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succession de Bouteflika: Brahimi ou Lamamra?

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  • succession de Bouteflika: Brahimi ou Lamamra?

    Genève: tractations autour de la succession de Bouteflika, Brahimi et Lamamra évoqués

    Des tractations seraient menées en ce moment à l'hôpital cantonal de Genève, où le président algérien sortant, Abdelaziz Bouteflika, est admis depuis dimanche 24 février, pour éventuellement trouver un successeur à ce dernier, dont la candidature à un 5è mandat fait gronder la rue algérienne.

    Les couloirs de l'hôpital cantonal de Genève sont, depuis dimanche 24 février, le théâtre d'intenses allers et venues des proches collaborateurs de Bouteflika, dont son frère Saïd. Des bruits circulent, évoquant plusieurs noms qui se poseraient en potentiels successeurs au président octogénaire sortant, très amoindri par la maladie, usé par vingt ans de pouvoir, devenu de surcroît la cible d'une vive contestation populaire, depuis l'annonce de sa candidature à un cinquième mandat de tous les dangers.


    On évoque des tractations en ce moment à l’hôpital cantonnal de Genève, les noms de #RamtaneLamamra et de #LakhdarBrahimi reviennent avec insistance, mais pour quels postes et quelles fonctions ????
    — Khaled Drareni (@khaleddrareni) 28 février 2019


    "On évoque des tractations en ce moment à l’hôpital cantonal de Genève. Les noms de Ramtane Lamamra et de Lakhdar Brahimi reviennent avec insistance", croit savoir un journaliste algérien (voir ci-contre, son message posté sur son compte Twitter). "Mais on ne sait pas pour quels postes et pour quelles fonctions ????", s'interroge notre confrère, sans plus amples détails sur ces tractations qui seraient menées en présence du frère cadet du président sortant, Saïd Bouteflika, considéré comme le vrai détenteur du palais présidentiel "El Mouradia".


    Ramtane Lamamra est un marocophobe impénitent. Il a été nommé mi-février, ministre d'Etat conseiller diplomatique auprès de la présidence algérienne, trois ans après l'humiliation que lui a infligée Bouteflika himself, quand il l'a débarqué en mai 2017 du gouvernement Sellal, au profit de son subalterne, Abdelkader Sellal, actuel MAE.

    Lakhdar Brahimi, ancien MAE algérien, est réputé être "très proche de Bouteflika". Comparé à Ramtane Lamamra, farouchement hostile au Maroc, spécialement à l'intégrité territoriale du royaume, Lakhdar Ibrahimi, ami de longue date de l'ancien premier secrétaire de l'USFP, Abderrahmane Youssoufi, est plutôt apprécié au Maroc, en raison de sa position constructive sur le registre des relations bilatérales et de l'intégration maghrébine.

    Une position qui n'est évidemment pas pour plaire au sérail des hauts galonnés algériens, férocement hostiles à toute normalisation des relations entre Alger et Rabat.
    360.ma
    المجد والخلود للرفيق والمناضل المغربي ابراهام سرفاتي

  • #2
    On ne veut pas de président des affaires étrangères, mais un président algérien qui s'occupe des Algériens et de l'Algérie et qui puisse construire des entaille de la société algérienne un pays avec des fondations solides...
    Dernière modification par ott, 02 mars 2019, 09h46.
    Othmane BENZAGHOU

    Commentaire


    • #3
      théoriquement l’Algérie n'est pas une monarchie... on ne peut pas parler de succession ... boutef.. on lui demande juste de calancher et de ne pas s'occuper de l'apres
      tu tombe je tombe car mane e mane
      après avoir rien fait ...on a souvent le sentiment d'avoir faillie faire ....un sentiment consolateur

      Commentaire

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