Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) a assuré dans un communiqué rendu public hier mercredi que le Président de la République Abdelaziz Bouteflika « n’est pas en mesure d’assurer un cinquième mandat ».
« Le président Abdelaziz Bouteflika est dans l’incapacité de demeurer au pouvoir à cause de la nature de sa maladie et sa candidature pour un cinquième mandat n’est pas dans son intérêt, mais dans celui de ceux qui bénéficient de la situation», affirme le MSP.
Le principal parti islamiste du pays a estimé que les partisans du cinquième mandat de Abdelaziz Boureflika « doivent assurer leur responsabilité entière devant ce qui pourrait découler de leurs manœuvres politiciennes comme dangers potentiels pour l’Algérie. L’histoire retiendra leur comportement s’ils venaient à franchir le pas et à mobiliser les moyens de l’État pour faire passer leur projet ».
Le parti d’Abderazak Makri a réitéré l’importance du scrutin du mois d’avril, qui serait « un annonciateur de la fin d’une époque et du début d’une nouvelle ère où la priorité ne sera pas au positionnement personnel ou partisan, mais au resserrement des rangs. Une nouvelle ère où il faudra éviter la dispersion des efforts et la réédition des expériences infructueuses ».
Si le président Bouteflika n’a pas confirmé sa candidature à la prochaine présidentielle, les partis de la coalition lui ont quant à eux apporté leur soutien officiel. Les quatre partis de la coalition au pouvoir (FLN, RND, MPA et TAJ) ont apporté leur soutien officiel samedi dernier à une candidature du président Abdelaziz Bouteflika à un cinquième mandat, une démarche qui pourrait précéder une candidature personnelle du chef de l’État.
ObservAlgérie
« Le président Abdelaziz Bouteflika est dans l’incapacité de demeurer au pouvoir à cause de la nature de sa maladie et sa candidature pour un cinquième mandat n’est pas dans son intérêt, mais dans celui de ceux qui bénéficient de la situation», affirme le MSP.
Le principal parti islamiste du pays a estimé que les partisans du cinquième mandat de Abdelaziz Boureflika « doivent assurer leur responsabilité entière devant ce qui pourrait découler de leurs manœuvres politiciennes comme dangers potentiels pour l’Algérie. L’histoire retiendra leur comportement s’ils venaient à franchir le pas et à mobiliser les moyens de l’État pour faire passer leur projet ».
Le parti d’Abderazak Makri a réitéré l’importance du scrutin du mois d’avril, qui serait « un annonciateur de la fin d’une époque et du début d’une nouvelle ère où la priorité ne sera pas au positionnement personnel ou partisan, mais au resserrement des rangs. Une nouvelle ère où il faudra éviter la dispersion des efforts et la réédition des expériences infructueuses ».
Si le président Bouteflika n’a pas confirmé sa candidature à la prochaine présidentielle, les partis de la coalition lui ont quant à eux apporté leur soutien officiel. Les quatre partis de la coalition au pouvoir (FLN, RND, MPA et TAJ) ont apporté leur soutien officiel samedi dernier à une candidature du président Abdelaziz Bouteflika à un cinquième mandat, une démarche qui pourrait précéder une candidature personnelle du chef de l’État.
ObservAlgérie
Commentaire