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La solution radicale pour l’Afrique : le capitalisme

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  • La solution radicale pour l’Afrique : le capitalisme

    Mais alors pourquoi en Argentine (entre autres) le modèle ultra-capitaliste a échoué?

    - Alors que le collectivisme est la voie sure pour conduire à la pauvreté et à la mort, l’Afrique du Sud tend à s’orienter sur ce chemin dont l’issue est l’échec assuré. Pourquoi ?

    Dans son article, Chris Hatting, fait un véritable plaidoyer pour que son pays, l’Afrique du Sud, s’éloigne du socialisme. L’auteur est particulièrement marqué par la politique de redistribution des terres adaptée récemment. Pour lui, le copinage, la corruption, les entraves à la vie des entreprises, la fragilisation des droits de propriété, sont autant de signes d’un Etat trop envahissant. C’est bien la liberté et le modèle capitaliste qui pourront sortir le pays de l’inquiétude, pour retrouver son dynamisme.

    On a essayé le collectivisme, sous toutes ses formes, malheureusement cela a échoué dans le monde entier. Cela ne pourrait jamais fonctionner même si l’on changeait les personnes responsables de sa mise en œuvre. C’est un système défaillant, à la fois conceptuellement et moralement et qui en plus cause trop de morts. Pourtant, l’Afrique du Sud semble attiré par cette voie.

    La croyance en la redistribution de la richesse et le choix récent de l’expropriation sans indemnisation, sont quelques indices qui témoignent d’une volonté d’étendre le pouvoir de l’État au détriment de l’individu. Il est urgent pour l’Afrique du Sud de retrouver la voie du capitalisme.

    Qu’est-ce que le capitalisme ?

    Le capitalisme, c’est avant tout la protection des droits individuels et des droits de propriété. Le capitalisme signifie la diversité humaine. Le capitalisme signifie aussi un système basé sur une vraie concurrence. Les Sud-Africains ont été opprimés par l’État de différentes manières, il est donc temps de leur permettre de bénéficier du capitalisme.

    Dans son ouvrage « Le capitalisme : l’idéal inconnu », Ayn Rand définit le capitalisme comme étant «Le seul système social fondé sur la reconnaissance et la protection des droits de l’individu et, partant, le seul système interdisant la coercition des relations sociales».

    L’Afrique du Sud ne peut pas avoir une économie viable avec une croissance réelle à long terme, si les gens ne sont pas libres d’entreprendre, et, dans l’état actuel des choses, nous ne le sommes pas car l’État dresse toujours plus d’obstacles devant nous.

    Un système dans lequel les populations se disputent les faveurs et les offrandes du gouvernement n’a rien à voir avec le capitalisme. Un système dans lequel entreprises et particuliers sont écrasés par des montagnes de bureaucratie et de tracasseries administratives n’est pas du capitalisme. Un système dans lequel des entreprises (essentiellement publique) sont renflouées par le gouvernement ou sont protégées de la concurrence par le gouvernement n’est pas du capitalisme. C’est ce que l’on appelle le capitalisme de copinage qui n’est rien d’autre qu’un système reposant sur la corruption. Actuellement, l’Afrique du Sud est dans ce que l’on pourrait qualifier d’économie mixte : un mélange de liberté et de nombreux contrôles.

    Ayn Rand a décrit un pays à économie mixte comme étant : «En voie de désintégration, une guerre civile de groupes de pression se pillant et se dévorant les uns les autres». Tant que nous aurons ce capitalisme dénaturé, tout groupe plus puissant exploitera les ressources de l’État pour son propre bénéfice.

    Le copinage malsain

    Plus l’État grandit, plus il nous contrôle pour garder sa position. Il n’aime pas la concurrence, en témoigne les entreprises publiques Eskom et SAA, qui ont été protégées et renflouées d’innombrables fois, à des coûts énormes pour les Sud-Africains et pour l’ensemble de l’économie. Dans un système capitaliste, lorsqu’une entreprise échoue, elle doit en supporter les conséquences: il n’y a pas de plan de sauvetage payé par les contribuables. Peu importe qui dirige le gouvernement à un moment donné, le groupe au pouvoir aura toujours ses favoris, et plus le pouvoir de l’État sera étendu, plus les abus seront nombreux.

    L’obsession de la redistribution

    Le capitalisme est le seul système qui garantit les droits de propriété. Chaque personne doit être libre de cultiver sa propre richesse, pour son propre intérêt. Penser que la richesse d’un pays est fixe, qu’elle doit être divisée de manière à ce que chacun reçoive sa «juste part» est un raisonnement incohérent. Nous devons raisonner au niveau individuel, pas en termes de groupes arbitraires divisés sur la base de race ou la richesse. Si chacun peut créer de la richesse, la richesse nationale augmentera drastiquement et tout le monde sera plus riche-.

    Afrik.com (extraits)

  • #2
    le probléme n'est dans le socialisme ou capitalisme.
    souvent les gens confonde le capitalisme avec la finance

    dans le systeme sociliste ya as notion d'argent ya pas de monnaie c'est un ancien model millénaire qui existait même chez nous avant l'arrivée de la theorie communiste..une tribut possédè tout et ou l'individu a une propriété dans le chiya3 dans l'indivisible. le bien souvent la terre appartient a la tribut..ils l'exploitent ensemble et se divise la récolte cereal olive betail etc..

    mais dans la ville la chose est différente. la ville c'est la monnaie tu ne peux apliqué le systeme tribal dans une ville cahcun a son coin propre souvent des services...coiffeur restaurateur écrivain publique medecin avocat etc..

    le socialisme est appliqué par les multinationale dans la mesure ou leur patrimoine est vendu sous forme d'action. le capital de la multinationale n'est pas individuel ou généralement familiale comme FOrd ROCKEFELER ETC
    Au contraire maintenant ya plus d'entreprise privé dite familliale tout le monde ont ouvert leur patrimoine a l'investissement etranger..

    a part un autre type de gestion d'un etat qui se dit sociliste alors qu'il ne l'ait pas c'est le Royaume et ou toute les propriétés sont entre une seule mains..c'est autocratie sous plusieurs apeation imperiale royale socialiste religieuse catholique musulmane boudhiste etc...toute l'europe et le canada sont des dans le fond ni sociliste ni capitaliste mais monarchique

    sauf que avec un monarque tu peux avoir une petite liberté de manœuvre tu payes l'impot et tu travaille librement soutenu par un systeme financier solide sous forme de reseau mondiale..celui qui en dehors de ce circuit peine a se trouver une place on te fermes tout

    donc actuellement c'est le système financier qui domine tout même un monarque ou un empereur..un socialisme ou capitalisme ne peut bouger sans le recours a ce système
    les arabes que vous nommez chez nous les chameliers sont en avance car ils ont tenu la base alors que l’Afrique du nord est resté un peu d'influence tribale..y'a encore le principe du chiya3e..t'a pas le droit d’exploité une terre si elle ne fait pas plus de 3 hectare. c'est a dire que le mode de production est resté tel qu'il est depuis 1500 ans..c'est a dire ya ni industrie agroalimentaire ni rien. alors que maintenant une serre d'1 hectare fait l’Équivalent de 100 hectare...c'est a dire chez nous on reste dans l'arboriculture ou la cerealiculture qui demande plus de 3 hectare pour etre divisible. si tu demande 500 m² pour installer un hangar de production de volaille pas possible..
    donc nous sommes encore arriéré

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