Préalablement, ne faudrait-il pas que la dictature marocaine démantèle son mur de la honte? D'autre part, cette même dictature serait bien inspirée de détruire ses champs de culture du cannabis dont, Messahel avait convaincu lors de son aveu: " la RAM ne transporte pas que des passagers"
- A en croire son chef de diplomatie, l’Algérie défend une «intégration économique» au Maghreb. La seule voie à même de régler les problèmes de l’eau, de l’agriculture et de l’industrie, explique Messahel. Le ministre a complètement ignoré le grand problème des frontières terrestres entre le Maroc et son pays, fermées depuis 1994.
A défaut d’une véritable entente politique entre les cinq Etats du Maghreb, le ministre algérien des Affaires étrangères propose de privilégier le rapprochement économique. Abdelkader Messahel a dit espérer tenir, en marge d’une session de la Commission ministérielle maghrébine chargée de la sécurité alimentaire, qui se tiendra demain à Tunis, une réunion «même informelle» entre les représentants de l’Union du Maghreb arabe (UMA) pour discuter du projet de son éventuelle réactivation.
Le chef de la diplomatie, qui s’exprimait mardi 26 février sur les ondes de la radio algérienne III, s’est fait l’avocat d’une «politique maghrébine» commune basée sur «l’agriculture et l’industrie», indique l’APS. Et de préciser que son pays «ne cessera de défendre» ce modèle d’intégration régionale.
Le problème des frontières ignoré
Messahel a réitéré que pour l’Algérie, l’UMA «est un choix stratégique et non un slogan». «Nous l’avons fait et nous continuons à penser que nous n’avons pas d’autres alternatives que l’intégration régionale», a-t-il martelé. Son passage à la radio lui a également permis de couvrir d’éloges le «rôle» du président Abdelaziz Bouteflika dans la «réactivation» des instances de l’UMA.
Néanmoins, dans sa plaidoirie en faveur de l’intégration économique du Maghreb, le ministre algérien a ignoré totalement le problème de fermeture des frontières terrestres entre le Maroc et l’Algérie, même s’il a abordé les «problèmes halieutique, de l’agriculture et de l’industrie»-.
Ya..bi
- A en croire son chef de diplomatie, l’Algérie défend une «intégration économique» au Maghreb. La seule voie à même de régler les problèmes de l’eau, de l’agriculture et de l’industrie, explique Messahel. Le ministre a complètement ignoré le grand problème des frontières terrestres entre le Maroc et son pays, fermées depuis 1994.
A défaut d’une véritable entente politique entre les cinq Etats du Maghreb, le ministre algérien des Affaires étrangères propose de privilégier le rapprochement économique. Abdelkader Messahel a dit espérer tenir, en marge d’une session de la Commission ministérielle maghrébine chargée de la sécurité alimentaire, qui se tiendra demain à Tunis, une réunion «même informelle» entre les représentants de l’Union du Maghreb arabe (UMA) pour discuter du projet de son éventuelle réactivation.
Le chef de la diplomatie, qui s’exprimait mardi 26 février sur les ondes de la radio algérienne III, s’est fait l’avocat d’une «politique maghrébine» commune basée sur «l’agriculture et l’industrie», indique l’APS. Et de préciser que son pays «ne cessera de défendre» ce modèle d’intégration régionale.
Le problème des frontières ignoré
Messahel a réitéré que pour l’Algérie, l’UMA «est un choix stratégique et non un slogan». «Nous l’avons fait et nous continuons à penser que nous n’avons pas d’autres alternatives que l’intégration régionale», a-t-il martelé. Son passage à la radio lui a également permis de couvrir d’éloges le «rôle» du président Abdelaziz Bouteflika dans la «réactivation» des instances de l’UMA.
Néanmoins, dans sa plaidoirie en faveur de l’intégration économique du Maghreb, le ministre algérien a ignoré totalement le problème de fermeture des frontières terrestres entre le Maroc et l’Algérie, même s’il a abordé les «problèmes halieutique, de l’agriculture et de l’industrie»-.
Ya..bi
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