Annonce

Réduire
Aucune annonce.

ABDELAZIZ BOUTEFLIKA: UN HOMME, UNE OEUVRE À CONTINUER- Place à la vérité des faits!

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • ABDELAZIZ BOUTEFLIKA: UN HOMME, UNE OEUVRE À CONTINUER- Place à la vérité des faits!

    Par Amine MALEK - Lundi 21 Janvier 2019
    le Président Abdelaziz Bouteflika a toujours eu à coeur de s'engager avec courage et conviction en faveur de l'intérêt général
    le Président Abdelaziz Bouteflika a toujours eu à coeur de s'engager avec courage et conviction en faveur de l'intérêt général
    A travers cette contribution, mûrement réfléchie, je voudrais mettre en exergue l'oeuvre remarquable du Président Abdelaziz Bouteflika, synonyme de sécurité, prospérité et stabilité, pour non seulement me démarquer de certaines voix qui, à l'approche des grandes échéances politiques, font fi de la valeur des hommes et des programmes et s'élèvent pour prédire le chaos dans les trois ou quatre années à venir.
    Le constat vient confirmer et réaffirmer la pertinence de la déclaration faite par une personnalité nationale à France 24, en avril dernier, qui avait au commencement appelé «à défendre» «l'oeuvre grandiose (du président, ndlr) qui doit être poursuivie» par lui. Une formule différemment perçue par les acteurs politiques, dont certains ont malheureusement pris des raccourcis pour la réduire à la simple question du scrutin d'avril 2019, nonobstant l'importance de cet événement qui rythme la vie politique de la nation, gage d'un fonctionnement régulier et ordinaire des institutions de l'Etat.
    Je veux dire que le Président Abdelaziz Bouteflika a toujours eu à coeur de s'engager, avec courage et conviction, quelles que soient les épreuves, en faveur de l'intérêt général.
    Voici donc clairement esquissée la ligne de partage entre une oeuvre de reconstruction qu'il s'agit de poursuivre et entre des promesses d'un avenir qui peut s'avérer au bout du compte sans lendemain.
    Qui niera que l'Algérie d'aujourd'hui n'a plus rien à voir avec celle des débuts des années 2000. En deux décennies, même si le bilan de Abdelaziz Bouteflika parle de lui-même, il suffit de questionner le paysage politique global, le climat sécuritaire, le volet économique, ainsi que le front social, pour s'apercevoir qu'ils ont connu des améliorations notables. Où en étaient-ils en 1999, et où en sont-ils aujourd'hui?
    Par cette problématique essentielle, j'entends ici expliquer le pourquoi de la continuité de «l'oeuvre» présidentielle qui a commencé à évoluer de manière sensible au milieu du printemps dernier, en s'appuyant notamment sur la base des importantes actions réalisées sous la conduite éclairée du Président Abdelaziz Bouteflika durant l'actuel quinquennat qui s'achève.
    Ce questionnement n'est pas passé inaperçu auprès des pays voisins et ceux du pourtour de la Méditerranée qui ont tout de suite compris les mérites de la continuité, compte tenu des derniers développements survenus dans la région.

    Un symbole de sacrifices
    Estimant l'enjeu électoral trop risqué dans une zone soumise à forte influence, le concept de la continuité est fortement privilégié. Aujourd'hui, il n'est pas seulement inscrit dans le discours des politiques, mais aussi dans celui du peuple, conscients des incertitudes pouvant découler de toute rupture brutale liée aux enjeux actuels. Cette conscience s'est traduite par des appels émanant d'acteurs majeurs.
    Par-delà le choix de l'homme, dont le parcours est un symbole de sacrifices et d'abnégation au service du pays, le devoir de vérité est à la base de toute oeuvre, et, en ces moments particuliers de l'histoire de notre pays, cet impératif est plus que jamais d'actualité.
    Quelles leçons tirer pour l'Algérie de ce quinquennat? En ce qui me concerne, je n'ai pas attendu les récentes initiatives politiques pour proposer, du fait de la conjoncture particulière que traverse le pays, la continuité de l'oeuvre présidentielle et un ressourcement de la confiance sans laquelle aucun développement n'est possible.
    Je connais, de par mon parcours, la droiture du Président Abdelaziz Bouteflika, son intégrité, son courage et ce qui se dégage de la détermination d'un homme qui a su trouver en lui les ressources et l'intelligence pour mettre en oeuvre la Concorde civile, la Réconciliation nationale et le Vivre ensemble en paix comme le couronnement de sa stratégie qui n'inclut pas seulement l'action sécuritaire pour éradiquer le terrori Il ne saurait y avoir de développement, une quelconque relance économique ou avancée démocratique, sans la sécurité, la stabilité et la paix dans une société. C'est le Président Bouteflika qui l'affirme lui-même. C'est sa conviction, et son défi réside, loin des surenchères idéologiques, dans le retour de la paix, condition sine qua non de toute évolution politique, économique ou sociale.

