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La production de la tomate transformée à près de 8 millions de quintaux en 2018

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  • La production de la tomate transformée à près de 8 millions de quintaux en 2018

    Mercredi, 16 Janvier 2019

    La production de la tomate transformée à près de 8 millions de quintaux en 2018
    ALGER - La quantité de la tomate collectée et transformée a augmenté à près 8 millions de quintaux durant la campagne 2017-2018, a indiqué mercredi le ministère de l'Agriculture, du développement rural et de la pêche dans un communiqué.

    "La quantité de la tomate collectée et transformée a atteint 7.884.482 quintaux, en hausse de 7% par rapport à la campagne précédente", note le communiqué qui précise que ce bilan a été présenté lors d'une journée d'évaluation de la filière tomate industrielle organisée mercredi par le ministère de l'Agriculture, du développement rural et de la pêche, qui a regroupé les directeurs des services agricoles des wilayas concernées, l'Office national interprofessionnel des légumes et des viandes, les professionnels de la filière, la Banque de l'Agriculture et du développement rural (BADR), la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA) ainsi que les instituts et centres spécialisés.

    Cette quantité représente une équivalence en double de concentré de tomate de 1,34 million de quintaux.

    Concernant la production globale de la tomate industrielle, elle a atteint 15,4 millions de quintaux, en hausse de 27% par rapport à la compagne précédente, tandis que la superficie plantée a augmenté à 23.702 hectares, en hausse de 17% par rapport à la campagne 2017. Cette campagne a été marquée par l'introduction de la culture de tomate industrielle au niveau de trois (3) autres wilayas: Constantine (20 ha), Tamanrasset (14 ha à In Salah) et Nâama (59 ha).

    Concernant les objectifs tracés pour la campagne agricole 2018-2019, la superficie destinée à la plantation de la tomate destinée à l'industrie agroalimentaire a été fixée à 27.557 hectares, soit une hausse de 16% par rapport à la campagne 2017-2018.

    Les plantations pour cette campagne ont démarré en septembre dernier au niveau de la zone Sud pour atteindre un niveau de réalisation de 1.149 hectares . Les récoltes ont déjà débuté au niveau de la wilaya de Tamanrasset à partir de la première décade du mois de janvier en cours avec une production de 350 quintaux.

    Durant cette rencontre, l'évaluation a porté sur les performances enregistrées durant la campagne agricole 2017-2018, la régulation notamment des niveaux de stocks en concentré de tomate détenus par les conserveries, l'accompagnement financier (payement des primes à la production et à la transformation) et les dispositifs d'encadrement mis en place pour la campagne agricole en cours.

    A ce propos, les initiateurs de cette rencontre ont assuré que toutes les dispositions organisationnelles, techniques, financières ont été prises pour assurer une mobilisation optimale de l'ensemble des intervenants sur le terrain pour encadrer le programme de la campagne en cours.

    Ainsi, des orientations ont été données pour appuyer davantage la dynamique de développement de cette filière à travers notamment le renforcement des campagnes de sensibilisation axées sur l'amélioration des niveau de production et de la qualité de la tomate produite, la sensibilisation des agriculteurs sur la nécessité de sécuriser les parcelles plantées notamment par des irrigation et une protection phytosanitaire et leur encouragement à contracter une assurance contre les risques agricoles.

    En outre, ils ont souligné la nécessité d'impliquer la profession et l'interprofession notamment le Conseil interprofessionnel de la filière tomate industrielle, nouvellement créé, pour contribuer à améliorer les échanges entre les différents maillons de la filière, afin d'anticiper sur les problèmes pouvant surgir, et apporter des améliorations en termes de technique de production, de mécanisation et de régulation avec une approche collective.

    Les participants ont également revendiqué l'implication des centres de recherche et des université dans le développement des variétés, maillon essentiel pour sécuriser davantage l'approvisionnement des programmes de production en semence.

    Les participants ont évoqué le manque de main d'oeuvre agricole et la nécessité de combler les besoins de la filière par la mécanisation pour pallier à ce manque. Ils ont aussi abordé le volet investissement, en recommandant l'accompagnement des opérateurs pour les encourager à investir dans l'exportation notamment pour le double concentré de tomate.

  • #2
    La 🍅 qui regagne en estime, un retour à la sagesse et le bon sens.

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    • #3
      La maticha est soudainement redevenue un produit noble ! SoubhanAllah tu es possible !

      Voila ce que disait notre "ami" sur la maticha

      http://www.algerie-dz.com/forums/sho...6&postcount=83

      Félicitations quand même !
      Dernière modification par LockDown, 21 janvier 2019, 00h24.

      Commentaire


      • #4
        Envoyé par LockDown
        La maticha est soudainement redevenue un produit noble ! SoubhanAllah tu es possible !

