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Le Président Bouteflika, Aux grands hommes, la Nation reconnaissante (Documentaire)

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  • Le Président Bouteflika, Aux grands hommes, la Nation reconnaissante (Documentaire)

    bon spectacle a vous , tmat3o



    Projection d’un documentaire sur le parcours et les réalisations du Président Bouteflika


    Le Comité national des sympathisants avec le frère Abdelaziz Bouteflika projettera ce matin à 9h30 un film documentaire de 52 mn réalisé par M. Abdelkrim Abidat intitulé Abdelaziz Bouteflika, aux grands hommes, la Nation est reconnaissante. Le film retrace fidèlement le sacrifice et le dévouement d’un homme de paix qui a pu redonner à l’Algérie ses lettres de noblesse : 20 ans de paix, de stabilité et de prospérité


    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    Projection d’un documentaire :
    Le Président Bouteflika, Aux grands hommes, la Nation reconnaissante

    Un parcours prestigieux
    Notre Forum a abrité lundi la projection, en avant-première, d’un documentaire de 52 minutes retraçant le parcours du Président Bouteflika. Réalisé par Abdelkrim Abidat, ancien parlementaire et président du «Comité national des sympathisants avec le Frère Abdelaziz Bouteflika», ce film ne se limite pas à la promotion d’un bilan qui se traduit par vingt ans de paix, de stabilité et de prospérité du pays, il évoque également l’histoire d’un homme qui a consacré toute sa vie pour que l’Algérie avance et progresse.

    Les images contenues dans cette vidéo sont autant de documents historiques qui retracent, à ce jour, la vie et la carrière politique du Président Abdelaziz Bouteflika. Elles témoignent, avec force anecdotes authentiques, du parcours exceptionnel d’un homme qui a voué et continue de vouer, en dépit de ses soucis et contraintes en matière de santé, son existence à l’édification d’une Algérie souveraine et fière de ses multiples réalisations et avancées multisectorielles.
    Avant de retracer ce parcours hors du commun, il nous semble nécessaire de procéder à une sorte de découpage technique du film en question, découpage qui permettrait au lecteur de mieux s’imprégner des grandes étapes qui ont présidé à sa réalisation. On peut ainsi dénombrer au moins cinq grandes étapes de ce singulier parcours. Première étape, l’enfance et la jeunesse du Président, lesquelles, passées à Tlemcen, vont être déterminantes pour la suite des événements. Vient ensuite l’étape militante au sein de l’Armée de libération nationale (ALN) et ce, durant la guerre d’indépendance. S’ensuit la troisième étape qui se situe justement aux tout débuts de l’indépendance de notre pays. L’homme devient, en septembre 1962, ministre de la Jeunesse et du Tourisme dans le gouvernement de feu Ahmed Ben-Bella, alors qu’il n’avait que 25 ans, puis ministre des Affaires étrangères pendant plus de quinze ans. Après quoi, quatrième étape, Abdelaziz Bouteflika est néanmoins peu à peu écarté de la scène politique, qu’il quitte en 1981. La cinquième étape, quant à elle, vient clôturer le documentaire, en présentant les réalisations les plus en vue, effectuées durant ses quatre mandats en tant que Président de la République
    Revenons donc à ce parcours, mais avec un peu plus de faits saillants pour considérer combien il est exaltant. On notera ainsi que le Président Abdelaziz Bouteflika est né le 2 mars 1937 au sein d’une famille tlemcénienne. Il fait ses premières classes au début des années 1940, à Sidi Ziane, avant de rejoindre, en 1950, l’école de scoutisme Hassania et poursuivre sa scolarité au lycée Abdelmoumen. Durant cette phase, alors qu’il est âgé à peine de 19 ans, Abdelaziz Bouteflika intègre l’Armée des frontières et ses bases installées sur le territoire du Maroc, qui vient de recouvrer son indépendance. Il suit l'instruction militaire de l’école des cadres de l’ALN à Dar El Kebdani, entre Oujda et Nador, puis devient contrôleur pour la direction de la Wilaya V (Ouest). Il se consacre à cette fonction durant dix mois, entre 1957 et 1958. En 1958, il est nommé secrétaire administratif par le défunt Houari Boumediene, dont il suit l'ascension du poste de commandement de la Wilaya V à celui de l'état-major de l'Ouest, puis de l'état-major général. En 1960, il est envoyé en mission sur la frontière sud, d'où il revient avec le surnom de « Si Abdelkader El Mali».
    La troisième étape se situe à l’indépendance de notre pays, où, en septembre 1962, il devient ministre de la Jeunesse et du Tourisme dans le gouvernement de Ahmed Ben-Bella alors qu’il n’avait que 25 ans.

