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L’usine EvCon installée par le groupe Cevital près de Charleville, dans les Ardennes, entrera en production « dans un mois », soit fin février ou début mars, rapporte le journal régional L’Ardennais.
Le site, dont l’installation en France a été annoncée par Issad Rebrab le 8 novembre dernier, fonctionnera avec trois unités de production dans un premier temps avant de monter à cinq. L’usine produira des membranes filtrantes de deuxième génération, fabriquera des stations de production d’eau ultra-pure ainsi que des stations de dessalement et de dépollution des eaux usées.
Cette première tranche du projet, dont la réalisation a déjà bien avancé, n’est qu’un « petit centre de production » lancé par EvCon pour honorer les commandes en membranes de deuxième génération, a révélé le patron d’EvCon, Kamal Benkoussa, cité par le journal français. Le but à terme est d’installer une unité qui fabriquera des membranes filtrantes de troisième génération.
L’usine emploiera 1 000 travailleurs et les équipes sont déjà sur place, avec à leur tête un Directeur général, Laurent Bouet. « Nous allons faire venir les lignes de 3e génération qui sont en Allemagne, à Munich d’ici trois ans maximum », a annoncé le DG
Le coût du projet industriel d’Issad Rebrab dans les Ardennes est estimé en novembre à 250 millions d’euros avec une possible contribution des pouvoirs publics français, de fonds européens ou de la Caisse des dépôts et consignations, selon l’Ardennais. « Nous avons des discussions avec Buisness France. Nous avons rencontré plusieurs banquiers et nous devons en principe rencontrer la BPI (Banque Publique d’investissement) », a indiqué le PDG du groupe Cevital Issad Rebrab.
Toutefois, des inquiétudes persistent quant à la possibilité qu’aura le groupe Cevital de mobiliser ses fonds en Algérie. « Même si les lois existent, il est difficile d’obtenir de la Banque d’Algérie de débloquer des fonds pour des investissements à l’extérieur », a reconnu Rebrab qui a toutefois tenté de rassurer : « Nous sommes des gens crédibles auprès des banques françaises d’autant que nous avons une activité innovante et disruptive […]. Le projet est bancable, il n’y a pas de raison pour que nous ne soyons pas financés ».
tsa
Le site, dont l’installation en France a été annoncée par Issad Rebrab le 8 novembre dernier, fonctionnera avec trois unités de production dans un premier temps avant de monter à cinq. L’usine produira des membranes filtrantes de deuxième génération, fabriquera des stations de production d’eau ultra-pure ainsi que des stations de dessalement et de dépollution des eaux usées.
Cette première tranche du projet, dont la réalisation a déjà bien avancé, n’est qu’un « petit centre de production » lancé par EvCon pour honorer les commandes en membranes de deuxième génération, a révélé le patron d’EvCon, Kamal Benkoussa, cité par le journal français. Le but à terme est d’installer une unité qui fabriquera des membranes filtrantes de troisième génération.
L’usine emploiera 1 000 travailleurs et les équipes sont déjà sur place, avec à leur tête un Directeur général, Laurent Bouet. « Nous allons faire venir les lignes de 3e génération qui sont en Allemagne, à Munich d’ici trois ans maximum », a annoncé le DG
Le coût du projet industriel d’Issad Rebrab dans les Ardennes est estimé en novembre à 250 millions d’euros avec une possible contribution des pouvoirs publics français, de fonds européens ou de la Caisse des dépôts et consignations, selon l’Ardennais. « Nous avons des discussions avec Buisness France. Nous avons rencontré plusieurs banquiers et nous devons en principe rencontrer la BPI (Banque Publique d’investissement) », a indiqué le PDG du groupe Cevital Issad Rebrab.
Toutefois, des inquiétudes persistent quant à la possibilité qu’aura le groupe Cevital de mobiliser ses fonds en Algérie. « Même si les lois existent, il est difficile d’obtenir de la Banque d’Algérie de débloquer des fonds pour des investissements à l’extérieur », a reconnu Rebrab qui a toutefois tenté de rassurer : « Nous sommes des gens crédibles auprès des banques françaises d’autant que nous avons une activité innovante et disruptive […]. Le projet est bancable, il n’y a pas de raison pour que nous ne soyons pas financés ».
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