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Les sous-marins de la marine algérienne provoquent la panique en Espagne
L’adjoint-commandant des forces navales espagnoles, l’amiral Manuel Garat, a fait une déclaration qui n’a pas manqué d’attirer la curiosité de la presse madrilène, en disant que son pays était exposé à des attaques venant aussi bien du Portugal que d’Algérie, en reconnaissant tacitement que l’Espagne commençait à perdre le contrôle des eaux de la péninsule ibérique méridionale face à la marine algérienne qui, avec sa flotte de sous-marins, s’y impose comme première puissance.
L’officier espagnol s’exprimait dans une cérémonie officielle organisée, lundi, à Vigo, une ville surplombant l’Atlantique, où des questions lui ont été posées sur le récent réarmement de la marine algérienne qui a reçu, il y a quelques semaines, de nouveaux sous-marins russes modernes.
Selon le journal en ligne espagnol El Confidencial Digital, le débat a porté sur la supériorité de la marine algérienne qui ne cesse de renforcer sa flotte avec de nouveaux sous-marins par rapport à la marine espagnole qui n’en compte que deux anciens actifs. «L’Algérie, par exemple, a aujourd’hui un potentiel sous-marin supérieur à celui de l’Espagne. C’est quelque chose d’inédit», a déclaré la même source, rappelant un aphorisme disant que «celui qui contrôle les mers est celui qui en contrôle les profondeurs et non pas la surface».
«L’Algérie dispose actuellement de deux nouveaux sous-marins de type 636M, achetés en Russie en 2014 et livrés ces dernières années», indique le site espagnol, alors que l’Espagne utilise deux vieux submersibles, de type S-70 – le Tramontana et le Mistral – insuffisants pour couvrir un littoral de 3 500 km, alors que la situation ne devrait pas s’améliorer en Espagne avant l’arrivée des nouveaux sous-marins S-80, qui ne devraient pas avoir lieu avant 2022. «En outre, ajoute la même source, l’Algérie a récemment fait une nouvelle commande pour deux autres navires militaires de même type.»
Le site espagnol a illustré son article par deux sous-marins de la marine algérienne au port de Mers El-Kebir à Oran.
L’adjoint-commandant des forces navales espagnoles, l’amiral Manuel Garat, a fait une déclaration qui n’a pas manqué d’attirer la curiosité de la presse madrilène, en disant que son pays était exposé à des attaques venant aussi bien du Portugal que d’Algérie, en reconnaissant tacitement que l’Espagne commençait à perdre le contrôle des eaux de la péninsule ibérique méridionale face à la marine algérienne qui, avec sa flotte de sous-marins, s’y impose comme première puissance.
L’officier espagnol s’exprimait dans une cérémonie officielle organisée, lundi, à Vigo, une ville surplombant l’Atlantique, où des questions lui ont été posées sur le récent réarmement de la marine algérienne qui a reçu, il y a quelques semaines, de nouveaux sous-marins russes modernes.
Selon le journal en ligne espagnol El Confidencial Digital, le débat a porté sur la supériorité de la marine algérienne qui ne cesse de renforcer sa flotte avec de nouveaux sous-marins par rapport à la marine espagnole qui n’en compte que deux anciens actifs. «L’Algérie, par exemple, a aujourd’hui un potentiel sous-marin supérieur à celui de l’Espagne. C’est quelque chose d’inédit», a déclaré la même source, rappelant un aphorisme disant que «celui qui contrôle les mers est celui qui en contrôle les profondeurs et non pas la surface».
«L’Algérie dispose actuellement de deux nouveaux sous-marins de type 636M, achetés en Russie en 2014 et livrés ces dernières années», indique le site espagnol, alors que l’Espagne utilise deux vieux submersibles, de type S-70 – le Tramontana et le Mistral – insuffisants pour couvrir un littoral de 3 500 km, alors que la situation ne devrait pas s’améliorer en Espagne avant l’arrivée des nouveaux sous-marins S-80, qui ne devraient pas avoir lieu avant 2022. «En outre, ajoute la même source, l’Algérie a récemment fait une nouvelle commande pour deux autres navires militaires de même type.»
Le site espagnol a illustré son article par deux sous-marins de la marine algérienne au port de Mers El-Kebir à Oran.
N'oublions pas aussi que ce pays fabrique une grande partie de ses besoins en armement.
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