La partie américaine veut créer «une coalition aussi large que possible» afin d'assurer le transfert de pouvoir de Nicolas Maduro à Juan Guaido, a reconnu John Bolton.
Les États-Unis souhaitent créer une coalition en vue de changer le pouvoir au Venezuela, a déclaré le conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, John Bolton.
«Nous cherchons à recueillir un soutien pour le transfert pacifique du pouvoir de Nicolas Maduro à Juan Guaido, que nous reconnaissons comme Président par intérim […]. Je voudrais voir une coalition aussi large que possible pour changer Maduro et l'ensemble de son régime corrompu», a fait savoir M.Bolton dans un entretien accordé à CNN.
Selon lui, Washington ne renonce pas à la doctrine Monroe qui veut que les États-Unis sont responsables de ce qui se passe sur le continent américain, considéré comme leur zone d'influence.
«Comme j'ai déjà dit à la fin de l'année dernière, nous suivons de près la "troïka de la tyrannie", à savoir Cuba, le Nicaragua et Maduro», a souligné le responsable
Fin janvier, l'opposant vénézuélien Juan Guaido s'est autoproclamé Président en exercice du pays et a prêté serment au cours d'une manifestation. Donald Trump l'a alors reconnu en tant que Président par intérim. Une cinquantaine de pays, dont le Royaume-Uni et l'Allemagne, ont suivi l'exemple de Washington. La France a également reconnu M.Guaido comme «Président en charge». La Chine, la Russie, la Turquie et le Mexique ont apporté leur soutien au gouvernement en place.
Sputnik
Les États-Unis souhaitent créer une coalition en vue de changer le pouvoir au Venezuela, a déclaré le conseiller à la sécurité nationale de Donald Trump, John Bolton.
«Nous cherchons à recueillir un soutien pour le transfert pacifique du pouvoir de Nicolas Maduro à Juan Guaido, que nous reconnaissons comme Président par intérim […]. Je voudrais voir une coalition aussi large que possible pour changer Maduro et l'ensemble de son régime corrompu», a fait savoir M.Bolton dans un entretien accordé à CNN.
Selon lui, Washington ne renonce pas à la doctrine Monroe qui veut que les États-Unis sont responsables de ce qui se passe sur le continent américain, considéré comme leur zone d'influence.
«Comme j'ai déjà dit à la fin de l'année dernière, nous suivons de près la "troïka de la tyrannie", à savoir Cuba, le Nicaragua et Maduro», a souligné le responsable
Fin janvier, l'opposant vénézuélien Juan Guaido s'est autoproclamé Président en exercice du pays et a prêté serment au cours d'une manifestation. Donald Trump l'a alors reconnu en tant que Président par intérim. Une cinquantaine de pays, dont le Royaume-Uni et l'Allemagne, ont suivi l'exemple de Washington. La France a également reconnu M.Guaido comme «Président en charge». La Chine, la Russie, la Turquie et le Mexique ont apporté leur soutien au gouvernement en place.
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