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Le prétendant à la candidature à l’élection présidentielle Ali Ghediri s’est adressé aux Algériens par un message vidéo publié sur sa page Facebook. Dans son message, intitulé « Appel à la Nation », d’une durée de près de 9 minutes, l’ancien général a affirmé que « le cinquième mandat menace la paix civile .
« L’Algérie passe par une étape décisive de sa vie qui pourrait la mener vers l’inconnu », a alerté l’ancien militaire pour qui « la logique de la force adoptée par les partisans de la continuité met l’Algérie sur une voie sans issue qui menace l’unité et la stabilité du pays ».
Les défenseurs du cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika sont, pour Ali Ghediri, « des aventuriers » qui ont « hypothéqué les institutions pour gouverner le pays à partir des coulisses, à l’ombre d’un président malade ».
Le candidat a émis des doutes quant à l’origine de la lettre par laquelle la candidature de Botueflika à l’élection présidentielle du 18 avril. « Douter de l’origine de la lettre adressée à la Nation est légitime », a-t-il affirmé, ajoutant qu’« il est du droit du citoyen de demander une preuve audio-visuelle que la demande émane de l’intéressé ».
« Les mouvements sociaux exprimés pacifiquement à travers le pays doivent se poursuivre dans la dignité et de façon civilisée, dénuée de violence pour qu’ils permettent aux citoyens de devenir les acteurs et les seuls planificateurs de leurs avenirs », a déclaré M. Ghediri. Il a invité les citoyens à « être prudents pour éviter toute provocation ».
« L’Algérie d’aujourd’hui n’a pas besoin que vous mourriez pour elle mais de vos forces, de votre courage pour la protéger et la construire pour que vous y viviez librement et dignement », a dit Ali Ghediri s’adressant aux jeunes.
Le candidat est revenu sur la ligne directrice de son programme électoral qui est « la rupture ». Celle-ci « s’impose comme une nécessité nationale pour la construction d’une nouvelle Algérie », selon lui.
La « deuxième République » souhaitée par Ali Ghediri sera « synonyme de liberté, d’Etat de droits et de justice sociale », a-t-il également promis.
TSA
« L’Algérie passe par une étape décisive de sa vie qui pourrait la mener vers l’inconnu », a alerté l’ancien militaire pour qui « la logique de la force adoptée par les partisans de la continuité met l’Algérie sur une voie sans issue qui menace l’unité et la stabilité du pays ».
Les défenseurs du cinquième mandat d’Abdelaziz Bouteflika sont, pour Ali Ghediri, « des aventuriers » qui ont « hypothéqué les institutions pour gouverner le pays à partir des coulisses, à l’ombre d’un président malade ».
Le candidat a émis des doutes quant à l’origine de la lettre par laquelle la candidature de Botueflika à l’élection présidentielle du 18 avril. « Douter de l’origine de la lettre adressée à la Nation est légitime », a-t-il affirmé, ajoutant qu’« il est du droit du citoyen de demander une preuve audio-visuelle que la demande émane de l’intéressé ».
« Les mouvements sociaux exprimés pacifiquement à travers le pays doivent se poursuivre dans la dignité et de façon civilisée, dénuée de violence pour qu’ils permettent aux citoyens de devenir les acteurs et les seuls planificateurs de leurs avenirs », a déclaré M. Ghediri. Il a invité les citoyens à « être prudents pour éviter toute provocation ».
« L’Algérie d’aujourd’hui n’a pas besoin que vous mourriez pour elle mais de vos forces, de votre courage pour la protéger et la construire pour que vous y viviez librement et dignement », a dit Ali Ghediri s’adressant aux jeunes.
Le candidat est revenu sur la ligne directrice de son programme électoral qui est « la rupture ». Celle-ci « s’impose comme une nécessité nationale pour la construction d’une nouvelle Algérie », selon lui.
La « deuxième République » souhaitée par Ali Ghediri sera « synonyme de liberté, d’Etat de droits et de justice sociale », a-t-il également promis.
TSA
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