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Intempéries sur l’ensemble de la Principauté, entraînant une hausse des prix de tous les légumes, sauf un ! Devinez lequel ?
Quoi d’neuf docteur ?
Au début, il me faisait rire. Un peu. Au milieu, j’ai commencé à me poser des questions. Et là, à la fin, à cette nouvelle fin de mandature et début d’une autre, il commence sérieusement à me chauffer les oreilles. Et les miennes chauffent rapidement, vu que leur surface pavillonnaire n’a rien à voir avec celle immense des lièvres. Nekkaz ! Oui, je sais que vous allez me rétorquer qu’il n’existe que parce que la masseuse de bain que je suis l’évoque ici, de temps à autre. Peut-être. Mais tout de même ! Certains rappels sont nécessaires. D’abord, un rappel réglementaire. Les candidats, tous les candidats à l’élection présidentielle du 18 avril doivent retirer leurs formulaires au ministère de l’Intérieur, sauf un ! Lui ! Si Rachid ! Il aurait dû retirer le sien au ministère de la Santé … mentale ! Ça commence à bien faire, le cirque ! Je le dis et le redis lorsque c’est le cirque en haut, dans le Palais. Et je le dis aussi lorsque, en bas, cet intermittent, ce mauvais intermittent du spectacle, entre deux P-V payés de niqabisées parisiennes, revient faire le pitre pathologique en Dézédie. D’accord, le pays va mal. Mais faut peut-être pas en rajouter sous la camisole ! Le t’mah’bil a ses limites, celles d’un peuple qui souffre déjà assez pour qu’un chtarbé vienne essayer ses nouveaux sketchs, roder ces dernières vannes à deux sous en Principauté. En vérité, des vannes qui ne valent même plus un sou tellement sorties et balancées aux quatre vents de l’accueil glacial. Dois-je rappeler les épisodes «extraordinaires» du fourgon de «formulaires» envolé, volé et jamais retrouvé ? Dois-je rappeler aussi les marches en short, basket et caméra GoPro, aréopage hallucinant débarquant dans des villages n’ayant ni gaz ni eau, mais des lâchers surprises d’extraterrestres ? Et là, ces dernières heures, quoi ? Si Rachid en remet une couche dans le stand-up Leader Price en accusant le ministère de l’Intérieur de discrimination dans la remise des fameux formulaires de candidature. Je trouve ce ministère en forte mansuétude de lui en avoir délivré. Et de ne pas avoir plutôt composé le seul numéro à composer en pareille situation. Celui de Frantz-Fanon-Blida ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
Quoi d’neuf docteur ?
Au début, il me faisait rire. Un peu. Au milieu, j’ai commencé à me poser des questions. Et là, à la fin, à cette nouvelle fin de mandature et début d’une autre, il commence sérieusement à me chauffer les oreilles. Et les miennes chauffent rapidement, vu que leur surface pavillonnaire n’a rien à voir avec celle immense des lièvres. Nekkaz ! Oui, je sais que vous allez me rétorquer qu’il n’existe que parce que la masseuse de bain que je suis l’évoque ici, de temps à autre. Peut-être. Mais tout de même ! Certains rappels sont nécessaires. D’abord, un rappel réglementaire. Les candidats, tous les candidats à l’élection présidentielle du 18 avril doivent retirer leurs formulaires au ministère de l’Intérieur, sauf un ! Lui ! Si Rachid ! Il aurait dû retirer le sien au ministère de la Santé … mentale ! Ça commence à bien faire, le cirque ! Je le dis et le redis lorsque c’est le cirque en haut, dans le Palais. Et je le dis aussi lorsque, en bas, cet intermittent, ce mauvais intermittent du spectacle, entre deux P-V payés de niqabisées parisiennes, revient faire le pitre pathologique en Dézédie. D’accord, le pays va mal. Mais faut peut-être pas en rajouter sous la camisole ! Le t’mah’bil a ses limites, celles d’un peuple qui souffre déjà assez pour qu’un chtarbé vienne essayer ses nouveaux sketchs, roder ces dernières vannes à deux sous en Principauté. En vérité, des vannes qui ne valent même plus un sou tellement sorties et balancées aux quatre vents de l’accueil glacial. Dois-je rappeler les épisodes «extraordinaires» du fourgon de «formulaires» envolé, volé et jamais retrouvé ? Dois-je rappeler aussi les marches en short, basket et caméra GoPro, aréopage hallucinant débarquant dans des villages n’ayant ni gaz ni eau, mais des lâchers surprises d’extraterrestres ? Et là, ces dernières heures, quoi ? Si Rachid en remet une couche dans le stand-up Leader Price en accusant le ministère de l’Intérieur de discrimination dans la remise des fameux formulaires de candidature. Je trouve ce ministère en forte mansuétude de lui en avoir délivré. Et de ne pas avoir plutôt composé le seul numéro à composer en pareille situation. Celui de Frantz-Fanon-Blida ! Je fume du thé et je reste éveillé, le cauchemar continue.
H. L.
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