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Arabie saoudite-Pakistan: Investissements: Signature de 8 accords d'une valeur de 20 milliards USD

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  • Arabie saoudite-Pakistan: Investissements: Signature de 8 accords d'une valeur de 20 milliards USD

    وقعت الرياض وإسلام آباد، الأحد، 8 اتفاقيات اقتصادية باستثمارات سعودية تبلغ قيمتها 20 مليار دولار وتضم الاتفاقيات ثلاث مذكرات تفاهم للاستثمار في قطاعات النفط والطاقة المتجدّدة والمعادن... وشملت الاتفاقيات مصفاة أرامكو في ميناء جوادر الباكستاني بقيمة 10 مليارات دولار، وهي من الأكبر في العالم جاء ذلك خلال زيارة ولي العهد السعودي محمد بن سلمان الحالية لباكستان والتي تستغرق يومين، في مستهل جولة آسيوية







  • #2
    Les gros chèques qui achètent les alliances circonstancielles.
    Est il vrai que l'argent achètent tout??!

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    • #3
      Envoyé par Anzoul
      Les gros chèques qui achètent les alliances circonstancielles.
      Lors de sa tournée en Asie (Pakistan, Inde et Chine), le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane espère signer de juteux contrats. Il entend surtout se repositionner sur la scène internationale, cinq mois après le meurtre de Jamal Khashoggi.

      Opération reconquête pour Mohammed ben Salmane (MBS). Cinq mois après l'assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, le prince héritier saoudien entame dimanche 17 février une tournée en Asie avec trois étapes : le Pakistan, l'Inde et la Chine. S'il espère signer de juteux contrats, il entend prouver à l'Occident qu'il dispose encore d'alliés sur la scène diplomatique.
      Le prince a été accueilli avec les honneurs à sa descente d'avion à Islamabad par le Premier ministre Imran Khan, selon des images de la télévision publique.

      Les deux hommes ont assisté à la signature de plusieurs protocoles d'accord entre leurs deux pays dans différents secteurs dont la pétrochimie, les minéraux et l'agriculture, selon M. Khan. Leur montant est de l'ordre "de 20 milliards de dollars. C'est beaucoup, pour la première phase", a souligné le prince, promettant qu'il allait encore augmenter à l'avenir.

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      • #4
        Est il vrai que l'argent achètent tout??!
        ben ,c'est a toi de nous le dire Anzoul ...,n'etaient ce pas les seoudiens ya pas si longtemps khiar enass au maroc ?
        ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
        On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

        Commentaire


        • #5
          On peut voir la chose d'une autre façon,le Maroc estime qu'il y a des limites a sa solidarité avec les saoudiens,au vue de la dérive qu'à prit leur politique extérieure et leur inconscience bédouine sans se soucier de leurs amis et alliés arabes,des choses que trouvent aussi les voisins comme comportements néfastes ,malgré leur deroulé du tapis rouge dernièrement a l'arrogant inutile mbs.
          Ce type,loin d'avoir la sagesse de ses prédécesseurs, veut se faire une virginité avec les pétrodollars,les occidentaux et les américains lui ont fermé les portes,il se tourne vers des pays aux gouvernements dictatoriaux et autoritaires alors que tous savent l'aléatoire constante de leurs diplomaties et alliances.

          Pour revenir a ta question,je peux t'assurer qu'une majorité de marocains(les citoyens) n'a jamais apprécié l'Alliance avec l'as.

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          • #6
            Arabie saoudite : Mohamed Ben Salman en quête d’alliés et de contrats en Asie
            17 février 2019 à 16h50
            Par Jeune Afrique avec AFP
            Mis à jour le 17 février 2019 à 18h16

            Le prince héritier saoudien Mohamed Ben Salman entame dimanche au Pakistan une tournée asiatique dont il espère de juteux contrats et la démonstration qu'il demeure un acteur-clé sur la scène diplomatique, cinq mois après l'affaire Khashoggi.

            Le prince, surnommé « MBS », est attendu en fin d’après-midi dans la capitale pakistanaise, où il doit rester jusqu’à lundi.

            Le contexte régional y est très tendu, marqué par des frictions avec l’Inde et l’Iran voisins, qui accusent tous deux le Pakistan de soutien à des groupes insurgés impliqués dans de sanglants attentats-suicide commis cette semaine sur leurs territoires.

            Islamabad a rejeté dans un communiqué dimanche les « affirmations absurdes » de New Delhi, réaffirmant vouloir « une normalisation de ses relations avec l’Inde ».

            Le prince poursuivra son voyage en Inde, où il rencontrera le Premier ministre Narendra Modi, puis en Chine jeudi et vendredi. Deux courtes étapes prévues dimanche et lundi en Indonésie et en Malaisie avaient été annulées samedi sans explication.

            Cette visite sous très haute sécurité intervient cinq mois après l’assassinat du journaliste Jamal Khashoggi, féroce critique de MBS, dans l’enceinte du consulat saoudien à Istanbul.

