Rédaction du HuffPost Algérie
Cinq jours après la convocation du corps électoral par la présidence de la République, le mouvement Mouwatana se réserve le droit d’appeler au boycott si jamais l’actuel chef de l’Etat briguait un 5e mandat.
Dans un communiqué signé par son coordonateur national, Djilali Sofiane, la délégation du mouvement Mouwatana “réitère avec force son refus d’un cinquième mandat mais s’il devait advenir, il se réserve le droit de faire appel aux citoyens pour exprimer leur refus de l’usurpation de leur souveraineté de façon claire et active.”
Cela étant clair, Mouwatana “espère que les candidats potentiels à la prochaine élection présidentielle refuseront de crédibiliser, par leur présence, un scrutin dont l’issue ne fera aucun doute, à l’instar des scrutins précédents.”
Par ailleurs, Mouwatana se déclare satisfaite de “l’échec de la tentative de prolongation illégale et anti constitutionnelle, d’un mandat, lui-même contestable et contesté dans sa légitimité”.
Pour la délégation nationale du mouvement, “la vacuité de la Présidence de la République est ainsi devenue une évidence pour tous. Les négociations menées en dehors de tout cadre légal pour entraîner le pays vers l’aventure du report des élections, ont démontré à ceux qui avaient encore un doute, que le régime actuel n’est intéressé que par son propre maintien au détriment du pays.”
Le pouvoir, explique Mouwatana va tenter “de se maintenir, cette fois-ci par un 5ème mandat aussi scandaleux que dangereux pour le pays.”
“Les échecs sans appel de l’actuel régime”, précise-t-on encore, “dans la gestion politique, économique et sociale feront le lit d’une révolte populaire dont les conséquences pourraient être dévastatrices si un changement significatif et un nouvel espoir ne sont pas à l’ordre du jour.”
Enfin, Mouwatana rappelle qu’il reste “attaché à son indépendance et à ses objectifs tels que définis par sa charte de principes et valeurs : défendre la citoyenneté et militer pour un véritable Etat de droit.”
Cinq jours après la convocation du corps électoral par la présidence de la République, le mouvement Mouwatana se réserve le droit d’appeler au boycott si jamais l’actuel chef de l’Etat briguait un 5e mandat.
Dans un communiqué signé par son coordonateur national, Djilali Sofiane, la délégation du mouvement Mouwatana “réitère avec force son refus d’un cinquième mandat mais s’il devait advenir, il se réserve le droit de faire appel aux citoyens pour exprimer leur refus de l’usurpation de leur souveraineté de façon claire et active.”
Cela étant clair, Mouwatana “espère que les candidats potentiels à la prochaine élection présidentielle refuseront de crédibiliser, par leur présence, un scrutin dont l’issue ne fera aucun doute, à l’instar des scrutins précédents.”
Par ailleurs, Mouwatana se déclare satisfaite de “l’échec de la tentative de prolongation illégale et anti constitutionnelle, d’un mandat, lui-même contestable et contesté dans sa légitimité”.
Pour la délégation nationale du mouvement, “la vacuité de la Présidence de la République est ainsi devenue une évidence pour tous. Les négociations menées en dehors de tout cadre légal pour entraîner le pays vers l’aventure du report des élections, ont démontré à ceux qui avaient encore un doute, que le régime actuel n’est intéressé que par son propre maintien au détriment du pays.”
Le pouvoir, explique Mouwatana va tenter “de se maintenir, cette fois-ci par un 5ème mandat aussi scandaleux que dangereux pour le pays.”
“Les échecs sans appel de l’actuel régime”, précise-t-on encore, “dans la gestion politique, économique et sociale feront le lit d’une révolte populaire dont les conséquences pourraient être dévastatrices si un changement significatif et un nouvel espoir ne sont pas à l’ordre du jour.”
Enfin, Mouwatana rappelle qu’il reste “attaché à son indépendance et à ses objectifs tels que définis par sa charte de principes et valeurs : défendre la citoyenneté et militer pour un véritable Etat de droit.”
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