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« La sécurité alimentaire de l’Algérie n’est couverte qu’à 55% par la production nationale »

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  • « La sécurité alimentaire de l’Algérie n’est couverte qu’à 55% par la production nationale »

    Depuis longtemps, il a été démontré qu'avec ses terres arables (13% de son territoire), l'Algérie n'est pas apte à nourrir son peuple.

    Faudrait-il dès lors qu'elle s'inspire de la Chine en achetant des terres à l'étranger afin d'être autosuffisante?

    - « Une grande partie de l’alimentation que nous consommons est acquise à l’extérieur dans les marchés internationaux. Nos huiles, nos sucres et la majeure partie de nos poulets viennent de l’étranger sous forme de maïs et de soja (NDLR, leur alimentation). "

    " Quand on examine attentivement les disponibilités, on s’aperçoit que la sécurité alimentaire de l’Algérie n’est réellement couverte qu’à 55 % par la production nationale, bien inférieure au 70 % annoncés ici et là », a affirmé ce, mardi 29 janvier, Fouad Chehat, expert en agronomie et ancien directeur de l’INRA (Institut national de la recherche agronomique).

    Selon M. Chehat, 80 % du blé tendre consommé en Algérie provient de l’étranger. Il a averti que cette situation n’est pas durable puisque les importations de produits alimentaires est assuré grâce aux recettes pétrolières.

    « Nous avons certes atteint des niveaux de rendement qu’on n’envisageait même pas, il y a trente ans, mais notre point faible énorme est relatif aux semences et aux plants. Les semences et les plants sont totalement importés concernant les légumes. Il y a des efforts pour produire les semences de blé. Même là aussi, nous couvrons que 70 % des besoins avec des semences d’anciennes variétés », a-t-il appuyé sur la radio Chaîne III.

    L’expert a critiqué une stratégie défaillante en la matière. Seule la recherche agronomique peut, d’après lui, régler le problème des semences, des plants et des géniteurs (pour les animaux) en produisant les variétés nouvelles qui s’adaptent mieux aux conditions agro-climatiques de l’Algérie et « qui permettent d’augmenter les rendements ».

    Un projet de banque de gènes bloqué depuis 24 ans

    « La recherche agronomique est le parent pauvre de la recherche scientifique en Algérie et le parent pauvre de tous les investissements qu’a pu faire l’État depuis 1962 jusqu’à nos jours. Il est normal que nous n’ayons pas de résultats. Nous ne pouvons pas continuer à importer des semences de variétés développées chez les autres », a-t-il prévenu.

  • #2
    l'algerie a toujours misé sur le blé dure riche en proteine panifiable et source de patte alimentaire..sauf que le defirchement fait par lla periode coloniale est arrié a terme..le sol ne produit pls assez..l'erosion fait rage et diminue l'epaisseur arrable jadis composé par des compostes naturel du tapis vegetal..pendant les prelieres année de l'aire coloniale l'empire faisait jusqu'a 100 quinteau a l'hectare en blé dure qu'elle exprtait pour les industriels aprtout dans le monde..maintenant on depasse guerre les 20 quintaux a l'hectare...
    dans les années avenir l'algerie sera obligé de se retourner vers l'arboriculture car les racines des arbres vont en profondeur...ils sont obligé de choisir des arbre qui entre dans les plat quotidiens
    raisin sec prune sec habricot sec olive figue, amande, kharoube,

    en algerie malheuresement l'economie est programée par des gens qui ont fait science sociale et humaine..ils ne savent pas ce qui se passent dans le domaine de la production,,tu trouves un adminsitrateur qui est née dans une cité dans une ville qui fait l'agriculture et l'industrie des bureaux

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    • #3
      @pack 2000: La question essentielle consiste à savoir si l'Algérie ne devrait-elle pas privatiser certains secteurs et principalement ceux de l'agriculture ainsi que celui de l'hôtellerie?

      Avec toutes les importations qu'effectuent l'Algérie en céréales au coût de milliards de dollars , l'Algérie devrait-elle pas privilégier les paysans du pays en les équipant de moyens modernes et les inviter d'être de véritables entrepreneurs et s'enrichir ( même si je m'oppose à une telle alternative).

      Parfois, il faut savoir commettre une forme "d'adultère" à son idéologie et reconnaître qu'une paysannerie privée algérienne ( idem l'hôtellerie) pourrait être une solution (d'autant plus que le slogan algérienne lors la réforme agraire stipulait que : " la terre n'appartient qu'à celui qui la travaille" afin d'incriminer les colons français).

      Question ?
      Dernière modification par rago, 30 janvier 2019, 00h41.

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      • #4
        @rago

        c'est ce qui se dit dans ls bureaux mais sur le terrain c'est autre chose..
        l'algerie n'a pas encore compris que l'agriculture des années 20 c'est totelment industrialisé et modernisé..
        chez nous on ne dit pas agroalimentaire mais toujours filaha et fellah...
        genralement c'est un milieu d'illetrés et désargenté..
        dans les pays modernes comme les etats unis canada la filaha n'est plus filaha comme le siecle des esclaves noirs..la majorité des noirs ne sont plus en agricultures. l'industrie et la robotiques ont remplacé l'ouvrier..
        chez nous meme letourisme est resté archairic geré par les anciennes methodes des sieles derniers..un peu d'argent une batisse un lit et le tour est joué; comme l'éleveur de jadis un peu d'argent un troupeau et un jeune berger souvent un orphelin ni chaussure ni vetment ni salaire ni rien
        tout ce que fait l'investisseur misrable en argent et surtout en savoir faire ni diplome ni rien chaque quinzaine il va avec son camion chargé les moutons et le vendre sur le souk de betail..ça se faisait partout dans le monde même en Europe..et en asie mineur
        mais maintenant tout est automatisé rationalisé calculé robotisé informatisé
        jadis pour produire 1000 tete de salade il fallait un demi hectare 5000 m² maintenant avec une serre de 500 m² tu peux produire le double sinon le quadruple si tu produit en hauteur en aquaculture sans sol

        voila même le tourisme est redevenu industriels avec une industrie de cinema de télévision de robotique d'informatique etc..

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