Dans mon sang coulent mille sangs
Je n'ai pas d'âge, j'ai mille ans
Je porte l’âme de ceux qui ne sont plus
Je respire leur souffle qui me traverse
La nuit au plus noir du salon
Quand l’espoir s’en vient à perdre le dessus
Qu’un « qui je suis où je vais ? » me bouleverse
J'entends leurs voix poignantes jaillir du violon
S’échappent larmes de bonheur-malheur diffus
S’évadent émotions de leur carcan
Contre mon corps je presse l’enfant
Que je chéris que j’ai conçu
Dépositaire de la femme qui d'antan fut
Suis-je d'est ou d’Occident ?
Dans mon sang coule l’Orient
Je n’ai pas d’âge, j’ai mille ans
@ -philomonique - copyrighted juin 2016
Je n'ai pas d'âge, j'ai mille ans
Je porte l’âme de ceux qui ne sont plus
Je respire leur souffle qui me traverse
La nuit au plus noir du salon
Quand l’espoir s’en vient à perdre le dessus
Qu’un « qui je suis où je vais ? » me bouleverse
J'entends leurs voix poignantes jaillir du violon
S’échappent larmes de bonheur-malheur diffus
S’évadent émotions de leur carcan
Contre mon corps je presse l’enfant
Que je chéris que j’ai conçu
Dépositaire de la femme qui d'antan fut
Suis-je d'est ou d’Occident ?
Dans mon sang coule l’Orient
Je n’ai pas d’âge, j’ai mille ans
@ -philomonique - copyrighted juin 2016