de l’armée marocaine.
Depuis, ils ont été placés en détention en attente de leur procès. On apprend cette semaine que le tribunal de première instance d’Es-Smara les a condamné chacun, dans l’après du lundi 24 décembre, à deux ans de prison ferme pour «exportation de drogue».
Cette affaire remonte à juillet 2017, lors de l’annonce par le Polisario de l’interpellation d’un réseau de trafic de drogue. En novembre de la même année, un tribunal du Front avait prononcé, au terme d’un procès expéditif et à l'abri des regards, de lourdes peines d’emprisonnement-.
Ya...bi
Alors, pourquoi donc le Maroc est incapable d'offrir ce privilège à tous ces citoyens et pour cause qu'ils s'enfuient tous de cet enfer ( Cf. Maroc: pourquoi partent-ils tous?).
- En septembre 2017, 18 prisonniers sahraouis portant la nationalité marocaine pour trafic de drogue s’échappaient d’une prison du Polisario installée à Tifariti. Parmi ce groupe, cinq ont été arrêtés par une unité de l’armée marocaine.
Depuis, ils ont été placés en détention en attente de leur procès. On apprend cette semaine que le tribunal de première instance d’Es-Smara les a condamné chacun, dans l’après du lundi 24 décembre, à deux ans de prison ferme pour «exportation de drogue».
Cette affaire remonte à juillet 2017, lors de l’annonce par le Polisario de l’interpellation d’un réseau de trafic de drogue. En novembre de la même année, un tribunal du Front avait prononcé, au terme d’un procès expéditif et à l'abri des regards, de lourdes peines d’emprisonnement-.
Ya...bi