et de deux !! En l’espace de 48h, Mohamed Aissa a débité deux conneries coup sur coup. Aucun ministre n’a fait mieux, depuis le départ de Sellal du gouvernement en mai 2017. Après sa sortie grotesque où il dénote avec satisfaction la ressemblance vocale du muezzin de la mosquée d’Alger et du compagnon du prophète Bilal. Après sa mise au point où il explique qu’il entendait par Bilal, Cheb Bilal, le chanteur de raï et non pas le compagnon du prophète.
عندما صرحت قائلا أن صوت مؤذن مسجد الجزائر يشبه صوت بلال كنت أقصد الشاب بلال و ليس الصحابي بلال الحبشي رضوان الله عليه. إرتقوا فنحن في 2019.
Le voilà qui compare, et sans outrecuidance, le président Bouteflika au prophète de l’islam (ﷺ). Mais sur ce coup, Mohamed Aissa, a des arguments balaises, irréfutables. Selon le ministre, la comparaison tient au fait que le prophète n’est pas représenté dans le célèbre film qui lui ai consacré par Mustapha Akkad, Rissala. Sa présence est « évoquée », ou « suggérée » au spectateur, par le procédé de la caméra subjective. De ce fait, le prophète n’apparaît ni ne parle tout au long des 171 minutes du film. C’est kif kif pour Bouteflika : on ne le voit pas ni on ne l’entend, souligne Mohamed Aissa. Et toc !
Je ne sais pas si la comparaison se tient, mais si le ministre des affaires religieuses continue comme ça à raconter de la *****, Ennahar va pour sûr lui coller un procès pour plagiat.
el-manchar
عندما صرحت قائلا أن صوت مؤذن مسجد الجزائر يشبه صوت بلال كنت أقصد الشاب بلال و ليس الصحابي بلال الحبشي رضوان الله عليه. إرتقوا فنحن في 2019.
Le voilà qui compare, et sans outrecuidance, le président Bouteflika au prophète de l’islam (ﷺ). Mais sur ce coup, Mohamed Aissa, a des arguments balaises, irréfutables. Selon le ministre, la comparaison tient au fait que le prophète n’est pas représenté dans le célèbre film qui lui ai consacré par Mustapha Akkad, Rissala. Sa présence est « évoquée », ou « suggérée » au spectateur, par le procédé de la caméra subjective. De ce fait, le prophète n’apparaît ni ne parle tout au long des 171 minutes du film. C’est kif kif pour Bouteflika : on ne le voit pas ni on ne l’entend, souligne Mohamed Aissa. Et toc !
Je ne sais pas si la comparaison se tient, mais si le ministre des affaires religieuses continue comme ça à raconter de la *****, Ennahar va pour sûr lui coller un procès pour plagiat.
el-manchar
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