Le président du parti Jil Jadid, Sofiane Djilali, a indiqué, aujourd’hui dimanche, au Forum de Liberté, que le défi du pouvoir «n’est pas de construire l’Algérie», mais d’«imposer encore aux Algériens un homme inexistant», en faisant ainsi allusion à l’opération en cours de reconduction du Président Abdelaziz Bouteflika pour un cinquième mandat.
«Leur défi est de marginaliser toute une société en la contrôlant et en empêchant tout contact entre les algériens. Leur défi est de reconduire un homme qui ne peut plus rien y compris pour lui-même», a-t-il soutenu.
Sofiane Djilali estime ainsi que «les algériens sont appelés à saluer une image, un homme qui ne parle pas, qui ne discourt pas et qui ne s’adresse pas à la nation. Un homme derrière qui on distribue des prérogatives de manière anticonstitutionnelle et on gère le pays comme on gère une tribu ou une épicerie».
Et de conclure : «l’Algérie a besoin d’un homme qui travaille au moins 16 heures par jour. Or, l’Algérie est actuellement gérée par un homme presque vivant».
Rédaction Web
«Leur défi est de marginaliser toute une société en la contrôlant et en empêchant tout contact entre les algériens. Leur défi est de reconduire un homme qui ne peut plus rien y compris pour lui-même», a-t-il soutenu.
Sofiane Djilali estime ainsi que «les algériens sont appelés à saluer une image, un homme qui ne parle pas, qui ne discourt pas et qui ne s’adresse pas à la nation. Un homme derrière qui on distribue des prérogatives de manière anticonstitutionnelle et on gère le pays comme on gère une tribu ou une épicerie».
Et de conclure : «l’Algérie a besoin d’un homme qui travaille au moins 16 heures par jour. Or, l’Algérie est actuellement gérée par un homme presque vivant».
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