Le développement de l'industrie de liquéfaction de gaz naturel (GNL) est une option “avantageuse” pour l’Algérie, selon des experts ayant participé hier à l’université d’Oran Es-Sénia, à une table ronde sur l’économie gazière. “La tendance GNL se manifeste concrètement à l’échelle internationale dans le contexte actuel marqué par de forts changements structurels dans le domaine de l’économie de l’énergie”, ont expliqué les participants lors de cette rencontre portant sur “les enjeux et axes de réflexion sur l’économie du gaz”.
La modernisation des installations telles les usines de liquéfaction de gaz naturel d’Arzew et de Skikda a permis à l’Algérie d’augmenter sa capacité de production “pour gagner aujourd’hui 11% de parts de marché du gaz consommé dans l’Union européenne, un niveau qui, avec la perspective du doublement des exportations, sera proche de celui exporté par la Russie, premier partenaire de l’UE en matière énergétique”, a-t-on souligné. L’importance du gaz naturel, deuxième source d’énergie après le pétrole, a été développée par les intervenants tel l’expert français Jacques Percebois, directeur du Centre de recherche en économie et droit de l’énergie (Creden) de l’Université de Montpellier.
La crise énergétique entre l’UE et la Russie a été également évoquée par le professeur Percebois pour dire que les derniers conflits survenus ont amené l’UE à diversifier ses sources d’énergie pour sécuriser les approvisionnements en misant sur le gaz algérien.
source : Liberté
La modernisation des installations telles les usines de liquéfaction de gaz naturel d’Arzew et de Skikda a permis à l’Algérie d’augmenter sa capacité de production “pour gagner aujourd’hui 11% de parts de marché du gaz consommé dans l’Union européenne, un niveau qui, avec la perspective du doublement des exportations, sera proche de celui exporté par la Russie, premier partenaire de l’UE en matière énergétique”, a-t-on souligné. L’importance du gaz naturel, deuxième source d’énergie après le pétrole, a été développée par les intervenants tel l’expert français Jacques Percebois, directeur du Centre de recherche en économie et droit de l’énergie (Creden) de l’Université de Montpellier.
La crise énergétique entre l’UE et la Russie a été également évoquée par le professeur Percebois pour dire que les derniers conflits survenus ont amené l’UE à diversifier ses sources d’énergie pour sécuriser les approvisionnements en misant sur le gaz algérien.
source : Liberté
Commentaire