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Les F-16 israéliens tirent des missiles Delilah ; F35 en 2ème vague

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  • Les F-16 israéliens tirent des missiles Delilah ; F35 en 2ème vague




    Des sources militaires américaines ont révélé que l’offensive aérienne israélienne de mardi soir, le 25 décembre, a été menée par des avions de combat F-16I de l’IAF (Israeli Air Force) tirant des missiles de croisière Delilah depuis l’espace aérien libanais jusqu’en Syrie. Damas aurait contré une partie de l’attaque avec les armes de défense aérienne russes Pantsir-S2 et S-200 SAM. Ces sources hautement crédibles révèlent également que l’attaque israélienne visait des sites militaires syriens, et non des cibles iraniennes et du Hezbollah, comme cela a été signalé précédemment en Israël et à Damas. Le gouvernement israélien et les chefs militaires avaient apparemment décidé, disent les sources américaines, de tirer parti du chaos engendré par la décision du président Donald Trump de retirer les troupes américaines de la Syrie et la menace d’Ankara d’envoyer l’armée turque envahir l’Euphrate.
    Après que les jets F-16 n’ont pas réussi à se connecter à toutes leurs cibles, Tsahal a envoyé les avions furtifs F-35 dans une seconde vague.
    Plusieurs observateurs syriens, y compris le compte Twitter @Syria_SR, ont affirmé que les frappes aériennes étaient plus complexes que cela : «55 munitions, quatre vagues [de missiles de croisière] en 35 minutes et ont réussi à frapper sept fois à deux endroits différents». La défense a tiré 60 missiles pour intercepter l’attaque. Plusieurs missiles anti-aériens syriens SA-125 ont échoué lors de la tentative d’arrêt de l’attaque, frappant des zones autour de Damas et semant la confusion.
    Video of an S-125 Air Defence missile impacting a small building just outside Damascus after malfunctioning, this happened numerous times to Syrian Air Defence missile tonight#Syria #Damascus pic.twitter.com/XSI4JD9VwT
    — CNW (@ConflictsW) December 25, 2018
    Vidéo : Un S-125 syrien revient en boomerang et s’effondre sur un bâtiment syrien, après un dysfonctionnement. C’est survenu un nombre considérable de fois à la Défense anti-aérienne syrienne durant la nuit.


    Selon des témoignages antérieurs venant de l’intérieur de la région, une attaque de grande envergure lancée mardi 25 décembre au sud-ouest de Damas, aurait touché des cibles iraniennes et du Hezbollah, certaines d’entre elles situées dans des bases de l’armée syrienne. Les deux versions confirment que l’attaque a été lancée depuis l’espace aérien libanais. Tôt mercredi, l’armée syrienne a publié une vidéo affirmant l’interception d’un des nombreux missiles israéliens touchés par ses systèmes de défense antiaérienne. Selon des sources syriennes et libanaises, l’offensive aérienne israélienne aurait duré 30 minutes. Si tel est le cas, cette dernière attaque israélienne contre la Syrie aura eu la même longueur que la frappe massive de l’armée de l’air israélienne du 29 novembre, qui a touché au moins 15 cibles iraniennes et du Hezbollah. Après ce raid multiple, Damas a averti qu’il y aurait désormais un retour de bâton contre les cibles correspondantes en Israël.
    Une panne de courant couvre les circonstances de l’explosion massive qui a secoué les villes israéliennes, notamment Hadera, Césarée et Zichron Yaacov, alors que l’attaque contre la Syrie était en cours. Il semble toutefois que la Syrie ait effectivement lancé un missile de défense aérienne contre Israël en guise de représailles. Le porte-parole de Tsahal ne ferait que dire : « Le système de défense aérienne a été activé contre un missile anti-aérien lancé de la Syrie, Aucun dommage ni victime. »
    Cette déclaration laconique indique que l’interception n’a probablement pas eu lieu et le missile syrien peut avoir atterri quelque part en Israël. Les réseaux sociaux portent des photos de ses fragments. Des témoins attestent de l’activation d’une batterie de défense aérienne israélienne située à Ain Shemer.
    C’était la deuxième fois en six mois qu’une batterie de défense antiaérienne de l’armée israélienne n’abattait pas un missile syrien. Le 23 juillet, une batterie anti-aérienne de mla Fronde de David a manqué deux missiles de surface syriens SS-21 qui se dirigeaient vers la mer de Galilée.
    Selon des sources arabes, les cibles de l’attaque israélienne se situeraient dans la partie militaire de l’aéroport de Damas, où un avion de transport iranien – selon trois personnes – aurait atterri, et dans deux autres lieux : Dimat, quartier général de la 4 e division de l’armée syrienne de Qatana, site de sa 10 e division, et centre de commandement des forces d’artillerie syriennes plus au sud, à Khan al-Sheikh.
    Le magazine Newsweek cite des sources anonymes du Pentagone selon lesquelles l’un des missiles israéliens visait une délégation de haut rang du Hezbollah qui avait atterri de Beyrouth à Damas à 16h00 heure locale, prête à embarquer pour un vol iranien à destination de Téhéran. Ils se seraient rendus aux funérailles de l’ayatollah Hachemi Alshaharoudi. Selon d’autres sources américaines, un seul membre de la délégation aurait été blessé. Tout cela reste à étayer.





    DEBKAfile

  • #2
    Parlons peu et bien.L'invincibilité militaire sioniste s'use rapidement.
    Le traité de Fès, nommé traité conclu entre la France et le Maroc le 30 mars 1912, pour l'organisation du protectorat français dans l'Empire chérifien,

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