    Promotion de tamazight
    En instaurant «Yennayer» comme fête légale, une année après la constitutionnalisation de tamazight comme langue nationale et officielle, le président de la République se montre fidèle à sa démarche, celle qu'il a suivie depuis son accession à la magistrature suprême et qui consiste à réconcilier les Algériennes et les Algériens avec leur personnalité historique, avec eux-mêmes, de manière à conforter leur unité et donc à les rendre plus forts afin de relever les défis dans un contexte fait d'incertitudes.
    La promotion de tamazight, langue et culture, ne relève pas du slogan ou du discours, mais de programmes sectoriels au niveau de plusieurs départements ministériels. Tout récemment, la béatification de 19 religieux catholiques, restés attachés à l'Algérie, et lâchement assassinés durant la décennie noire, est un autre acte concret qui montre que notre pays ne fait pas du «Vivre ensemble en paix», un simple slogan, mais le traduit dans le quotidien.
    A l'évidence, pour tout observateur honnête, le chemin parcouru dans ce sens est tout simplement exemplaire, et on n'est encore qu'au tout début d'un long processus de réappropriation identitaire et culturelle.
    Cinq ans se sont écoulés. Les comparaisons statistiques effectuées sur plusieurs paramètres socio-économiques montrent d'une manière limpide et incontestable que l'Algérie a connu un processus de développement intégré qui a touché la totalité du territoire national. Un processus que nul ne peut nier ou occulter.
    L'oeuvre engagée par le Président Bouteflika a consolidé les bases du développement durable et ouvert des horizons nouveaux pour la relance et le redéploiement de l'économie. Ce processus n'a rien sacrifié aux engagements et responsabilités de l'Etat pour la préservation des acquis sociaux et la promotion de la justice sociale garants de la cohésion sociale et, au-delà, du front intérieur sans lequel le pays ne pourrait faire face aux défis sécuritaires multiples auxquels il est confronté dans son environnement régional. Les investissements massifs consentis dans le domaine de l'infrastructure ont contribué à une amélioration substantielle des conditions de vie de la population.
    Les réalisations du quinquennat qui s'achève, inscrites dans le programme de développement 2020-2030 ont été les plus importantes. Le pays a gagné davantage en stabilité et en sécurité et l'économie a enregistré des progrès significatifs.
    Les principaux indicateurs permettent de mesurer les progrès réalisés sur la voie du développement économique et social. On relèvera ainsi que le revenu par habitant a continué à s'améliorer pour se hisser à prés de 4000 $ US, celui du chômage de baisser pour se situer à 11,7%. L'Indice du Développement humain place l'Algérie en première position au Maghreb et en troisième position en Afrique et plus de 3,6 millions de logements livrés. Rien que pour le mois de décembre 2018, pas moins de 40.000 logements ont été distribués à l'échelle nationale. Enfin, le niveau de la dette extérieure ne représente plus que 2,7% du PIB. Ce qui place l'Algérie parmi les 10 pays les moins endettés du monde.
    La femme a vu son statut renforcé et adapté aux droits que lui confèrent la constitution et la loi pour promouvoir son rôle aux plans politique, économique et social.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    On aurait pu continuer l'énumération, mais cela suffit pour dire que le sentiment de sécurité que nous ressentons, et que l'institut américain Gallup a conforté en situant notre pays à la sixième place du classement 2017 des pays les plus sécurisés au monde, et le premier en Afrique, traduit des résultats probants, des faits palpables, des repères fiables d'une marche sûre vers «une société équilibrée, une société de justice et de vie décente».

