Silence radio face aux insultes de Benkirane à la Tunisie
Tunisie- L’ex chef du gouvernement marocain, Abdalilah Benkiran critique la Tunisie en transgressant les normes diplomatiques internationales
Abdalilah Benkiran, ancien chef du Gouvernement marocain et ancien Secrétaire général du parti de la Justice et du Développement (PJD), a critiqué la Tunisie lors du conseil du Parti tenu à l’Institut Moulay Rachid des sports à Salé, la banlieue de la capitale Rabat.
Évoquant les aspects relatifs à la sécurité et les conditions sociales instables de la Tunisie, l’ex chef du gouvernement marocain a indiqué à Al Quds Al Arabi que « la Tunisie est un pays non contrôlé même si sa démocratie est meilleure que celle du Maroc. Quand je visite ce pays, je trouve des grèves générales et de la saleté. J’ai l’impression que certaines parties veulent le retour de la dictature ».
Voulant tempérer, Benkiran a souligné que la Tunisie lui était chère et que ça lui faisait mal de la voir dans le désordre.
Malgré ces déclarations qui portent atteinte à l’image de notre pays, les autorités concernées n’ont pas encore réagi.
tunisienumerique
le marocain et une autre déclarations d'amour sur un autre pays mais qui lui est encore plus cher
Tunisie- L’ex chef du gouvernement marocain, Abdalilah Benkiran critique la Tunisie en transgressant les normes diplomatiques internationales
Abdalilah Benkiran, ancien chef du Gouvernement marocain et ancien Secrétaire général du parti de la Justice et du Développement (PJD), a critiqué la Tunisie lors du conseil du Parti tenu à l’Institut Moulay Rachid des sports à Salé, la banlieue de la capitale Rabat.
Évoquant les aspects relatifs à la sécurité et les conditions sociales instables de la Tunisie, l’ex chef du gouvernement marocain a indiqué à Al Quds Al Arabi que « la Tunisie est un pays non contrôlé même si sa démocratie est meilleure que celle du Maroc. Quand je visite ce pays, je trouve des grèves générales et de la saleté. J’ai l’impression que certaines parties veulent le retour de la dictature ».
Voulant tempérer, Benkiran a souligné que la Tunisie lui était chère et que ça lui faisait mal de la voir dans le désordre.
Malgré ces déclarations qui portent atteinte à l’image de notre pays, les autorités concernées n’ont pas encore réagi.
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