            Après avoir dans un premier temps nié le meurtre, Ryad avait avancé plusieurs versions contradictoires et soutient désormais que Khashoggi a été tué lors d’une opération non autorisée par le pouvoir.

            La Turquie a affirmé vendredi n’avoir pas encore révélé tous les éléments dont elle dispose dans cette affaire hors norme, qui avait suscité une vague mondiale d’indignation et profondément terni l’image de la pétromonarchie, en particulier celle du prince.

            « Pas un paria »
            Mais pour les analystes, la tournée asiatique de MBS, sa plus importante sortie sur la scène internationale depuis sa participation au sommet du G20 en Argentine en décembre, tombe à point nommé pour prouver à l’Occident qu’il a encore des alliés.

            Il « veut démontrer qu’il n’est pas un paria international », souligne James M. Dorsey, chercheur rattaché à la S. Rajaratnam School of International Studies à Singapour.

            Il s’agit d’apporter la preuve qu’il a toujours « accès (à la scène) internationale et qu’il peut opérer (…) en tant que plus haut représentant d’Arabie saoudite à part le roi », souligne-t-il.



            Li Guofu, spécialiste du Moyen-Orient au China Institute of International Studies, un centre de recherches lié au gouvernement chinois, note qu' »il aurait été très malaisé pour le prince héritier de se rendre en Occident » à la suite du scandale.

            « Mais ne pas aller en Occident ne signifie pas qu’il ne peut pas venir en Orient. L’Arabie saoudite conduit des ajustements stratégiques et la diplomatie saoudienne se tourne à présent vers l’Asie », souligne-t-il.

            « Les pays asiatiques ont une caractéristique spéciale et importante: nous n’interférons pas dans les affaires intérieures des autres pays », relève-t-il.

            Le voyage du prince comporte aussi un important volet économique: « La Chine est le plus important acheteur de brut saoudien et ses principaux autres clients sont tous asiatiques : l’Inde, le Japon, la Corée du Sud », souligne Monsieur Dorsey.

            « L’Asie est une source d’investissements dans l’énergie et les infrastructures du Golfe. Et la croissance future de l’économie mondiale se fera en Asie », renchérit Karen Young, analyste auprès de l’American Entreprise Institute.

            Négociations avec les talibans
            Le Pakistan, où MBS débutera sa tournée, espère de son vieil allié une bouée de sauvetage pour son économie mal en point. Elle pourrait prendre la forme de milliards de dollars d’investissements dans une raffinerie et un complexe pétrolier dans le sud du pays et une série d’autres contrats.

            Son Premier ministre Imran Khan s’est déjà rendu à deux reprises en Arabie saoudite depuis son élection l’été dernier.

            La visite du prince à Islamabad pourrait en outre coïncider avec de possibles nouveaux pourparlers entre talibans et Etats-Unis sur l’Afghanistan. L’Arabie saoudite et le Pakistan sont tous deux très impliqués dans ces discussions de longue haleine visant à mettre un terme au conflit afghan.

            Les talibans avaient annoncé plus tôt cette semaine un nouveau round de négociations ainsi qu’une rencontre avec Imran Khan lundi dans la capitale, ce que ni Washington, ni Islamabad n’ont toutefois confirmé. Quant à l’émissaire américain pour la paix en Afghanistan, Zalmay Khalilzad, il se trouvait dimanche à Kaboul, selon le gouvernement afghan.

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            • #7
              Envoyé par xenon
              ben ,c'est a toi de nous le dire anzoul ...,n'etaient ce pas les seoudiens ya pas si longtemps khiar enass au maroc ?
              جزء من احدى رسائل محمد السادس الى ملك العربية السعودية
              ...
              ’’ فقد ارتأيت إيفاد مستشار جنابنا الشريف الأستاذ الطيب الفاسي فهري، مبعوثا خاصا لدى جلالتكم قصد مفاتحتكم بخصوص أفضل سبل الدعم المباشر لتجاوز إكراهاتنا الظرفية في نطاق سعينا لتجاوز الضائقة الاقتصادية و المالية التي يمر بها اقتصادنا الوطني بفعل عوامل ومؤثرات دولية و إقليمية، ومخلفات أحوال مناخية صعبة
              .
              وغير خاف على جلالتكم الانعكاسات الوخيمة لهذا الوضع على التوازنات المالية والنفقات العامة الموجهة لتأمين تمويل الاوراش والمخططات التنموية، وتغطية الحاجيات البشرية والتجاوب مع المتطلبات الاجتماعية الملحة والمستعجلة

              ….’’

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              • #8
                Comme d'hab, il ouvre une nouvelle discussion et il la pollue lui-même ! :22:

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                • #9
                  c'est du moka il oublie que le roi de l'arabie saoudite à dit aux généraux algériens '' a l3assa a l3assa a l3assa pour le peuple" dont fait parti moka, il lui a jeté 3 milliard à la fin et nezzar qui se prenait pour un des reb dzayr est reparti tout content.

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