    Dangers écartés
    Ces succès enregistrés dans maints domaines sont le fruit de la conviction et du programme d'un président qui a voué toute sa vie au service de l'Algérie et de son peuple. Un challenge qui consolide les bases du développement et de la réussite pour une société qui a connu de grandes épreuves et un déchirement profond, et qui a su, à chaque fois, grâce à ses femmes et à ses hommes, les surmonter.
    Que ce soit dans les domaines économiques, sociaux ou sécuritaires, l'Algérie ne cesse de récolter de bons points auprès des instances internationales, des États étrangers et des organisations indépendantes. Cependant, les dangers ne sont pas totalement écartés et les menaces se sont diversifiées, d'où le maintien d'un haut niveau de vigilance visant à contenir toute menace à la sécurité, et la poursuite de la lutte contre le terrorisme avec un soutien diligent des pouvoirs publics et de l'Armée nationale populaire qui, sous les orientations de Monsieur le président de la République, oeuvre à remporter l'enjeu du parachèvement de l'édification d'une institution républicaine, moderne, professionnelle et aguerrie. Sur le plan extérieur, la diplomatie algérienne, fondée sur les principes de la non-ingérence, de l'équidistance et de l'appropriation, a gagné en crédibilité et s'est affirmée comme une voix respectée et écoutée, grâce aux efforts considérables du Président Abdelaziz Bouteflika dont l'action a restauré l'image historique de l'Algérie, permis ainsi de rompre avec l'isolement diplomatique dans lequel l'Algérie était plongée après la tragédie nationale des années 90, et réussi avec brio le règlement de plusieurs conflits, à l'instar des deux pays voisins l'Éthiopie et l'Érythrée, après des années d'une guerre meurtrière.

    La diplomatie s'illustre
    La multiplication des visites de haut niveau des éminentes personnalités en 2018 atteste de l'intérêt que ces visiteurs accordent au point de vue et aux analyses du Président et de leur volonté à renforcer la coopération économique et le dialogue politique et stratégique actif sur toutes les questions d'intérêt commun.
    Au coeur du dialogue stratégique entre l'Algérie et ses principaux partenaires, l'excellence de la coopération politique, économique et sécuritaire, appelée à être développée, compte tenu de l'urgence de la paix et de la sécurité régionale et internationale.
    La diplomatie s'illustre, aussi, par son soutien aux efforts des Nations unies pour une solution juste et définitive à la question du Sahara occidental assurant l'autodétermination du peuple de ce territoire, ainsi qu'à ceux du Représentant spécial des Nations unies pour la Libye, en vue d'une rapide restauration de la paix, de la sécurité et de la Réconciliation nationale de ce pays voisin. D'autres défis continuent de se poser à nos frontières. C'est le cas par exemple du Mali où l'Algérie apporte un soutien fort à l'Accord pour la paix et la réconciliation, issu du processus d'Alger. La lutte contre le terrorisme et le crime transnational impose des actions vigoureuses, auxquelles l'Algérie n'a pas manqué de participer chaque fois que le devoir l'impose.
    Au final, sur tous ces paramètres, l'homme est, c'est incontestable, inattaquable sur son bilan. Des réalisations physiques ont transfiguré l'actuel quinquennat, qui reste grandement marqué par la préservation des acquis, la stabilité du pays et la vulgarisation de la vision de l'avenir de l'Algérie à travers le programme de développement 2020-2030.
    À l'approche des grandes échéances qui balisent la vie du pays, curieusement, quelques parties se mettent, à l'unisson, à prêcher un alarmisme de mauvais aloi. En dépit cependant des affirmations fielleuses qui ressortent cycliquement lors des grandes échéances, le pays est stable, grâce au leadership clairvoyant du Président Abdelaziz Bouteflika et à la force et la pérennité de ses institutions républicaines, qui garantissent sa protection et veillent à son intégrité territoriale.
    Pour l'observateur averti, il est clair que certaines arguties provenant de milieux, qui veulent à tout prix instaurer un climat d'incertitude, n'ont pas de place là où la transparence règne en maître absolu. Prenant leur désir pour réalité, ils invoquent une «maladie» comme un obstacle, alors que les faits sont têtus et les chiffres éloquents, montrant que l'actuel quinquennat a été le plus productif.
    Le message est ainsi on ne peut plus clair, et l'attitude à prendre ne devrait souffrir aucune ambiguïté. L'oeuvre grandiose doit être continuée par lui, c'est pourquoi toute voix patriote ne peut que s'inscrire dans cet élan qui appelle le Président Bouteflika à se porter candidat pour un nouveau mandat.
    l expression
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

