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Gabon : Les Marocains ont-ils fait échouer la tentative de Putsch contre Ali Bongo ?

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  • Gabon : Les Marocains ont-ils fait échouer la tentative de Putsch contre Ali Bongo ?

    Gabon : Les Marocains ont-ils fait échouer la tentative de Putsch contre Ali Bongo ?

    Jérôme Galveli - janvier 7


    Maghreb intelligent
    A Libreville, l’aube pointe à l’horizon d’un lundi comme les autres. Les rues de la ville sont encore désertes quand une poignée de jeunes militaires décidés, commandés par le jeune lieutenant de la garde républicaine Ondo Obiang Kelly, se dirigent vers le siège de la radio nationale. Sans parler directement de coup d’Etat, le béret vert appelle à la mise en place dans la journée d’un « Conseil national de la restauration ». Le jeune militaire, inconnu au bataillon, invite les principales figures de l’opposition au régime d’Ali Bongo, en longue convalescence au Maroc, à une concertation pour sauver le Gabon du chaos. Dans la foulée, il appelle également les officiers et sous-officiers de l’armée à « se procurer des munitions » et à « contrôler les points stratégiques du pays ».
    La teneur de la déclaration du lieutenant de la garde républicaine autoproclamé président d’un Mouvement patriotique des jeunes des forces de défense et de sécurité du Gabon, rassure les proches du président alertés aussitôt par les services de sécurité loyales. Les « mutins », terme préféré à celui de putschistes par les autorités gabonaises, n’ont pas de soutiens au sein de l’armée. Cette dernière serait « supervisée » les Marocains qui sont très présent à Libreville depuis une dizaine d’année. D’ailleurs, il est de notoriété publique que les relations entre la famille royale marocaine et les Bongo sont quasiment « familiales ». D’après le journaliste Antoine Glaser, Les Marocains seraient très présents au Gabon, que ce soit au niveau des services de renseignements que celui des services de sécurité. Une présence qui « certainement participe à dissuader toute tentative de déstabilisation du régime d’Ali Bongo », affirme un homme d’affaires français installé à Libreville.

  • #2
    y'a eu un démenti du MAEC sur une presence militaire marocaine ou même sur une quelconque intervention marocaine .
    Droite des Valeurs
    Gauche du Travail
    Centre "Intérêt de Mon Pays"

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    • #3
      Hypothèse difficilement plausible lorsque l'on songe à la médiocrité des FARces ainsi que des services secrets du royaume.

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      • #4
        les FAR vous les coincent à vous et tout ceux qui vous ont aidé de 75 à nos jours, et si tu me sors comme un bougre encore une fois l’îlot des chèvres que tu aimes, sache une fois pour toute que c'était des forces auxiliaires et pas les militaires...

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        • #5
          " les FAR vous les coincent à vous et tout ceux qui vous ont aidé de 75 à nos jours, et si tu me sors comme un bougre encore une fois l’îlot des chèvres que tu aimes, sache une fois pour toute que c'était des forces auxiliaires et pas les militaires... "

          A l'ilot à chèvres espagnol de Persil, il s'agissait bel et bien d'éléments des FARces et non d'éléments auxiliaires comme le prône la menteuse presse marocaine.

          Au même titre que les mensonges insinuant que les FARces n'avaient pas mené comme combat contre l'armée espagnole par crainte d'une intervention de l'Otan aux côtés hispaniques.

          Enfin, pourquoi les FARces avaient tenté d'affranchir ce rocher et non les présides?

