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Une patiente diabétique vit depuis dix ans sans injections d'insuline grâce à une thérapie cellulaire, selon les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG)...Ce sont la, «d'immense espoir» pour les malades.
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Une greffe d'amas de cellules réparties dans le pancréas a permis à une patiente genevoise de vivre sans diabète depuis 1997, une durée «exceptionnelle» qui n'a pas d'équivalent dans le monde, ont souligné les Hôpitaux universitaires de Genève HUG dans un communiqué.
Une majorité de patients ayant subi cette thérapie doivent en effet reprendre de l'insuline au bout de quelques années.
La greffe d'amas de cellules, appelés «îlots de Langerhans» est administrée au moyen d'une simple injection en anesthésie locale. Cette intervention est nettement moins lourde qu'une transplantation du pancréas, qui permet de guérir la majorité des cas mais est souvent accompagnée de complication, ont indiqué les HUG.
Les greffes d'amas cellulaires permettent à près de 80% des patients d'arrêter les injections d'insuline. Elles «représentent certainement la solution d'avenir», selon le communiqué.
«La compréhension des spécificités de ce cas permettra d'en faire la règle plutôt que l'exception», selon les HUG, qui ajoutent que «la transplantation d'îlots a gagné sa place dans le traitement du diabète de type 1 (qui se caractérise par l'abscence de production d'insuline, ndlr)».
Les HUG ont réalisé leur première greffe d'îlots de Langerhans en 1992. Depuis, ils ont réalisé d'importants progrès dans cette technique, en collaboration avec un réseau de huit hôpitaux français. En tout, 74 greffes d'amas de cellules ont été effectuées à ce jour, dont 42 en France et 32 en Suisse.
- AP
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Une greffe d'amas de cellules réparties dans le pancréas a permis à une patiente genevoise de vivre sans diabète depuis 1997, une durée «exceptionnelle» qui n'a pas d'équivalent dans le monde, ont souligné les Hôpitaux universitaires de Genève HUG dans un communiqué.
Une majorité de patients ayant subi cette thérapie doivent en effet reprendre de l'insuline au bout de quelques années.
La greffe d'amas de cellules, appelés «îlots de Langerhans» est administrée au moyen d'une simple injection en anesthésie locale. Cette intervention est nettement moins lourde qu'une transplantation du pancréas, qui permet de guérir la majorité des cas mais est souvent accompagnée de complication, ont indiqué les HUG.
Les greffes d'amas cellulaires permettent à près de 80% des patients d'arrêter les injections d'insuline. Elles «représentent certainement la solution d'avenir», selon le communiqué.
«La compréhension des spécificités de ce cas permettra d'en faire la règle plutôt que l'exception», selon les HUG, qui ajoutent que «la transplantation d'îlots a gagné sa place dans le traitement du diabète de type 1 (qui se caractérise par l'abscence de production d'insuline, ndlr)».
Les HUG ont réalisé leur première greffe d'îlots de Langerhans en 1992. Depuis, ils ont réalisé d'importants progrès dans cette technique, en collaboration avec un réseau de huit hôpitaux français. En tout, 74 greffes d'amas de cellules ont été effectuées à ce jour, dont 42 en France et 32 en Suisse.
- AP