Il fut un temps où l’Algérie comptait plus de 400 salles de cinéma et les chefs d’œuvres nationaux raflaient les prix des plus grands festivals internationaux (comme Chroniques des années de braise de Mohammed Lakhdar-Hamina, palme d’Or au festival de Cannes en 1975).
Cet âge d’or n’a malheureusement pas duré. Avec l’avènement de la parabole qui a abreuvé les foyers algériens de programmes occidentaux et la crise des années 1990, le cinéma algérien est entré en profonde léthargie.
Les salles encore ouvertes se comptent sur les doigts de la main et, face à l’absence de moyens conséquents, acteurs et réalisateurs qui en ont l’opportunité préfèrent aller exercer leur art en Europe.
Même les studios étrangers boudent l’Algérie, qui pourtant, offre de somptueux décors au cinéma (le tout premier Tarzan avait été tourné en 1932 au Jardin d’Essai d’Alger).
http://www.routard.com/guide/algerie/2131/culture.htm
- Quelles sont les causes de la mort du cinéma algérien ?
- Que doit-on faire pour le ressusciter ? :31:
- Et la production télévisuelle ?
Cet âge d’or n’a malheureusement pas duré. Avec l’avènement de la parabole qui a abreuvé les foyers algériens de programmes occidentaux et la crise des années 1990, le cinéma algérien est entré en profonde léthargie.
Les salles encore ouvertes se comptent sur les doigts de la main et, face à l’absence de moyens conséquents, acteurs et réalisateurs qui en ont l’opportunité préfèrent aller exercer leur art en Europe.
Même les studios étrangers boudent l’Algérie, qui pourtant, offre de somptueux décors au cinéma (le tout premier Tarzan avait été tourné en 1932 au Jardin d’Essai d’Alger).
http://www.routard.com/guide/algerie/2131/culture.htm
- Quelles sont les causes de la mort du cinéma algérien ?
- Que doit-on faire pour le ressusciter ? :31:
- Et la production télévisuelle ?
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