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          • #6
            c'est plutôt toi le menteur, c'était les forces auxiliaires, tu parles de quelque chose que tu ne connais pas, tu répètes les mêmes conneries et mensonges de harki et tu penses bluffer FA, tu nous fais juste rire pauvre harki clandestin

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            • #7
              - L’information a été communiquée tard dans la soirée de jeudi par l’agence de presse officielle marocaine. La MAP, qui citait «un haut responsable du ministère des Affaires étrangères», affirmait en effet que le Maroc avait décidé d’installer «un poste de surveillance» sur l’îlot Leila, aussi appelé île du Persil, situé à une quarantaine de kilomètres de la ville de Tanger, «à l’intérieur des eaux territoriales du royaume». Les autorités marocaines, qui communiquent rarement sur leurs activités, ont même justifié une telle initiative en l’inscrivant dans «le cadre d’une campagne de lutte anti-terroriste et anti-émigration clandestine dans la zone du détroit de Gibraltar». Une douzaine de soldats marocains, sous la direction d’un commandant, avaient en effet débarqué jeudi après-midi sur cet îlot désertique d’une superficie de 13,5 hectares et habité par quelques chèvres. Ils y avaient dressé deux tentes et planté deux drapeaux marocains.

              Dès jeudi soir, un bâtiment de la marine espagnole et une vedette de la guardia civil se sont approchés de l’îlot pour réclamer, en vain, le départ des militaires marocains. Sur le plan politique, le gouvernement de José Maria Aznar, dont les rapports avec les autorités marocaines sont tendus depuis plusieurs mois, a violemment condamné, vendredi matin, la présence de l’armée marocaine sur l’île du Persil et a exigé de Rabat de «prendre les mesures nécessaires pour un retour à la normale». Pour Madrid en effet, cette situation représente «une modification du statu quo actuel et ne correspond pas à la volonté de maintenir des relations amicales dans un esprit de coopération et de respect mutuel». Le nouveau chef de la diplomatie espagnole, Ana de Palacio, a par ailleurs vivement rejeté l’argument de Rabat sur la présence de soldats marocains sur l’île du Persil. «Qu’on m’explique en quoi la lutte anti-terroriste et anti-émigration clandestine a à voir avec l’installation d’une tente, d’un drapeau et de quelques membres de l’armée sur cet îlot», s’est-elle insurgée. Elle n’a d’ailleurs pas hésité à qualifier la situation d’«incident sérieux».

              Cette position espagnole est largement partagée par la Commission européenne pour qui la présence de militaires marocains sur l’île du Persil est une «violation de l’intégrité territoriale espagnole». Bruxelles estime en effet qu’il s’agit d’une «question de souveraineté avant toute chose» et affirme que le problème a atteint «un stade délicat». Mais si elle a condamné l’initiative marocaine, Bruxelles s’est en revanche bien gardée de s’impliquer directement dans un différend qu’elle considère comme bilatéral. «C’est clairement un incident regrettable, a ainsi déclaré un porte-parole de la Commission européenne, mais il doit être réglé bilatéralement entre Rabat et Madrid». Le Maroc, malgré les appels de Madrid à «un retour à la normale», a affirmé qu’il ne retirerait pas ses militaires de l’île du Persil. Rabat estime, en effet, que cet îlot a été libéré en 1956, à l’occasion de la fin du protectorat espagnol sur le nord du pays.

              Une situation tendue depuis des mois

              L’occupation de l’île du Persil intervient une semaine après que le ministère marocain des Affaires étrangères a protesté auprès de Madrid à propos de la présence dans ses eaux territoriales de cinq navires de la marine espagnole. Rabat avait même convoqué l’ambassadeur espagnol qui avait justifié cette présence comme étant une simple excursion d’un groupe de jeunes lauréats de la marine espagnole. Les relations entre les deux pays n’ont cessé de se dégrader depuis notamment le rappel pour consultation, en octobre dernier, de l’ambassadeur du Maroc à Madrid. Officiellement Rabat entendait protester contre «l’accumulation de plusieurs incidents regrettables» et n’a depuis pas encore envoyé de représentant dans la capitale espagnole.

              Les litiges entre les deux pays sont nombreux et concernent notamment l’émigration clandestine vers l’Espagne, à partir des côtes marocaines. Madrid estime en effet que le Maroc ne fait pas grand chose pour endiguer le flot croissant des clandestins et ne punit pas assez les mafias marocaines à l’origine de ce trafic. Ils concernent également le non renouvellement de l’accord de pêche qui liait le Maroc à l’Europe jusqu’en novembre 1999 et dont les pêcheurs andalous étaient les principaux bénéficiaires. Rabat accuse de plus Madrid de favoriser les thèses indépendantistes du Front Polisasio qui dispute au Maroc la souveraineté sur le Sahara occidental, une ancienne colonie espagnole-.

