L’Algérie, de nouveau, élue au Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union africaine
L'Algérie a été élu, vendredi à Addis-Abeba, au Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union africaine par le Conseil exécutif de l’UA pour un mandat de trois ans (2019-2022).
Cette élection est intervenue à la reprise des travaux du Conseil exécutif, dans une session consacrée au renouvellement des composantes de quelques organes de l’Union africaine, dont le Conseil de paix et de sécurité.
Pour le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel présent à cette session, "cette élection consacre, une nouvelle fois, la crédibilité de la diplomatie algérienne, sous la conduite du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et de sa contribution à la préservation de la paix et de la sécurité en Afrique et au-delà".
S'exprimant devant la presse en marge de la 34ème session ordinaire du Conseil exécutif de l'UA, Messahel a souligné que "c’est aussi une parfaite reconnaissance de l’apport de l’Algérie à la stabilité régionale, notamment dans le contexte actuel marqué par de grandes turbulences".
Pour rappel, l’Algérie avait déjà fait partie du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine pour trois mandats respectivement entre 2004 et 2007, entre 2007 et 2010 et entre 2013 et 2016.
Au titre de cette participation "active" au sein de cet important organe de l’Union africaine, l’Algérie a "grandement contribué à la mise en œuvre du mandat du Conseil de paix et de sécurité, à savoir la prévention, la gestion et la résolution des conflits en Afrique".
Le Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union africaine a été mis en place en 2002, et opérationnalisé en 2004, en tant qu’organe restreint de 15 Etats membres, chargé des questions en lien avec la paix, la stabilité et la sécurité en Afrique.
ALG/1
L'Algérie a été élu, vendredi à Addis-Abeba, au Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union africaine par le Conseil exécutif de l’UA pour un mandat de trois ans (2019-2022).
Cette élection est intervenue à la reprise des travaux du Conseil exécutif, dans une session consacrée au renouvellement des composantes de quelques organes de l’Union africaine, dont le Conseil de paix et de sécurité.
Pour le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel présent à cette session, "cette élection consacre, une nouvelle fois, la crédibilité de la diplomatie algérienne, sous la conduite du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et de sa contribution à la préservation de la paix et de la sécurité en Afrique et au-delà".
S'exprimant devant la presse en marge de la 34ème session ordinaire du Conseil exécutif de l'UA, Messahel a souligné que "c’est aussi une parfaite reconnaissance de l’apport de l’Algérie à la stabilité régionale, notamment dans le contexte actuel marqué par de grandes turbulences".
Pour rappel, l’Algérie avait déjà fait partie du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine pour trois mandats respectivement entre 2004 et 2007, entre 2007 et 2010 et entre 2013 et 2016.
Au titre de cette participation "active" au sein de cet important organe de l’Union africaine, l’Algérie a "grandement contribué à la mise en œuvre du mandat du Conseil de paix et de sécurité, à savoir la prévention, la gestion et la résolution des conflits en Afrique".
Le Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union africaine a été mis en place en 2002, et opérationnalisé en 2004, en tant qu’organe restreint de 15 Etats membres, chargé des questions en lien avec la paix, la stabilité et la sécurité en Afrique.
ALG/1
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