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influence de l'arabe dans la langue française

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  • influence de l'arabe dans la langue française

    V.janvier 2018


  • #2
    Quartier Odeon, Boulevard Saint Germain, Saint Michel...., c'est la culture et l'ouverture d'esprit, à l'opposé d'un fief de l'extrême droite en province.

    Dans la vidéo, le grand institut du monde arabe se trouve au bout du boulevard vers l'est à 15 minutes à pied.

    Même "alibigood" c'est un mot d'influence arabe et anglaise.

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    • #3
      Heureusement que Charles Martel les a arrêtés à Poitier, autrement, ils seraient en train de revendiquer la reconnaissance de leur langue à des pseudo arabes de France!!!
      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

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      • #4
        Des ancêtres des francais ont établi un royaume au levant qui a duré plus de deux siècles pendant le temps des croisades ou la langue arabe était la langue du savoir . Il est fort possible que beaucoup de mots arabes ont été emprunté et francisé ensuite durant cette période.

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        • #5
          C'est vrai, il y a de l'influence, des mots français issus de l'arabe, ce qui est de plus normal et dans toutes les langues ...
          mais faut pas exagérer genre : Baccalauréat qui vient de Bihaq Ar-riwaya بهاق الرواية

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          • #6
            Des ancêtres des francais ont établi un royaume au levant qui a duré plus de deux siècles pendant le temps des croisades ou la langue arabe était la langue du savoir . Il est fort possible que beaucoup de mots arabes ont été emprunté et francisé ensuite durant cette période.
            C'est fou ce que l'on voudrait assaisonner à "l'arabisme" ... à chaque fois on nous sort des trucs qui n'existent que dans l'imaginaire des frustrés du savoir ! ...
            Dernière modification par infinite1, 26 janvier 2019, 18h41.

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            • #7
              Envoyé par infinite1
              C'est fou ce que l'on voudrait assaisonner à "l'arabisme" ... à chaque fois on nous sort des trucs qui n'existent que dans l'imaginaire des frustrés du savoir ! ...
              Tu ignores donc l'existence dans le passé du Royaume de Jérusalem de 1099- 1291 ?

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              • #8
                En voila ici ! ...
                http://web.letras.up.pt/franba/curso...gine_arabe.htm

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                • #9
                  Tu ignores donc l'existence dans le passé du Royaume de Jérusalem de 1099- 1291 ?
                  Jérusalem existait déjà bien avant cette date sa premiére destruction fatidique par le Roi Érode remonte à 11 siècles avant J-C ...

                  Alors que la mosquée du Mont du Temple ou Dôme du Rocher est érigé par le calife Omar dans la foulée des invasions arabes ...
                  Dernière modification par infinite1, 26 janvier 2019, 19h24.

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                  • #10
                    Pas besoin d'aller si loins.
                    On parle là du temps des croisades ou les Francs ont établirent un royaume chrétiens gouverné par une élite qui parla une langue française ancienne comme son fondateur Godefroy de Bouillon, Henri de Champagne, Amaury de Lusignan etc..

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                    • #11
                      Arobase

                      Ce sont que des français blancs blancs surtout qui font la remarque en publiant des livres ou articles et non les français de culture arabe.
                      Sujet tabou, évité surtout en campagne électorale, il y a la forte peur et haine chez certains surtout fachos que la langue arabe soit enseignée dans les collèges et lycées en langue étrangère, comme pour l'espagnol, l'allemand, l'italien,....., ce que regrette de plus en plus l'Etat français pour les échanges économiques culturelles, géostratégiques.... L'Etat français s'aperçoit que la langue arabe est enseignée souvent clandestinement ou en privée car trop assimilée à la religion et paranoïa chez les arabophobes.

                      "Quelle est la place de l’arabe dans la langue française ?