    Commentaire


    • #3
      Qui niera que l'Algérie d'aujourd'hui n'a plus rien à voir avec celle des débuts des années 2000. En deux décennies, même si le bilan de Abdelaziz Bouteflika parle de lui-même, il suffit de questionner le paysage politique global, le climat sécuritaire, le volet économique, ainsi que le front social, pour s'apercevoir qu'ils ont connu des améliorations notables. Où en étaient-ils en 1999, et où en sont-ils aujourd'hui?
      Si c'est le cas, "Kater khirou" et "yerham waldih". Mais aujourd'hui, l'heure a sonné pour qu'il dégage afin que puisse se reconstruire un état où les hommes seront assujettis aux institutions et non l'inverse.

      Commentaire


      • #4
        Encore des b'nadrias qui nous bassinent avec les réalisations de fakhamatouhou.

        L'Algérie est dernière dans quasiment tous les classements...
        des Harraga de plus en plus prennent le risque de leur vie pour abandonner un navire qui coule.

        Il est vrai que Boutef a eu une chance inouie d'une opulence financière générée par des prix très hauts du baril du pétrole, mais qu'en a-t-il fait vraiment ?

        Des centaines de milliards dilapidés à acheter la paix à coups de subventions généralisées profitant bien plus aux riches qu'aux nécessiteux...

        Y a eu quelques infrastructures utiles mais à quel coût ?

        Qu'il dégage donc ce Monsieur, ca donnera peut-être un nouvel espoir à ce pays de sortir de la nuit oû il s'enfonce depuis plus d'un demi siècle.

        Un demi siècle de slogans vides, de "révolutionnaires" aussi incultes et analphabètes que prédateurs.

        Commentaire


        • #5
          Si ça peut faire plaisir, ils peuvent mettre la statue de la momie devant la mosquée chinoise.

          On appellera celle ci dar el abdelaziz.

          Une partie pourrait être consacrée pour ses adeptes pour qu'ils puissent le prier et lui demander de continuer à réaliser ses oeuvres de l'au-delà.

          Du moment qu'il dégage et laisse la place à un vivant sur le koursi quel qu'il soit.

          Déjà on aura moins honte.
          “Les mensonges sont nécessaires quand la vérité est très difficile à croire”
          Pablo Escobar après avoir brûlé le tribunal qui devait le juger.

          Commentaire


          • #6
            cest trop drole!!!! ça c'est di Djamel ould abbes!!!

            Commentaire


            • #7
              Vous avez des infos il paraît qu il se présente encore au élection

              Commentaire


              • #8
                Bonjour ya siiiiiiiiii .....

                Les progrès dont tu parles , même le Mali qui est classé parmi les dix pays les plus pauvres du monde les a réalisés...

                Arrêtez de débiter de telles cochonneries !!!!


                teo
                "Parfois, c'est en retournant le chatiment contre soi même qu'on atteint le vrai coupable" (Y.Ait-Ali, Ecrivain-Essayiste Algerien)

                Commentaire


                • #9
                  Merci yal bnadri, fakhamatouhou "le peuple algerien" te dit bagage& degage

                  Commentaire


                  • #10
                    Il faut garder cette dithyrambe à Boutef pour ses funérailles (quand bien même, je ne souhaite aucunement son décès).

