L'unique possibilité de la dictature marocaine à se voir rétrocéder les cités de Ceuta et Melilla serait d'accepter le déal de Podemos: indépendance du Sahara Occidental contre les deux présides.
Sinon, l'espoir ,marocain tient du rêve à l'instar du Sahara Occidental, car dans le cas des présides elles reconnus internationalement ibériques (comme l'ilot à chèvres de Persil) contrairement à la pseudo-marocanité du Sahara Occidental. Ce faisant, l'Espagne se verrait contrainte d'aménager un référendum national afin de céder Ceuta et Melilla au Maroc. Et, l'on peut douter que le peuple espagnol accepte le cas de figure.
- Le Maroc pourrait récupérer pacifiquement les deux présides occupés de Sebta et Melilla, à long terme. En effet, le nombre de Marocains en augmentation dans les deux villes plaiderait pour cette cause.
Le nombre de Marocains qui optent pour la destination de la ville marocaine occupée de Sebta, pour y vivre, ne cesse d’augmenter. Selon des statistiques rapportées par le quotidien Akhbar Al Yaoum dans son édition de ce mardi 15 janvier, pas moins de 7.346 citoyens marocains ont rejoint le préside occupé de Sebta durant les dix dernières années.
D'après les données publiées par l’Institut national de recensement espagnol, ce nombre s’ajoute aux 2.162 autres Marocains qui étaient installés dans la ville depuis l’année 2006. C’est dire, précise le quotidien, qu’environ 9.508 Marocains vivent dans la ville depuis l’année 2017. Ce nombre, constate encore le quotidien, n’inclut pas les Marocains nés et ayant grandi dans la ville.
Par ailleurs, le rapport en question montre que 3.294 Marocains installés dans la ville de Sebta avaient d'abord immigré en Espagne, avant de regagner le préside occupé après la crise économique de 2008. De même, durant les dix dernières années, pas moins de 4.000 nouveaux-nés d'origine marocaine ont vu le jour à Sebta. Le même rapport indique que les causes à l’origine de cette immigration des Marocains vers la ville s’articulent autour des conditions de vie, de la stabilité de l’emploi, de la couverture sociale et de la proximité avec le Maroc.
Cette augmentation du nombre de Marocains dans la ville n’est pas bien vue du côté des Espagnols, notamment des partis politiques de droite. D’ailleurs, l’Institut royal Elcano avait déjà mis en garde les autorités compétentes de la péninsule ibérique contre cette augmentation du nombre de Marocains à Sebta. «Dans le court terme, les Marocains de Sebta ne pourraient pas soutenir la revendication marocaine de souveraineté sur les deux villes (Sebta et Melilla), en raison des nombreux avantages de couverture sociale et d’aide sociale, ainsi que de leur faible poids politique aujourd’hui mais, dans le long terme, cela pourrait changer», note le rapport de l’institut Elcano-.
le 360.ma
Sinon, l'espoir ,marocain tient du rêve à l'instar du Sahara Occidental, car dans le cas des présides elles reconnus internationalement ibériques (comme l'ilot à chèvres de Persil) contrairement à la pseudo-marocanité du Sahara Occidental. Ce faisant, l'Espagne se verrait contrainte d'aménager un référendum national afin de céder Ceuta et Melilla au Maroc. Et, l'on peut douter que le peuple espagnol accepte le cas de figure.
- Le Maroc pourrait récupérer pacifiquement les deux présides occupés de Sebta et Melilla, à long terme. En effet, le nombre de Marocains en augmentation dans les deux villes plaiderait pour cette cause.
Le nombre de Marocains qui optent pour la destination de la ville marocaine occupée de Sebta, pour y vivre, ne cesse d’augmenter. Selon des statistiques rapportées par le quotidien Akhbar Al Yaoum dans son édition de ce mardi 15 janvier, pas moins de 7.346 citoyens marocains ont rejoint le préside occupé de Sebta durant les dix dernières années.
D'après les données publiées par l’Institut national de recensement espagnol, ce nombre s’ajoute aux 2.162 autres Marocains qui étaient installés dans la ville depuis l’année 2006. C’est dire, précise le quotidien, qu’environ 9.508 Marocains vivent dans la ville depuis l’année 2017. Ce nombre, constate encore le quotidien, n’inclut pas les Marocains nés et ayant grandi dans la ville.
Par ailleurs, le rapport en question montre que 3.294 Marocains installés dans la ville de Sebta avaient d'abord immigré en Espagne, avant de regagner le préside occupé après la crise économique de 2008. De même, durant les dix dernières années, pas moins de 4.000 nouveaux-nés d'origine marocaine ont vu le jour à Sebta. Le même rapport indique que les causes à l’origine de cette immigration des Marocains vers la ville s’articulent autour des conditions de vie, de la stabilité de l’emploi, de la couverture sociale et de la proximité avec le Maroc.
Cette augmentation du nombre de Marocains dans la ville n’est pas bien vue du côté des Espagnols, notamment des partis politiques de droite. D’ailleurs, l’Institut royal Elcano avait déjà mis en garde les autorités compétentes de la péninsule ibérique contre cette augmentation du nombre de Marocains à Sebta. «Dans le court terme, les Marocains de Sebta ne pourraient pas soutenir la revendication marocaine de souveraineté sur les deux villes (Sebta et Melilla), en raison des nombreux avantages de couverture sociale et d’aide sociale, ainsi que de leur faible poids politique aujourd’hui mais, dans le long terme, cela pourrait changer», note le rapport de l’institut Elcano-.
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