                      Dans son livre Nos ancêtres les Arabes, ce que notre langue leur doit, Jean Pruvost, professeur de lexicologie et d’histoire de la langue française, montre que l’Histoire et la langue se mêlent extraordinairement. Egalement auteur du Dico des dictionnaires, Jean Pruvost retrace l’histoire des emprunts de la langue française à la langue arabe dans plusieurs champs lexicaux. Il souligne d’ailleurs que la langue arabe vient en troisième position parmi les langues vivantes auxquelles le français a le plus emprunté, après l’anglais et l’italien. Que ce soit dans le domaine de l’alimentation, de la mode ou encore de l’art, l’influence arabe sur la langue française est bien réelle. Ainsi, des mots comme algèbre, zéro, calife, abricot, gazelle, sorbet, alcool sont directement inspirés des racines voire des mots originaux en arabe. N’est-ce pas une bonne raison pour apprendre la langue arabe ? Selon Pruvost, la langue française compte plus de mots arabes que gaulois.

                      Si ces deux langues ont une histoire commune, c’est à partir du 8ème siècle que l’arabe a donné de nouveaux mots à la langue française grâce à Al Andalus, l’Espagne musulmane. Par ailleurs, pendant la période d’installation française au Maghreb, les Français utilisaient des mots usuels de l’arabe pour communiquer avec les habitants de la région. Les migrants d’Afrique du Nord provenant notamment de pays comme le Maroc, l’Algérie, la Tunisie, ont également apporté de nouvelles pratiques en Europe, principalement en France, avec les mots pour les désigner.

                      Pourquoi l’enseignement de la langue arabe classique est-il si important ?
                      Au-delà du strict intérêt linguistique, si vous vous demandez pourquoi connaître l’origine de la langue arabe, sachez que de nombreux écrivains d’origine arabe ont émaillé nos siècles jusqu’à aujourd’hui, qu’ils se soient illustrés dans la poésie, les romans, fables, contes ou encore les arts littéraires. Apprendre l’arabe procure de nombreux avantages sur le plan culturel, éducatif, économique et stratégique. Cependant, il n’est pas si simple de parler l’arabe standard moderne. En effet, comprendre l’arabe classique nécessite d’apprendre les bases de la grammaire arabe et d’un vocabulaire particulier. Les particularités de l’écriture arabe doivent également être prises en compte. La richesse et la diversité culturelle de ces pays ont d’ailleurs été mises à l’honneur le 17 mars 2017 par l’organisation internationale de la Francophonie.

                      Pour des traductions en arabe vraiment adaptées aux champs linguistique et culturel de vos cibles, rapprochez-vous d’agences de traduction professionnelles et compétentes. Plus encore, commercer avec les pays arabes nécessite bien sûr de se doter de documents commerciaux bien traduits, mais aussi de traductions techniques, voire de traductions juridiques. Accompagné par de vrais professionnels, vous bénéficierez de leurs conseils avisés et de leur maîtrise des particularités juridiques par exemple.

                      Même si l’arabe apparaît comme un trésor pour la langue française, ces territoires doivent encore réaliser des progrès significatifs en matière de développement et de stabilité, précise un rapport de 2016 du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).

                      Henry Laurens, professeur d’histoire contemporaine du monde arabe au Collège de France, a livré de nombreux ouvrages dont certains évoquent la mutation que connaît le monde arabe et en particulier l’Egypte. Ceux-ci permettent de se replonger dans des fondamentaux historiques.

                      Pour aller plus loin sur l’influence de l’arabe sur la langue française, vous pouvez utiliser le système de transcription de Hans Wehr dans son Dictionnaire de l’arabe écrit moderne."

                      dvtranslation.com 19 02 2018


                      L'Express.fr "Ce que la langue française doit à l'arabe
                      Par Marianne Payot,
                      publié le 17/04/2017 à 08:20

                      L'arabe est la troisième langue d'emprunt du français, après l'anglais et l'italien. On lui doit les mots riz, coton, abricotier, ou encore gaze et mousseline.
                      Dès le réveil, tasse de café avec sucre dans une main, jus d'orange dans l'autre, une évidence s'impose: nous parlons tous arabe sans le savoir. Aux premières pages de son emballant essai, le lexicographe Jean Pruvost met les pieds dans le plat, en écho au célèbre (et ironique) "Nos ancêtres les Gaulois", d'Ernest Lavisse: de la langue gauloise, il ne reste que quelques poignées de mots -bruyère, lande, dune, marne, etc.- qui sentent bon leur terroir, tandis que l'arabe est la troisième langue d'emprunt du français, après l'anglais et l'italien.