        Voila ce que disait notre "ami" sur la maticha

        http://www.algerie-dz.com/forums/sho...6&postcount=83

        Félicitations quand même !
        ce post il l'a écrit en 2014 quand le baril valait 130$, maintenant le baril ne suffit même plus pour importer suffisamment de bananes…

        Commentaire


        • #5
          Bonne nouvelle, je souhaiterais que l'Algérie exporte de la tomate vers la France car j'en ai assez de la tomate Hollandaise qui est absolument dégueulasse à manger.
          Toutes les fleurs de l'avenir sont dans les semences d'aujourd'hui.

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          • #6
            Rien ne t'oblige a acheter de la tomate hollandaise les choix sont variées, tomate marocaine, espagnole, italienne, turque, etc...

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            • #7
              Quand il insulte c'est qu'il est terriblement vexé !
              non, je ne crois pas...
              la raison est que vous êtes vraiment de mauvaise foi ou encore comme il dit, des bourricots, dans le sens peu intelligents.
              Je pense qu'il s'agit surtout d'aigreur ( de part et d'autre) et de très mauvaise foi.

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              • #8
                Envoyé par Jawzia
                Tomate concentrée que le Maroc importe en quelques milliers de tonnes et qui coutent quelques dizaines de millions de dH.
                Laissant la place a l’importation d’un produit qui peu être conçu localement, ce qui donne un facteur qui s’élève plus de 60 millions de dollars. Rien qu’on 2016, l’Algérie a importé 52*000 tonnes de ce produit a une valeur de 1200 dollars la tonne.
                Envoyé par l'economiste
                L’import du concentré de tomate est devenu régulier depuis une décennie. Selon les estimations des conserveurs de poissons, les volumes varient entre 10.000 et 15.000 tonnes/an.*
                Gallek le Maroc ! L'Algérie en importe 5 fois plus

                non, je ne crois pas...
                la raison est que vous êtes vraiment de mauvaise foi ou encore comme il dit, des bourricots, dans le sens peu intelligents.
                Je pense qu'il s'agit surtout d'aigreur ( de part et d'autre) et de très mauvaise foi.
                Mr "l'aboucat" quand on dénigre la tomate primeur je vois mal comment on peut subitement encenser la tomate industrielle ! Mais tout est possible en Anedjiri !

                Félicitation quand même !
                Dernière modification par LockDown, 21 janvier 2019, 18h25.

                Commentaire


                • #9
                  Concentré de tomate Le Maroc importateur net

                  La matière première en perte de vitesse
                  Plusieurs usines ont jeté l’éponge

                  Où sont passées les marques de concentré de tomate qui faisaient les beaux jours de la publicité télévisée? Quelques jours avant et durant le mois de ramadan, au moins cinq grandes marques se disputaient le marché. Et pour cause! Pas moins de 60% de la production étaient consommés durant le mois du jeûne, environ 12.000 tonnes. Essentiellement dans l’incontournable harira. Le reste s’orientait vers l’industrie de la conserve de poisson.

                  Il y a deux décennies, le Maroc exportait également le concentré de tomates sous diverses transformations: double et triple concentré. Une entreprise installée dans la région de Larache s’était spécialisée dans la production de la tomate en poudre et dont la totalité était exportée sur le marché américain. Cette entreprise cultivait la tomate industrielle sur ses propres terres et passait des contrats de culture avec des agriculteurs de la région. Sur l’Europe, l’export portait, outre le concentré, sur le jus et la tomate entière pelée. Aujourd’hui de nouvelles spécialités ont été développées au Maroc comme le ketchup, les sauces et le jus. Mais, elles sont fabriquées pour l’essentiel à partir de matières premières d’importation.

                  L’import du concentré de tomate est devenu régulier depuis une décennie. Selon les estimations des conserveurs de poissons, les volumes varient entre 10.000 et 15.000 tonnes/an. Ces quantités sont acquises en concurrence entre les transformateurs de la tomate industrielle et les conserveurs de poisson. L’essentiel provient de 5 pays : l’Egypte, l’Italie et la Chine, et dans une moindre mesure, le Portugal et les Etats-Unis.

                  Pour le moment aucune indication précise n’est fournie sur le niveau de la production locale. Ce qui est sûr, le nombre d’usines a été fortement réduit: 4 usines contre une douzaine, il y a deux décennies, selon la Ficopam (Fédération des industries de la conserve de produits agricoles du Maroc). Toute cette industrie, s’assure son approvisionnement en passant des contrats de cultures avec des agriculteurs. Certains ont loué des terres dans le cadre du partenariat public-privé autour des terres de l’Etat.

