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MALAGA (Espagne) - Un Marocain a été arrêté par la police mardi dans la province de Malaga dans le sud de l'Espagne pour appartenance présumée à l’organisation terroriste autoproclamée "Etat islamique" (EI/Daech), ont indiqué mercredi les autorités espagnoles.
L'homme en question arrêté plus précisément à Manilva, (province de Malaga), "était dans les dispositions de commettre un attentat terroriste dans n’importe quel endroit stratégique", a-t-on précisé de précise-t-on.
Agé de 27 ans, il est soupçonné d’apologie du terrorisme sur les réseaux sociaux.
Dans un communiqué, la police espagnole, qui précise que ses publications étaient de plus en plus radicales, indique que les premiers éléments de l’enquête ont révélé que l’homme "a maintenu des contacts via Internet avec des terroristes de Daech se trouvant dans la zone syrienne contrôlée par cette organisation terroriste, auxquels il aurait exprimé sa volonté de se joindre à eux".
Le communiqué, qui précise que le Marocain a intensifié, au cours des derniers mois, ses activités de propagande terroriste sur les réseaux sociaux, ajoute le mis en cause n’a pas réussi à rejoindre la Syrie "en raison des difficultés actuelles que traverse l’organisation terroriste dans ce pays et le manque de ressources".
APS
L'homme en question arrêté plus précisément à Manilva, (province de Malaga), "était dans les dispositions de commettre un attentat terroriste dans n’importe quel endroit stratégique", a-t-on précisé de précise-t-on.
Agé de 27 ans, il est soupçonné d’apologie du terrorisme sur les réseaux sociaux.
Dans un communiqué, la police espagnole, qui précise que ses publications étaient de plus en plus radicales, indique que les premiers éléments de l’enquête ont révélé que l’homme "a maintenu des contacts via Internet avec des terroristes de Daech se trouvant dans la zone syrienne contrôlée par cette organisation terroriste, auxquels il aurait exprimé sa volonté de se joindre à eux".
Le communiqué, qui précise que le Marocain a intensifié, au cours des derniers mois, ses activités de propagande terroriste sur les réseaux sociaux, ajoute le mis en cause n’a pas réussi à rejoindre la Syrie "en raison des difficultés actuelles que traverse l’organisation terroriste dans ce pays et le manque de ressources".
APS