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Il a développé sa vision et ses propositions sur plusieurs questions nationales : Ali Ghédiri

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  • Il a développé sa vision et ses propositions sur plusieurs questions nationales : Ali Ghédiri

    PAR ALGERIE MONDE INFOS5 FÉVRIER 2019




    Le candidat à la candidature au scrutin présidentiel prochain, Ali Ghediri, a donné une interview, ce mardi 5 février, au site électronique TSA, dans lequel il a esquissé les grandes lignes de son programme, sur plusieurs questions d’actualité nationale et international.

    Ali Ghédiri, a également répondu à certaines interrogations concernant ses rapports avec l’ex-homme fort des renseignements le général Médiene, dit Toufik, en l’occurrence.

    « En quoi Toufik pourrait m’être utile ? »

    Sur ce dernier, point le candidat, s’est voulu clair : Entre les deux homme il y a eu une relation professionnelle mais, aujourd’hui, des rapports amicaux sans plus.

    « Il était responsable d’un appareil et moi directeur central, on devait nécessairement avoir des relations fonctionnelles. On s’appelle à l’occasion de l’Aïd, lui ou d’autres. Ce serait de l’impolitesse que de ne pas garder les relations », a-t-il précisé, avant de suggérer que l’ex-patron du DRS, n’étant plus n fonction ne peut, donc, lui être « utile ».

    «Toufik, c’est eux qui l’ont utilisé. Quand il était à la tête du DRS, c’est lui qui contribuait avec eux dans la politique pas moi. Maintenant qu’ils l’ont jeté, qu’est-ce qu’il peut m’apporter ? Quand il pouvait être utile, c’est eux qui l’ont pris », a-t-il argumenté.

    « Le bilan de Bouteflika ? Rien de positif ! »

    S’agissant de son rival éventuel, le chef de l’Etat en l’occurrence, en perspective du 18 avril, prochain, Ali Ghediri, ne trouve dans gestion durant les 4 mandats de son règne, rien qui puisse être positivé à ses yeux. « Je reviens à son slogan, une Algérie forte et digne. Où est l’Algérie forte et digne ? Sur le plan économique, je pense qu’il n’y a pas de commentaire à faire là-dessus, c’est la planche à billet qui fait fonctionner le pays. Y a-t-il eu de grandes réalisations économiques ? Sommes-nous sortis de l’économie de la rente ? A-t-on produit et exporté autre chose que le pétrole ? », a-t-il critiqué.

    Service national : « Il y aura des mesures en faveur des jeunes »

    Abordant la question de l’Institution militaire, et est-ce qu’il envisage d’y apporter des réformes, Ali Ghediri, sera affirmatif, annonçant qu’il se présente aux présidentielles, «pour réformer et aucun secteur n’échappera aux réformes, y compris l’armée», arguant du fait qu’il «bien placé pour en parler et bien outillé pour le faire», mais sans plus de détail.

    Néanmoins, nous saurons que le candidat à la candidature, prévoit dans son programme des mesures concernant le service national des jeunes, qui « seront dans leur intérêt et je pense qu’elles dépasseront leurs espérances. (…) L’armée doit être une institution au service de la nation, du peuple, de la sécurité et de la défense du pays, pas au service d’un régime politique.»



    «Je veux rompre avec tout ce qui sème le désespoir chez les Algériens »

    Sur son leitmotiv de « rupture » le général candidat, réitérera qu’il s’agira de rompre avec «la corruption, les institutions non démocratiques, avec les pratiques qui rétrécissent les libertés individuelles, avec le contrôle de toute chose, dont l’appareil judiciaire, avec tout ce qui entrave l’Algérie et sème le désespoir chez les Algériens. Je ne suis pas un procureur pour mettre les gens en prison ou demander des comptes. Je viens pour régler les problèmes du pays, pour répondre aux préoccupations du citoyen et à son aspiration à une vie meilleure afin de réduire ce fossé entre le peuple et le gouvernement. »

    « Pas d’économie viable sans bonne gouvernance »

    Concernant sa vision de l’économie nationale et de sa réforme, s’il était élu chef de l’Etat, Ali Ghediri posera d’emblée que «le problème est avant tout politique». Dans le sens, selon, lui, où il faut réussir « à réformer les institutions et à revoir la philosophie de la gouvernance, (pour que ) l’Algérie sorte de la crise la tête haute. (…) Dans ma conception, l’économie ce n’est pas des entreprises publiques ou privées. Ni les unes ni les autres ne peuvent nous sortir seules de la crise. Pour moi le capital public ou privé doit être productif et régi par les lois de l’État, payer ses impôts, créer de la valeur ajoutée et des emplois. Il n’y a pas de différence entre les secteurs public et privé. (…) Il faut cesser d’exporter un seul produit, à l’état brut d’ailleurs. Il faut mettre en place une industrie de transformation et une économie de la connaissance qui dégage une plus-value conséquente. (…) Nous allons mettre en place des mécanismes pour réduire la part de l’informel dans l’économie. (…) Le pouvoir parle de la politique sociale comme d’une faveur, alors que l’État social a été acté dans la déclaration de Novembre. », a-t-il estimé

    « Le remède contre la corruption, une justice indépendante »

    Comment compte-il combattre la corruption ? A cette question, Ali Ghediri développera la problématique en estimant qu’ « on ne peut pas combattre la corruption si le citoyen n’a pas sa place dans l’équation politique. C’est le citoyen qui commence à montrer du doigt les corrompus. On ne peut pas combattre la corruption si la justice attend les injonctions par téléphone ou si les instances créées à cet effet sont gelées et attendent des décisions. La corruption est aujourd’hui une menace pour la sécurité nationale. Pour la combattre il faut mettre en place des mécanismes dont le premier c’est la séparation des pouvoirs. Lorsque le juge n’attendra pas d’ordre du politique, je pense que les choses irons mieux ».

  • #2
    S’agissant de son rival éventuel, le chef de l’Etat en l’occurrence, en perspective du 18 avril, prochain, Ali Ghediri, ne trouve dans gestion durant les 4 mandats de son règne, rien qui puisse être positivé à ses yeux. « Je reviens à son slogan, une Algérie forte et digne. Où est l’Algérie forte et digne ? Sur le plan économique, je pense qu’il n’y a pas de commentaire à faire là-dessus, c’est la planche à billet qui fait fonctionner le pays. Y a-t-il eu de grandes réalisations économiques ? Sommes-nous sortis de l’économie de la rente ? A-t-on produit et exporté autre chose que le pétrole ? », a-t-il critiqué.



    facile de critiquer le bilan des autres quand on en a aucun !!!


    l'Algérie connait 1 grave crise économique depuis 1 bon moment comme beaucoup de pays de part le monde , beaucoup de grand projet on été mené a leurs fins , beaucoup de choses on été faite en Algérie ses 10 dernières années pas assez surement !!!

    ce gheridi na jamais parlé de la menace a haut risque a nos frontières du job parfait des forces de sécurité et ANP sur le qui vive 24/24h des victimes du terrorismes aberrant pour 1 ancien général major qui ne parle que de ses diplômes il se targue d'avoir passé 40 ans sous les drapeaux vraiment aucune reconnaissance tu crache sur l'institution militaire qui ta nourri etc. etc. je préfère 1000 fois rebrab président qu'un guignol comme toi

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