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Le FFS ne participe pas à l’élection présidentielle !

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  • Le FFS ne participe pas à l’élection présidentielle !

    Le Front des forces socialistes (FFS) ne présentera pas de candidat aux élections présidentielles du 18 avril 2019.

    «Le Conseil National considère que les conditions d’une élection démocratique, libre, honnête et transparente, à trois mois de la tenue du prochain scrutin présidentiel, ne sont pas réunies. De ce fait, le FFS ne présentera pas de candidat et ne soutiendra aucun candidat dont la participation ne servirait qu’à donner une façade faussement démocratique à un scrutin fermé d’avance au profit du candidat du régime», lit-on dans le communiqué qui a sanctionné la réunion du Conseil National du parti, ce vendredi.

    Cette décision étant prise, le FFS appelle également «la population- qui sait déjà que son vote ne comptera pour rien dans les résultats du scrutin et que les résultats officiels ne refléteront en rien le niveau réel de participation- à boycotter activement, massivement et pacifiquement un scrutin qui ne viserait qu’à pérenniser un régime autoritaire et liberticide».
    Le Soir

  • #2
    Navrant pour un si grand parti !

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    • #3
      Quand un parti au pouvoir dont est issu un premier ministre dénonce la fraude dans un collège d'électeurs reduit, puissu'il s'agit de l'élection d'un sénateur à Tlemcen, appelant de surcroît le conseil constitutionnel à contrôler l'opération de vote, et le comble de la fumisterie, appelant à des juges neutres, il me semble que l'opération électorale n'a absolument plus aucune crédibilité...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Je vais boycotter ...mais sans conviction.

        y en a marre , 3ynia men had el pouvoir ... ou 3yna men had l'opposition.

        le FFS aurait pu s'activer et faire quelque chose ...canaliser le ral le bol ? offrir un candidat de la rupture, quelqu'un qui ne mâche pas ses mots ?

        un jeux fatiguant : une opposition résignée qui boycotte a chaque fois , un hamrouche moue qui parle par code a un pouvoir autiste.

        quand y' aura pas assez d'argent pour couvrir 6 mois d'importation de blé...l'interlocuteur de ce pouvoir sera la rue .... et la rue n'est ni progressiste , ni pacifiste :

        وقد طوَّفتُ في الآفاق حتى رضيتُ من الغنيمة بالإيابِ

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        • #5
          Il y a l'armée et un pouvoir policier en Algérie, le peuple est bien ficelé, paradoxalement il se sent bien malgré le carcan, en fait le problème tire beaucoup vers le côté culturel de notre société maghrébine qui n'est pas prête à être démocratisé je dirais jamais à l'être.

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          • #6
            Boycotter, c'est jouer le jeu de la gang de Boutef...
            C'est ca qu'ils veulent les mafiosi au pouvoir, qu'on leur ouvre un boulevard en boycottant.
            L'opposition doit forcer les changement en s'impliquant à fond.

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            • #7
              aucun parti ni aucun candidat ne devrait se présente à l élection présidentielle depuis l indépendance les candidats servent de lievre le courage s est dire stop

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              • #8
                Le front du boycott s’élargit: FFS, PT, Mouwatana, RCD ... Peut être que le scenario du 5eme mandat se précise.

                Présidentielle en Algérie : le front du boycott s’élargit

                25 janvier 2019 à 16h37 | Par Rania Hamdi - à Alger

                Sans attendre le 4 mars, date limite du dépôt des candidatures, pour être fixé sur la décision de l’actuel président de la République de briguer ou non un cinquième mandat, le front du boycott du scrutin présidentiel du 18 avril s’élargit considérablement.

                Ce matin , à l’ouverture des travaux du bureau politique du Parti des travailleurs (PT), sa secrétaire générale Louisa Hanoune a estimé qu’il ne fallait pas participer à l’élection présidentielle. « C’est mon avis personnel. Je vais l’exprimer et je vais le défendre devant le comité central de mon parti. » Et pour cause, elle pense que le contexte actuel est plus dangereux que la période qui a précédé les législatives de décembre 1991 : « des élections qui avaient l’odeur du sang et qui ont jeté le pays dans la guerre et le terrorisme », a-t-elle déclaré.

                Le climat dans lequel se prépare le prochain scrutin lui rappelle aussi la situation qui prévalait en Tunisie et en Égypte en 2010 : « Les systèmes en place avaient poussé le cynisme et l’arrogance à l’extrême. Ils avaient poussé les peuples dans leurs derniers retranchements. Ce qui a provoqué des soulèvements populaires. »

                Le FFS, le RCD et le FJD également tentés

                Le conseil national du Front des forces socialistes (FFS), réuni vendredi 25 janvier en session ordinaire, doit rendre publique en fin de journée la position de cette formation politique vis-à-vis de l’échéance électorale d’avril prochain. Mais avant même l’ouverture des travaux, des membres de l’instance présidentielle du FFS ont affirmé à Jeune Afrique que l’option de la non-participation du parti au scrutin présidentiel est déjà actée, précisant qu’il s’agira d’un boycott actif ponctué de meetings pour expliquer le pourquoi d’une telle position. Car, selon les mêmes interlocuteurs, « la présidentielle ne sera pas une élection, mais une mise en scène qui ne changera rien à la crise du système qui dure depuis l’indépendance du pays ».

