Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Un institut d’étude réputé pour son sérieux prévoit un chaos économique en Algérie

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Un institut d’étude réputé pour son sérieux prévoit un chaos économique en Algérie

    L’Algérie est une économie à l’agonie. A tel point que la question n’est pas si elle va craquer mais quand”, affirme Xerfi, un institut d’étude spécialisé dans l’analyse économique sectorielle, en France et à l’international.



  • #2
    les consequences de la planche á billet

    Commentaire


    • #3
      l'algerie c'est comme tous les pays du monde
      'algerie se base sur le petrole et leurope sur la mécanique

      l'entrée de l'asie dans la mecanqiue avait fait chuté les entreés de l'europe c'est la meme chose

      la france a augmenté les salaires suite aux manifestations
      il n ya que deux cas
      ou la france menti au français elle avait de l'argent de coté en surplus et ne payait pas assez les salarié
      ou la france a cherché l'argent ailleurs

      dans les deux cas ya du monsonge
      yya que de la desinformation ya pas de l'information
      tout est monsonge

      l'algerie se porte bien et tire bien son epingle de l'economie mondial

      l'algerie ne peut se soutraire de l'europe et l'europe ne peut se soustarire de l'algerie, s'ils gagnent ils ensemble s'ils chutent ils chutent ensemble

      un équilibre basé sur les interets de chacun va conduire a une entente
      general un compromis au moins pour rester encore 50 ans...

      Commentaire


      • #4
        L’Algérie est une économie à l’agonie. A tel point que la question n’est pas si elle va craquer mais quand”, affirme Xerfi, un institut d’étude spécialisé dans l’analyse économique sectorielle, en France et à l’international.
        Si elle poursuit dans ses grands transferts sociaux, si le prix du pétrole ne monte pas, dans 3 ou 4 , ce sera le début des grands problèmes.

        Donc rien n'est encore définitif

        Commentaire


        • #5
          Si elle poursuit dans ses grands transferts sociaux, si le prix du pétrole ne monte pas, dans 3 ou 4 , ce sera le début des grands problèmes.
          Bonjour Bachi,
          j'ai une petite remarque à faire, je ne sais pas si tu sera d'accord...si on suppose que les prix du pétrole oscilleront entre 60 et 70 $ le baril durant les 5 prochaines années, une rigueur budgétaire et une réduction des transferts sociaux s'imposent. or un candidat du système (quel qu'il soit, Bouteflika ou qqn d'autre ) ne pourra probablement pas mener cette politique. il n'y a qu'un candidat issu de l'opposition jouissant d'une bonne légitimité qui pourra faire passer la pilule.
          Evidemment si les prix du pétrole remontent à plus de 100$ il y aura d'autres alternatives.

          Commentaire


          • #6
            salam Rodmaroc

            Quel que soit le candidat retenu, l'Algérie va devoir se serrer la ceinture sur les transferts sociaux et quel que soit ce candidat, ce sera dur à imposer à un peuple habitué à l'état providence. Le sevrage sera dur et ca risque encore de tanguer.
            La légitimité du pouvoir, un pouvoir fort, ca obligera moins d'acheter la paix mais ca reste difficile.
            Dernière modification par Bachi, 26 février 2019, 14h58.

            Commentaire


            • #7
              Quel que soit le candidat retenu, l'Algérie va devoir se serrer la ceinture sur les transferts sociaux et quel que soit ce candidat, ce sera dur à imposer à un peuple habitué à l'état providence. Le sevrage sera dur et ca risque encore de tanguer.
              La légitimité du pouvoir, un pouvoir fort, ça obligera moins d'acheter la paix mais ca reste difficile.
              Salam bachi,
              je suis globalement d'accord avec toi. cela dit, si c'est Bouteflika qui passe, aucune réforme sérieuse ne passera.. les gens (et les jeunes en particulier) ne veulent pas de lui, comment pourra-t-il leur demander de se serrer la ceinture?

              Commentaire


              • #8
                Salam bachi,
                je suis globalement d'accord avec toi. cela dit, si c'est Bouteflika qui passe, aucune réforme sérieuse ne passera.. les gens (et les jeunes en particulier) ne veulent pas de lui, comment pourra-t-il leur demander de se serrer la ceinture?
                Sissi a fait des reformes économiques en Egypte même en étant impopulaire et ultra corrompu. de même pour Franco en Espagne dans les années 60.

                Commentaire


                • #9
                  Sissi a fait des reformes économiques en Egypte même en étant impopulaire et ultra corrompu. de même pour Franco en Espagne dans les années 60.
                  Je pense que Sissi a surfé sur la vague anti-frère musulman qui était bien réelle au sein d'une bonne partie de la société égyptienne...par ailleurs,c’était un nouveau venu....Boutef ça fait 20 ans qu'il est au pouvoir. c'est pas pareil.

                  Commentaire


                  • #10
                    Si on applique la verite des prix c la guerre civile garantie
                    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

                    Commentaire


                    • #11
                      Sissi a fait des reformes économiques en Egypte même en étant impopulaire et ultra corrompu. de même pour Franco en Espagne dans les années 60.
                      Je ne connais pas la situation égyptienne mai en Algérie, un retour à la dictature pure et dure, ca me semble impossible.
                      La jeunesse veut sortir de la démocrature, ce n'est pas pour aller à la dictature.

                      Mais bon, dans nos pays, tout est possible !

                      Commentaire


                      • #12
                        Je pense que Sissi a surfé sur la vague anti-frère musulman qui était bien réelle au sein d'une bonne partie de la société égyptienne...par ailleurs,c’était un nouveau venu....Boutef ça fait 20 ans qu'il est au pouvoir. c'est pas pareil.
                        un nouveau 1er ministre, qui serait accepté par la pop.( pas les vieilles carcasses du genre ouyahya), avec un gouvernement restreint de technocrates pourrait faire l'affaire.

                        Commentaire

                        Chargement...
                        X