                    Commentaire


                    • #11
                      les gouvernements sous Bouteflika ont beaucoup travailler les realisations sont la personne ne les nie

                      mais les gens etaient contre qu'un groupe a chaque fois pietine les reglements, a chaque fois il change les lois a chaque fois il fait une lois sur mesure

                      mais si le president avait accpeté de ce retirer pour un seul mandant la constitution n'empache pas celui qui avait fait deja president ne peut pas briguer une autre fois..
                      cette lois existe en islame pour celui qui avait divorcé 3 fois avec la meme femme ne peut l'épouser que lorsqu'il épousera une autre. t'as seulement 3 fois au divorce..si tu veux la répouser une 4 iemme il faut se marier avec une autre..
                      mais Bouteflika etait sincére

                      les gens piquent un crise surtout au niveau de la gestion, un homme atteind l'age de la retraite reste a son poste par la force au vu et au su de tout le monde alors la il bloque l'évolution des cadre. car lorsque un poste d'en haut se vide le mouvement va se faire sur sa suite..

                      le sous directeur va redevenir directeur , le sous sous directeur va redevenir sous directeur l'ingenieur va suivre le technicien va suivre

                      Commentaire


                      • #12
                        c'est comme cet tete à claques qui attend à ce que Boutef yashbaa (se rasasie) pour penser à un autre président (1mn30s)

                        Commentaire


                        • #13
                          PACK2000



                          les gouvernements sous Bouteflika ont beaucoup travailler les realisations sont la personne ne les nie

                          mais les gens etaient contre qu'un groupe a chaque fois pietine les reglements, a chaque fois il change les lois a chaque fois il fait une lois sur mesure

                          mais si le president avait accpeté de ce retirer pour un seul mandant la constitution n'empache pas celui qui avait fait deja president ne peut pas briguer une autre fois..
                          cette lois existe en islame pour celui qui avait divorcé 3 fois avec la meme femme ne peut l'épouser que lorsqu'il épousera une autre. t'as seulement 3 fois au divorce..si tu veux la répouser une 4 iemme il faut se marier avec une autre..
                          mais Bouteflika etait sincére

                          les gens piquent un crise surtout au niveau de la gestion, un homme atteind l'age de la retraite reste a son poste par la force au vu et au su de tout le monde alors la il bloque l'évolution des cadre. car lorsque un poste d'en haut se vide le mouvement va se faire sur sa suite..



                          20/20

                          Commentaire


                          • #14
                            depuis 1 mois et demi, l'algérie vit une crise majeur, ou est le parlement ? ca c'est une oeuvre de boutef

                            Violation de la constitution, ou est la justice ? ou est le conseil constitutionnel ? ca c'est l'oeuvre de bouteflika

                            Oui il a contribué à la paix civil initiée par Zeroual, je ne le nie pas mais il a bafoué les structures democratiques et de justice.

                            en 2008, il avait la chance de laisser son empreinte et de construire une nouvelle algérie, mais il a préféré changer la constitution pour rester au pouvoir.

                            maintenant si on parle du béton et du goudron, alors on peut parlers des années.

                            Commentaire


                            • #15
                              Je vais de citer les grandes réalisations de ton fakhamatou:


                              - Par son mépris du peuple algérien, il a réussi de les réunir tous contre lui !
                              - Casser toute opposition, par le chantage, corruption ou exil,


                              - Gaspiller 1000 Milliards de dollar en un temps record. Cet argent n'est pas le sien, c'est l'argent du pétrole!


                              - Corrompre le maximum d'algériens, comme ça, il peut se dire qu'il était pas le seul qui a volé l'argent du peuple!


                              - Acheter le silence des gens avec l'argent du pétrole. C'est pas son argent!


                              - Il n'a rien apporté à l'économie algérienne. Pas d'économie génératrice d'emploi si ce n'est l'argent du pétrole !


                              Résultat; on dépend toujours à 98 % du pétrole!
                              Dernière modification par algerien2014, 22 mars 2019, 21h00. Motif: erreur

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X