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Espagne: adios Pedro Sanchez?

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  • Espagne: adios Pedro Sanchez?

    A force de refuser à s'allier avec PODEMOS , notamment dans le deal proposé par l'extrême-gauche ibérique (Podemos), notamment : affranchissement du Sahara Occidental contre la rétrocession des territoires espagnols d'Afrique du Nord (Ceuta et Melilla) au Maroc, Pedro Sanchez s'est vu être lâché par son allié.

    Par son incurie, Pedro Sanchez offre une voie royale au retour du Parti populaire (PP) à la présidence espagnole, mais plus grave, c'est formation ibérique fasciste VOX qui va entrer dans le gouvernement espagnol!:22:

    - Espagne : le gouvernement convoque des législatives anticipées pour le 28 avril

    Mercredi, l’exécutif espagnol n’était pas parvenu à rassembler une majorité de voix au Parlement autour de son projet de loi de finances pour 2019, sur fond de crise persistante en Catalogne.
    (...).
    Le chef du gouvernement espagnol, Pedro Sanchez, a annoncé, vendredi 15 février, des élections législatives anticipées pour le 28 avril, les troisièmes en moins de quatre ans, après le rejet de son budget sur fond de crise persistante en Catalogne. « J’ai proposé la dissolution du Parlement et la convocation d’élections législatives pour le 28 avril », a déclaré, devant la presse, le dirigeant socialiste, en poste depuis à peine huit mois.

    Législature « mouvementée »

    Selon la chercheuse en sciences politiques, Berta Barbet, Sanchez pense qu’en convoquant des élections rapidement, il pourrait minimiser l’impact d’un possible vote sanction en donnant « peu de temps pour se coordonner » à la droite. Car le socialiste est attaqué frontalement sur la question catalane par le Parti populaire (PP), les libéraux de Ciudadanos et le parti d’extrême droite Vox, qui ont organisé dimanche dernier une grande manifestation pour réclamer des élections. Et « avec le temps, cette menace [de la droite et de l’extrême droite] ne fera qu’empirer », explique Berta Barbet.

    Selon plusieurs sondages, le PP, Ciudadanos et Vox seraient en mesure de former une majorité ensemble au niveau national, comme ils l’ont fait en janvier en Andalousie pour chasser les socialistes de leur fief historique.
    Article réservé à nos abonnés Lire aussi En Espagne, Vox profite du procès des indépendantistes catalans

    La convocation d’élections « représente la fin d’une législature atypique, mouvementée », entamée en 2016, assure, pour sa part, à l’Agence France-Presse, Paloma Roman, politologue à l’université Complutense de Madrid. Car en moins de quatre ans, le bipartisme a volé en éclats ; la Catalogne a tenté de faire sécession ; un chef du gouvernement, Mariano Rajoy, a été renversé pour la première fois en quarante ans par un adversaire, Pedro Sanchez, pourtant battu dans les urnes. Et des élections pourraient ne rien résoudre.

    Pour Steven Trypsteen, analyste chez ING Bank, une majorité Ciudadanos-PP-Vox risque d’augmenter « les tensions entre le gouvernement central et la Catalogne ». Et si les voix des nationalistes basques et catalans sont indispensables pour gouverner, c’est un nouveau « blocage politique » qui s’annonce-.


    Le Monde.fr

  • #2
    il ne manquerait plus que l'extreme droite en Espagne.

    Commentaire

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