                      LIRE AUSSI >> Henriette Walter: "N'ayons pas peur des mots étrangers"

                      Longtemps, le monde des érudits admira l'Arabie et sa langue, rappelle Jean Pruvost avec une certaine délectation. Ainsi d'Antoine Furetière qui loue, en 1690, la profusion de son lexique et l'inventivité de ses savants. "Ce livre est né de plusieurs déclics, explique Pruvost: mon enfance à Saint-Denis, baignée dans une langue mixte savoureuse; mes années d'enseignement à l'université devant des étudiants de toutes origines, émus dès que j'abordais la question des emprunts à l'arabe; mon statut de Doc Dico sur la station Mouv'; et la dictée des cités, tirée de Quatre-vingt-Treize (de Victor Hugo), que nous avons organisée à Saint-Denis. Il y avait sur le parvis de la basilique 982 personnes, toutes bilingues. Un grand moment d'émotion."

                      Un message d'harmonie
                      A partir de là, il a "suffi" à ce "dicopathe" de piocher dans quelques-uns des 10000 dictionnaires de sa bibliothèque pour emmener le lecteur dans un édifiant voyage à travers le monde des jardiniers et des cuisiniers (riz, coton, abricotier, tamarin, jasmin, cumin), des artisans et commerçants (à noter que gaze viendrait de Gaza, et mousseline de Mossoul), du vocabulaire du corps et des parfums, mais aussi des pierres précieuses, de la flore, des oiseaux, de la chimie, de la marine, de la musique, des guerres...

                      Y aurait-il un domaine non investi? "Aucun, à part l'informatique, peut-être; et, encore, arobase vient de l'arabe, tout comme le chiffre zéro, symbolique de l'intégration réussie de l'arabe dans la langue française", s'amuse l'auteur. Qui, tout en faisant l'étymologie des vocables, cite volontiers les nénufars de Verlaine, l'albatros de Baudelaire, les oranges d'Alphonse Daudet, le zob d'Emile Ajar, jusqu'aux calife (Haroun El Poussah) et vizir (Iznogoud) de Goscinny et de Tabary.

                      On saute de bougie, qui provient de la cire pour les chandelles que l'on importait de la ville algérienne de Bougie, au quintal, qui n'a rien à voir avec le latin quinque (cinq) mais tout avec l'arabe quintar ("poids de 100 unités"). Et l'on comprend le message d'harmonie du Pr Pruvost: "Il s'agit de réveiller les personnes qui fuient dès que l'on prononce le mot arabe." Ou de faire du ramdam (issu du mot ramadan), comme rapporté par les appelés d'Algérie, témoins, la nuit venue, de la reprise de l'activité collective. "
                      Dernière modification par panshir, 27 janvier 2019, 00h17.

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                      • #12
                        des français blancs blancs
                        Je me demande qu'elle est le niveau de blancheur requit pour pouvoir se qualifier de "blanc blanc"

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                        • #13
                          Qui, tout en faisant l'étymologie des vocables, cite volontiers les nénufars de Verlaine, l'albatros de Baudelaire, les oranges d'Alphonse Daudet, le zob d'Emile Ajar, jusqu'aux calife (Haroun El Poussah) et vizir (Iznogoud) de Goscinny et de Tabary.
                          Cette liste n'est pas exhaustive. On peut citer également les Djinns de Victor Hugo et une symphonie de même intitulé du compositeur César Franck et certainement d'autres qu'on oublie.
                          ثروة الشعب في سكانه ’المحبين للعمل’المتقنين له و المبدعين فيه. ابن خلدون

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                          • #14
                            Lakhdari,

                            "blanc blanc"? Si intéressé, il faut demander à Lepen.

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                            • #15
                              Ou à Coluche ...

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