                Le boycott de la prochaine élection présidentielle est aussi la tendance dominante au sein du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD). Le conseil national, convoqué pour le 1er février prochain, entérinera cette option, affirment nos sources – pour qui participer au rendez-vous électoral mettrait le RCD en contradiction avec son analyse de la situation politique du pays. Le Front de la justice et du développement (FJD), présidé par Abdallah Djaballah, s’oriente également vers la même décision.

                A contrario, les représentants de la mouvance islamiste, chacun à leur manière, ont validé le processus électoral

                A contrario, les représentants de la mouvance islamiste, chacun à leur manière, ont validé le processus électoral. Ainsi, Amar Ghoul, président de Tajamou Amal el-Jazaïr (TAJ), et Ghouini Filali, secrétaire général du parti Islah, applaudissent l’idée d’un cinquième mandat du président sortant ; tandis qu’Abdelkader Bengrina, président du mouvement El-Bina, postule à la magistrature suprême, et Abderrazak Makri, président du Mouvement pour la société et la paix, n’écarte pas sa candidature.

                Mouwatana a été le premier à dénoncer activement le cinquième mandat, à travers des rassemblements et des conférences de presse. Dès la convocation du corps électoral, ce mouvement a sommé les prétendants à la magistrature suprême de se retirer si le chef de l’État, 81 ans et amoindri depuis un accident vasculaire cérébral en 2013, persistait à vouloir se présenter.

                Jeune Afrique
                Le bon sens est la chose la mieux partagée du monde... La connerie aussi - Proverbe shadokien

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                • #9
                  Le front du boycott s’élargit: FFS, PT, Mouwatana, RCD ... Peut être que le scenario du 5eme mandat se précise.
                  Même le FFS et Mouwtana jettent l'éponge avant même que le 5ème mandat soit officialisé ???

                  On est foutu.
                  Lorsque vous changez votre manière de voir les choses, les choses que vous voyez changent !

                  Ne cédez donc plus à la tentation de victimisation, si vous voulez êtes l’acteur principal de votre vie.

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                  • #10
                    il nous reste ali ghediri !

                    tiens ! pourquoi pas une alliance Guediri Benflis Assoul

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                    • #11
                      Le FFS ne participe pas à l’élection présidentielle !
                      Le FFS s'est précipité dans son boycott. Il aurait pu au moins attendre l'annonce de la candidature de Bouteflika ou pas. Et puis, c'est quoi l'alternative ? Boycotter pour boycotter ?
                      La guerre c'est le massacre entre gens qui ne se connaissent pas au profit de gens qui se connaissent mais qui ne se massacrent pas.

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                      • #12
                        En Algérie, le FFS ne pèse guère davantage qu'une plume. Donc, il a absolument raison de s'abstenir à prendre part à la présidentielle et ainsi il économisera de l'argent nécessaire à la campagne de l'élection.

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                        • #13
                          Ce que je trouve regrettable et navrant dans le cas du FFS est que le boycott des présidentielles devient systématique. Ma foi, si c'est motivé par la crainte de la fraude, cela peut se comprendre sans pour autant partager cette position.

                          Mais alors, pour quoi ne rate t-il aucune élection communale, d'APW ou celle de la députation ? Bizarre. C'est comme un club de foot qui ne veut jouer que les matchs où il a au moins peu ou prou de chances de gagner : Ceux de seconde division ou de division amateur.

                          Pas sérieux pour un si grand parti qui a accompagné l'histoire de l'Algérie !!!

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                          • #14
                            Les dés sont pipés dès le départ,
                            Je trouve que ce parti politique est très courageux, par sa résolution de boycotter cette parodie electorale signifie à l'opinion publique algérienne et internationale qu'il s'en lave les mains du destin du prochain mandat présidentiel puisqu'il tout à été décidé à l'état major de l'armée et que le civil n'a qu'à obtemperer.

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                            • #15
                              Moi personnellement j'appel tous les vrais patriotes de se lever pour soutenir le candidat Monsieur Ghedir, à signaler que Mr Ghediri avait demander à Bouteflika d’empêcher que son état de santé « soit mis à profit par certains pour mener ce pays vers le péril », le général appelle le chef de l’Etat algérien à « user de l’autorité légale, de l’autorité morale, pour que la transition se fasse dans les règles, à travers des élections propres et honnêtes, seules à même d’éviter à notre pays un désastre potentiel ».
                              Cet ancien directeur central au ministère de la Défense nationale, rappelant une rencontre avec le chef de l’Etat algérien, qui date de presque quinze ans, insiste que le Président Bouteflika avait « fait montre de réceptivité franche et de bonnes dispositions à l’égard de l’idée de changement ». Rappelant le discours de mai 2012 du Président Bouteflika, portant « sur la nécessité et l’inéluctabilité de la transition générationnelle ».
                              Que Allah soit avec vous monsieur Ghediri
                              Éclairer les nations encore obscures.

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