                  En revanche, la production de la tomate industrielle est estimée à 100.000 tonnes pour une superficie de 5.000 ha. Par le passé, la majorité des usines s’approvisionnait auprès des stations de conditionnement ou sur les marchés de gros. Cette possibilité n’est plus permise. Pour la simple raison que les variétés produites sous serres ne sont consommables qu’à l’état frais. Pour s’adapter aux exigences des marchés d’exportation, les primeuristes ont introduit et développé des variétés dites «long life». Celles-ci, ont le mérite de supporter le voyage sur de longues distances sans que la qualité soit altérée: fraîcheur et coloration. Mais elles ne se prêtent pas à la transformation.

                  Leconomiste
                  De la h'rira à base tomate égyptienne ... fallait le faire.

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                  • #10
                    Tu compares l'incomparable 52 000 tonnes pour l'Algérie et 10 000 à 15 000 tonnes pour le Maroc !

                    Ça devient rigolo !

                    Ca se voit que le petrole à baisser même madame maticha l'industrielle est devenue classe... Plus rien ne me surprendra ici !
                    Dernière modification par LockDown, 21 janvier 2019, 18h33.

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                    • #11
                      Ça devient rigolo !
                      Je te le confirme. Le pays où la Maticha est vénérée (peut être qu'un jour elle figurera sur l'emblème du royaume), est exportée en nature et importée en boites hermétiques


                      Le cas égyptien !!

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                      • #12
                        Tu aurais dû verifier les chiffres de l'import avant de la ramener car encore une fois ça te revient méchamment dans les dents !

                        Vous en mangez pour 52 000 tonnes d'import à 62 millions $ !

                        52 000 tonnes c'est 52 000 000 kilo vous la mangez à la cuillère ??? 52 000 tonnes plus la production locale encore une fois tes chiffres sentent le gros pipo !

                        C'est un poste tellement coûteux dans les importations algérienne que l'importation du concentré fut interdite !!!!
                        Dernière modification par LockDown, 21 janvier 2019, 19h02.

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                        • #13
                          Maroc: Plus d’importation agricole que d’exportation

                          La Rédaction 09/06/2017
                          2 fois plus d’importation que d’exportation de produits agricoles au Maroc.

                          La balance commerciale agricole du Maroc est déficitaire puisque la quantité de produits d’importation dépasse la quantité exportée.

                          La Banque Africaine de Développement (BAD), dans sa « Revue Annuelle 2017 sur l’Efficacité du Développement (RAED) »,

                          dévoile que le Maroc est le 6e plus grand exportateur d’Afrique en termes de produits agricoles. Le Royaume est également le 4e importateur d’Afrique après l’Egypte, le Nigeria et l’Afrique du Sud. L’Economiste précise que les exportations nationales sont estimées à 2,5 milliards de dollars (soit 24,4 milliards de dirham) alors que les importations sont évaluées à 5 milliards de dollars (soit 58,8 milliards Dh). Ces chiffres conduisent logiquement à une balance agricole déficitaire.

                          La BAD explique que les importations africaines, dans leur ensemble, sont en progression à cause de l’urbanisation et de la forte croissance démographique que connaît le continent. Par conséquent, le déficit de la balance agricole des pays d’Afrique, se creuse d’avantage d’année en année ce qui pèse sur leur croissance économique.


                          Source: AgriMaroc

                          Commentaire


                          • #14
                            De la h'rira à base tomate égyptienne ... fallait le faire.
                            le libre echange a si. tu importes même si tu es autosuffisant. tu ne peux bloquer l'importation mais ça tu le sauras quand l'algérie integrera l'omc un de ses jours

                            Commentaire


                            • #15
                              Maroc: Plus d’importation agricole que d’exportation

                              La Rédaction 09/06/2017
                              2 fois plus d’importation que d’exportation de produits agricoles au Maroc.

                              La balance commerciale agricole du Maroc est déficitaire puisque la quantité de produits d’importation dépasse la quantité exportée.

                              La Banque Africaine de Développement (BAD), dans sa « Revue Annuelle 2017 sur l’Efficacité du Développement (RAED) »,

                              dévoile que le Maroc est le 6e plus grand exportateur d’Afrique en termes de produits agricoles. Le Royaume est également le 4e importateur d’Afrique après l’Egypte, le Nigeria et l’Afrique du Sud. L’Economiste précise que les exportations nationales sont estimées à 2,5 milliards de dollars (soit 24,4 milliards de dirham) alors que les importations sont évaluées à 5 milliards de dollars (soit 58,8 milliards Dh). Ces chiffres conduisent logiquement à une balance agricole déficitaire.

                              La BAD explique que les importations africaines, dans leur ensemble, sont en progression à cause de l’urbanisation et de la forte croissance démographique que connaît le continent. Par conséquent, le déficit de la balance agricole des pays d’Afrique, se creuse d’avantage d’année en année ce qui pèse sur leur croissance économique.


                              Source: AgriMaroc
                              le Maroc exporte pour 6 milliards $.

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