              Source RFI.
              Dernière modification par rago, 09 janvier 2019, 14h15.

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              • #8
                ca ne sert à rien de me sortir rfi ou je ne sais quoi, c'était des forces axillaires sans armes

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                • #9
                  " ca ne sert à rien de me sortir rfi ou je ne sais quoi, c'était des forces axillaires sans armes "

                  Pas maroquin, je fais plus confiance en RFI qu'en vous? Ceci dit, est-ce la dictature alaouite accepterait-elle que son territoire soit violé par une puissance étrangère? Certainement pas.

                  Aussi donc, la réaction espagnole est légitime dans son entreprise de déloger 12 soldats des FARces occupant son ilot à chèvres de Persil.

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                  • #10
                    ben oui t'es harki, tu tends à aimer mama franssa plus que tout...c'est connu...

                    Commentaire


                    • #11
                      " tu tends à aimer mama franssa plus que tout...c'est connu... "

                      A ce propos pourquoi le Maroc n'active pas la réciprocité d'exigence aux visas envers les ressortissants de l'Hexagone?

                      Est-ce dû au statut néocolonialiste conféré au Maroc à savoir: L'indépendance dans l'interdépendance?
                      Dernière modification par rago, 09 janvier 2019, 17h13.

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                      • #12
                        l'épisode du l'îlot leila est inenvisageable désormais
                        les espagnoles sont cernés par le satellite espion marocain

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                        • #13
                          au dernière nouvelles opération de déstabilisation initiée par la France un commandos de 10 Français a été repéré sur les lieux, dire que les Marocains font échouer une opération Française c'est vraiment d'une débilité astrale.

                          Le Gabon est passé sous tutelle Chinoise ce qui a énervé la France au plus haut point, d'où l'opération de coups d'état contre BONGO … alors les mercs du calme c'est pas de votre niveau

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                          • #14
                            ramane@
                            Détailles bien ce que tu écris et si possible accompagné de dessins pour qu'ils comprennent.
                            Believe YOU CAN & you're HALFWAY there

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                            • #15
                              " l'épisode du l'îlot leila est inenvisageable désormais
                              les espagnoles sont cernés par le satellite espion marocain
                              "

                              Satellite ou pas, il faut convenir qu'avec sa colonisation du Sahara Occidental, le Maroc est otage de nombreux pays. En ce sens, qu'en cas d'inimité, ces pays pourraient revoir leur position quant à leur soutien au Maroc d'égard à sa colonisation du Sahara Occidental.

                              C'est du reste l'argument usité par la Mauritanie suite à l'incurie du fou Ahmed Chabat lorsque celui-ci avait insinué que la Mauritanie était marocaine et ce qui avait obligé l'autre fou marocain Benkirane à se rendre en Mauritanie afin de présenter des excuses à son voisin.

                              Reste la question de savoir pourquoi le Maroc- en vengeance de la colonisation de l'ilot à chèvres de Persil et des présides n'avait pas soutenu les velléités catalanes à l'indépendance? Et qui plus est, le roi ibérique Felippe VI (l'équivalent de M6) soutient le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui.

                              - Mais l’Espagne sera-t-elle apprécier à sa juste mesure le soutien marocain à sa position sur le referendum en Catalogne ? L’expérience a montré que Madrid s'est montrée versatile -au grès des gouvernements- sur des questions pourtant vitales pour le Maroc.

                              Si aujourd’hui ces responsables s’opposent aux droits des Catalans de disposer d’eux-mêmes, il y a une année presque jour pour jour à l’Assemblée générale le roi Felipe VI avait ardemment défendu l’«autodétermination du peuple du Sahara occidental en vertu des dispositions compatibles avec les buts et principes de la charte des Nations Unies»-.

                              Ya..bi


                              .

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