Au dernières nouvelles, E. Macias devrait tourner un film au Maroc à propos d'un père maghrébin en désaccord avec sa fille.
- A l’approche du concert d’Enrico Macias, prévu le 14 février au Mégarama de Casablanca, la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) s’est fendue d’un tweet exprimant son «soutien total» au chanteur, rattrapé par ses prises de position soutenant ouvertement l’armée israélienne et poussant des militants marocains à appeler au boycott de l’évènement.
Selon l’association, l’artiste serait «victime d’une cabale immonde de la part d’obscurantistes patentés et de sycophantes activistes qui, toujours, sont du côté du boycott et de la censure, jamais du côté de la liberté et de la culture».
Réagissant à une publication de Madjid Messaoudene, conseiller municipal (FG) délégué à l’égalité des droits à Saint-Denis, la LICRA s’aligne sur l’agressivité des défenseurs de ce concert, à l’image de l’avocat franco-israélien Gilles-William Goldnadel.
Invité le 1er février dernier sur RMC avec Enrico Macias, le juriste proche de l’extrême-droite israélienne a taxé les opposants à l’arrivée du chanteur au Maroc de «crétins qui sont contre la paix entre Israël et les pays arabes» (sic), arguant que l’artiste «a même chanté pour Yasser Arafat».
Membre de Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS) Maroc, le Moroccan academic and cultural boycott of Israël (MACBI) a alerté, le mois dernier, sur la venue non grata du chanteur. Anis Balafrej, militant propalestinien qui soutient l’appel, a précédemment réagi auprès de Ya...bi affirmant qu’Enrico Macias «n’est pas le bienvenu».
Si le chanteur et l’avocat mettent en avant la tolérance du pays, l’activiste souligne que «le peuple marocain est tolérant, en effet, mais il ne tolèrera jamais de passer sous silence les souffrances causées aux Palestiniens par les occupants et il sait très bien ce que leur fait l’unité de garde-frontière israélienne qu’Enrico Macias soutient à travers Migdal»-.
Ya...bi
- A l’approche du concert d’Enrico Macias, prévu le 14 février au Mégarama de Casablanca, la Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme (LICRA) s’est fendue d’un tweet exprimant son «soutien total» au chanteur, rattrapé par ses prises de position soutenant ouvertement l’armée israélienne et poussant des militants marocains à appeler au boycott de l’évènement.
Selon l’association, l’artiste serait «victime d’une cabale immonde de la part d’obscurantistes patentés et de sycophantes activistes qui, toujours, sont du côté du boycott et de la censure, jamais du côté de la liberté et de la culture».
Réagissant à une publication de Madjid Messaoudene, conseiller municipal (FG) délégué à l’égalité des droits à Saint-Denis, la LICRA s’aligne sur l’agressivité des défenseurs de ce concert, à l’image de l’avocat franco-israélien Gilles-William Goldnadel.
Invité le 1er février dernier sur RMC avec Enrico Macias, le juriste proche de l’extrême-droite israélienne a taxé les opposants à l’arrivée du chanteur au Maroc de «crétins qui sont contre la paix entre Israël et les pays arabes» (sic), arguant que l’artiste «a même chanté pour Yasser Arafat».
Membre de Boycott, désinvestissement et sanctions (BDS) Maroc, le Moroccan academic and cultural boycott of Israël (MACBI) a alerté, le mois dernier, sur la venue non grata du chanteur. Anis Balafrej, militant propalestinien qui soutient l’appel, a précédemment réagi auprès de Ya...bi affirmant qu’Enrico Macias «n’est pas le bienvenu».
Si le chanteur et l’avocat mettent en avant la tolérance du pays, l’activiste souligne que «le peuple marocain est tolérant, en effet, mais il ne tolèrera jamais de passer sous silence les souffrances causées aux Palestiniens par les occupants et il sait très bien ce que leur fait l’unité de garde-frontière israélienne qu’Enrico Macias soutient à travers Migdal»-.
Ya...bi
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