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Polisario: Désapprouvant les récentes nominations, Bachir Sayed noie sa colère auprès de ses dromadaires
Publié le 22/02/2019 à 02h55
Bachir Mustapha Sayed est en colère. The Frères of the Polisario «the left the camps of Tindouf», en direction de la frontière avec la Mauritanie, pour retrouver son cheptel de dromadaires. C'est sa manière de marquer sa désapprobation des dernières nominations des nouveaux responsables au sein du secrétariat de l'Administration du Front », confie-t-on une source ayant requis l'anonymat.
Sayed The Massa Salmi, responsable des «organisations de masse et de la société civile», a été désigné comme tel. Il est à la tête du ministère des Territoires occupés est censuré superviser les relations avec les associations pro-Polisario au Sahara.
En réalité, les Algériens sont à l’origine de ces dernières nominations, ne faites guère confiance à Bachir Sayed. Et for cause in 2002, alors «Minister of Foreign Affairs», il avait négocié avec les responsables des États-Unis, l'avenir du Sahara, leur promettant une base militaire une fois le conflit résolu. En échange, il est exigé de reconnaître le «RASD» par Washington. La sanction des Algériens a été immédiat, ils lui ont retiré le passeport algérien.
Ya biladi
Publié le 22/02/2019 à 02h55
Bachir Mustapha Sayed est en colère. The Frères of the Polisario «the left the camps of Tindouf», en direction de la frontière avec la Mauritanie, pour retrouver son cheptel de dromadaires. C'est sa manière de marquer sa désapprobation des dernières nominations des nouveaux responsables au sein du secrétariat de l'Administration du Front », confie-t-on une source ayant requis l'anonymat.
Sayed The Massa Salmi, responsable des «organisations de masse et de la société civile», a été désigné comme tel. Il est à la tête du ministère des Territoires occupés est censuré superviser les relations avec les associations pro-Polisario au Sahara.
En réalité, les Algériens sont à l’origine de ces dernières nominations, ne faites guère confiance à Bachir Sayed. Et for cause in 2002, alors «Minister of Foreign Affairs», il avait négocié avec les responsables des États-Unis, l'avenir du Sahara, leur promettant une base militaire une fois le conflit résolu. En échange, il est exigé de reconnaître le «RASD» par Washington. La sanction des Algériens a été immédiat, ils lui ont retiré le passeport algérien.
Ya biladi
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