Si je me suis remise à écrire
c’est que ta bêtise je veux décrire
Et ton offense ne plus oublier
Si j’admets tes paroles
Et salue ton respect
C’est qu’il y a dans ce que je t’ai dit
Du vrai , un vécu déjà vu
Tu n’es plus belle ,Jeune fille
Tu ne seras en tout cas pas ma belle fille
Si je continue à te regarder aujourd’hui
Que je ravale ma colère et feins mon mépris
C’est que , entre tes mains belle chimère
Le coeur de mon coeur tu tiens
Que tu t’apprêtes à déguster sans peine
Et c’est là toute ma grande misère
Comment te l’enlever sans que tes longs ongles ne l’aient percé
comment TE le retirer sans qu’il ne te succombe
Tu m’as lié pieds et bras et cloué le bec
Comment faire et comment réagir
Comment le consoler et puis quoi dire?
Tu etais tel un glaçon qui s’obstinait à refroidir
Toutes les mains qui venaient parcourir
Cet ice-berg qui te sert de piège à désir
Tu étais sans coeur et sans amour
Un amas de chair en puanteur
Une beauté sans douceur
Quelle horrible désillusion...
Tu m’as parue monstrueusement vilaine
Dénuée de toute expression humaine
Je le voyais te suppliant presque de le regarder
cherchant en toi cette femme qui l’aimait
Qui lui sacralisait l’image de la bonne femme bien élevée
aspirant à une vie bien rangée
Quelle "g.arce" tu étais
Quelle comédienne tu es!
Je reste malgré tout loin de votre vie
Et si j’ai encore poussé mon «lion» entre tes bras
C’est qu’il n’est pas prêt à entendre tout ça
Et si chagrin il y a,
Je voudrai qu’il ne culpabilise pas
Chaque jour, j’invoquerai dieu pour toi
Qu'il ne soit jamais «tien»
Car tu n’as rien à donner ma foi!
telle une sangsue tu prends
Soit tu meures, soit tu tues
J’espère juste qu'un jour il se réveillera de ton cauchemar
Oui, un jour de tes caprices il en aura marre
Ce jour là , je pourrai me dire que mes invocations ont fusionné
Et ton plan a échoué!
c’est que ta bêtise je veux décrire
Et ton offense ne plus oublier
Si j’admets tes paroles
Et salue ton respect
C’est qu’il y a dans ce que je t’ai dit
Du vrai , un vécu déjà vu
Tu n’es plus belle ,Jeune fille
Tu ne seras en tout cas pas ma belle fille
Si je continue à te regarder aujourd’hui
Que je ravale ma colère et feins mon mépris
C’est que , entre tes mains belle chimère
Le coeur de mon coeur tu tiens
Que tu t’apprêtes à déguster sans peine
Et c’est là toute ma grande misère
Comment te l’enlever sans que tes longs ongles ne l’aient percé
comment TE le retirer sans qu’il ne te succombe
Tu m’as lié pieds et bras et cloué le bec
Comment faire et comment réagir
Comment le consoler et puis quoi dire?
Tu etais tel un glaçon qui s’obstinait à refroidir
Toutes les mains qui venaient parcourir
Cet ice-berg qui te sert de piège à désir
Tu étais sans coeur et sans amour
Un amas de chair en puanteur
Une beauté sans douceur
Quelle horrible désillusion...
Tu m’as parue monstrueusement vilaine
Dénuée de toute expression humaine
Je le voyais te suppliant presque de le regarder
cherchant en toi cette femme qui l’aimait
Qui lui sacralisait l’image de la bonne femme bien élevée
aspirant à une vie bien rangée
Quelle "g.arce" tu étais
Quelle comédienne tu es!
Je reste malgré tout loin de votre vie
Et si j’ai encore poussé mon «lion» entre tes bras
C’est qu’il n’est pas prêt à entendre tout ça
Et si chagrin il y a,
Je voudrai qu’il ne culpabilise pas
Chaque jour, j’invoquerai dieu pour toi
Qu'il ne soit jamais «tien»
Car tu n’as rien à donner ma foi!
telle une sangsue tu prends
Soit tu meures, soit tu tues
J’espère juste qu'un jour il se réveillera de ton cauchemar
Oui, un jour de tes caprices il en aura marre
Ce jour là , je pourrai me dire que mes invocations ont fusionné
Et ton plan a échoué!
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