    Le plus jeune ministre des A.E au monde
    À partir de l’année 1963, Abdelaziz Bouteflika est appelé à effectuer de nombreuses missions à l’étranger en tant que ministre des Affaires étrangères par intérim. En juin 1963, il est confirmé dans ses fonctions.
    Dès lors, il s’ensuit une période durant laquelle le jeune ministre des Affaires étrangères (à l’époque plus jeune ministre de ce département au monde) dirigea la diplomatie algérienne qui faisait de l’Algérie un pays porte-parole du tiers monde et l’interlocuteur privilégié dans les rapports entre le Nord et le Sud. Au cours de la même période il obtint sa plus grande consécration en présidant la 29e session de l’Assemblée générale des Nations unies, en 1974, en chassant la délégation représentant le régime de l’Apartheid et en donnant la parole à Yasser Arafat, le représentant de la résistance palestinienne.
    Après quoi, quatrième étape, après le décès du Président Boumediene, le Président Chadli Benjedid le nomme ministre d’État en 1979. Bouteflika est néanmoins peu à peu écarté de la scène politique, qu’il quitte en 1981. De retour en Algérie en janvier 1987, il prend part au congrès du FLN de 1989, qui l’élit membre du Comité central. En décembre 1998, après avoir fait part de sa décision de se présenter, en qualité de candidat indépendant à l’élection présidentielle anticipée de 1999, Abdelaziz Bouteflika est élu Président de la République le 27 avril 1999. Il succède ainsi à Liamine Zéroual, le 27 avril 1999. Il est réélu en avril 2004, au premier tour de scrutin.

    Stratégie des grands travaux
    À partir de 1999, l’Algérie profite d’une conjoncture économique très favorable due à la hausse du prix du pétrole. L’État mène alors une politique de grands travaux. Peuvent être cités, entre autres réalisations, la construction du métro d'Alger, un nouvel aéroport à Alger, la Grande Mosquée d’Alger ainsi que les projets urbains de circulation dans les métropoles, tels que le tramway et la modernisation du réseau de chemins de fer, l’autoroute Est-Ouest, ainsi que le parc immobilier qui connaît un boom sans précédent.
    Cette stratégie de grands travaux a permis de relancer l’économie dans ses différents secteurs d’activité. Le pays est devenu un immense chantier de construction : ainsi, plusieurs entreprises étrangères s'y installent dans l'espoir d'être mandatées dans le cadre du programme de développement. En novembre 2013, il est désigné candidat du FLN pour l'élection présidentielle de 2014 et réélu pour un quatrième mandat avec 81,53 % des suffrages exprimés, le 17 novembre de la même année.

    Retour à la paix et réhabilitation de l’image de l’Algérie
    Les deux premiers mandats du président Bouteflika sont marqués par la promesse de mettre fin à la discorde et tourner la page du terrorisme pour assurer le retour à la paix après une longue et terrible tragédie connue sous le nom de la «décennie noire».
    En septembre 1999, la loi de la «concorde civile» est votée et approuvée par référendum. En 2005, nommé président d'honneur du FLN par le 8e congrès du parti, il convoque un référendum pour faire adopter la Charte pour la paix et la réconciliation nationale grâce à laquelle le pays renoue avec la stabilité et le développement. Étant lui-même diplomate de carrière, le Président Abdelaziz Bouteflika se donne la gageure de réhabiliter l’image de l’Algérie dans le concert des nations.
    Il procède aussi à une médiation entre l’Érythrée et l’Éthiopie (en guerre depuis 1997) qui est couronnée par la signature de l’Accord de paix d’Alger en 2000. Dans la lignée des Présidents Ben-Bella et Boumediène, il montre un soutien sans faille à la cause palestinienne et se préoccupe des relations de notre pays avec les grandes puissances, États-Unis, bien sûr, mais aussi l’Allemagne, la Russie et d’autres.
    S’agissant des relations avec la France, l’entrevue que le Président algérien a eue avec le Président Jacques Chirac, en 2003 à Alger, débouche sur une entente pour la signature d’un traité d’amitié entre les deux pays. Mais le vote de la loi du 23 février 2005 par le Parlement français —reconnaissant en particulier le «rôle positif de la colonisation— constitue un obstacle à la signature de ce traité, Abdelaziz Bouteflika qualifiant cette loi de «cécité mentale, confinant au négationnisme et au révisionnisme».
    Revenant sur les événements du Printemps noir qu’a connu la Kabylie, le candidat à sa propre succession s’est incliné à la mémoire des disparus ; signe fort, il les qualifie de «martyrs».


    Dans la foulée, le gouvernement algérien annonce la création d'une académie, d'un conseil supérieur pour la langue amazighe et d'une nouvelle chaîne de télévision publique (tamazight TV 4), émettant 24 heures sur 24 en langue amazighe. Finalement, c'est sous sa présidence que la révision constitutionnelle de février 2016 promeut le tamazight comme langue nationale et officielle du pays, au même titre que la langue arabe. En décembre 2016, il est décoré de l'ordre de la Solidarité de l'Organisation de Solidarité avec les peuples de l'Afrique, l'Asie et l'Amérique latine (OSPAAAL). En définitive, ce ne sont là que quelques faits retracés dans cette vidéo. Des faits qui attestent de la grande capacité du Chef de l’Etat à mener les grands travaux qui ont permis à notre pays de se hisser, aujourd’hui, à une place très honorable sur l’échiquier planétaire.
    Le documentaire suit une grille de lecture et une démarche d’une grande simplicité et d’une grande clarté, celle de rendre hommage à l’œuvre colossale accomplie par le moudjahid Abdelaziz Bouteflika tout au long d’une existence intense mise au service de l’Algérie. Après la projection, des représentants de la société civile ont pris la parole pour remercier l’auteur du documentaire et exprimer leur soutien au Président de la République tout en appelant à la continuité, la préservation des acquis et des réalisations.
    R. C. elmoudjahid
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

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