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Quand Sarkozy préfère la Sonatrach

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  • Quand Sarkozy préfère la Sonatrach

    Le candidat français envisage un rapprochement avec gaz de france: Quand Sarkozy préfère la Sonatrach
    (Liberté 13/03/2007)

    Ce que l’on cherche du côté français, c’est “une relation privilégiée dans la fourniture de gaz pour sécuriser les approvisionnements”.
    Le dossier du gaz algérien semble tenir une place de choix dans la stratégie que compte développer le candidat de la droite française, Nicolas Sarkozy, s’il venait à succéder à Chirac au palais de l’Élysée. En effet, c’est la troisième fois, en l’espace de deux semaines que le candidat de l’UMP à l’investiture présidentielle française aborde cette question tout en affichant clairement ses intentions à ce propos puisqu’il n’a pas hésité à plaider pour un partenariat d’exception entre Alger et Paris dans le domaine énergétique. À ne pas en douter, les importantes ressources gazières et énergétiques de l’Algérie font saliver les responsables français et même européens qui tentent aujourd’hui de contourner la dépendance énergétique vis-à-vis du fournisseur russe en tablant sur d’autres pays producteurs. L’Algérie, qui approvisionne déjà un certain nombre de pays du Vieux continent en gaz, constituerait donc pour eux une alternative intéressante. Le partenariat énergétique avec l’Algérie revêt, de ce fait, une importance stratégique qu’il s’agit de concrétiser en jetant les bases d’une coopération bénéfique pour les deux parties. Le candidat de la droite française et ses conseillers n’ont d’ailleurs pas été avares en détails sur la politique qu’ils envisagent de mener dans ce domaine. Le ministre candidat n’avait pas hésité, lors d’un de ses discours, à proposer à l’Algérie une “aide, avant d’autres États, à développer son industrie nucléaire civile” en échange d’un “partenariat” dans le domaine gazier. Hier encore, la polémique suscitée par le controversé projet de fusion GDF-Suez a permis au candidat de la majorité présidentielle française et à ses conseillers de revenir, dans les colonnes du quotidien Le Monde sur le sujet, se prononçant pour un rapprochement entre Sonatrach et GDF plutôt qu’une fusion entre ce gazier public français et Suez. M. Sarkozy se demandait tout récemment : “Est-ce qu’il faut adosser GDF, qui achète du gaz sans en produire, sur un autre acheteur (comme Suez) ou est-ce qu’il faut réfléchir à un producteur ?” Quid de ce producteur ? L’ex-ministre français de l’Industrie, M. Patrick Devedjian, l’un des plus proches collaborateurs de Sarkozy, a fourni hier les clés de cette énigme. Pour lui, le candidat de la droite entend déployer “une stratégie à plusieurs objectifs : renforcer les liens avec Alger et soutenir le développement de l’Algérie”, entre autres axes. C’est ce qu’ils appellent le “scénario algérien” qui repose, notamment, sur un accord de “grand groupe gazier euro-africain qui pourrait associer les Néerlandais”. Ce qui, selon M. Devedjian, “supposerait des liens capitalistiques entre Sonatrach et GDF qui n’aurait plus besoin d’être privatisée”. Mais, tout compte fait, la solution que propose le candidat ministre avec insistance est naturellement basée sur une coopération bilatérale aux relents d’un pragmatisme qui tranche profondément avec la manière avec laquelle sont abordés les sujets qui fâchent de ce côté-ci de la Méditerranée, à l’exemple de la question de l’immigration, des conditions d’octroi des visas, ou encore de la colonisation. Ce que l’on cherche donc du côté français, c’est “une relation privilégiée dans la fourniture de gaz pour sécuriser les approvisionnements” pour la France et les pays européens. Si l’on se réfère aux propos des collaborateurs de Sarkozy, la place de Sonatrach dans leur stratégie énergétique semble, dans tous les cas de figure, assurée. En effet, même dans le cas d’une fusion entre les deux géants français, la présence de Sonatrach n’est pas remise en cause.
    M. Devedjian a ainsi développé cette hypothèse d’une fusion GDF-Suez qui pourrait s’opérer “tout en nouant des liens avec Sonatrach”. Cette alternative a également été évoquée hier par le ministre français de l'Économie, M. Thierry Breton, qui a noté qu’à “partir du moment où le projet de fusion GDF-Suez voit le jour, rien n'empêche ensuite d'élargir encore, par exemple, à un fournisseur de gaz”.
    Le journal Le Monde ne s’est d’ailleurs pas empêché dans son édition d’hier de rappeler que Sonatrach, qui va ouvrir prochainement en France une filiale de distribution de gaz, fournit déjà à la France 18% de son gaz, ce qui fait de l’Algérie son troisième fournisseur derrière la Norvège (30%) et la Russie (23%).
    Les projets que compte lancer la compagnie nationale d’hydrocarbures dans certains pays d’Europe en termes d’infrastructures (stockage, gazoducs, terminaux méthaniers) ne semblent également pas échapper aux responsables français qui mesurent sans aucun doute, aujourd’hui, la portée stratégiques des richesses gazières algériennes.

    Hamid Saïdani

    http://www.africatime.com/algerie/no...&no_categorie=

  • #2
    L'article paru dans le journal la tribune est plus explicite et met en exergue un deal energétique Franco-algérien. (voir passage souligné).
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    Sarkozy préfèrerait marier GDF à l'algérien Sonatrach plutôt qu'à Suez

    Selon un de ses proches, Patrick Devedjian, ex ministre délégué à l'industrie, le candidat UMP à l'élection présidentielle, privilégie un adossement de Gaz de France au producteur de gaz algérien Sonatrach à une fusion avec Suez, afin de "sécuriser l'approvisionnement de la France" en gaz.

    Selon un de ses proches, Patrick Devedjian, ex ministre délégué à l'industrie (où il avait en charge l'énergie) qui s'est confié au journal Le Monde, Nicolas Sarkozy, candidat UMP à l'élection présidentielle, privilégie un adossement de Gaz de France au producteur de gaz algérien Sonatrach à une fusion avec Suez, afin de "sécuriser l'approvisionnement de la France" en gaz.

    Une telle configuration supposerait des liens capitalistiques entre le géant algérien des hydrocarbures et Gaz de France, qui n'aurait pas besoin ainsi d'être privatisé, explique Patrick Devedjian. Le décret d'application de la privatisation du groupe gazier français, votée en novembre, n'a toujours pas été signé par Matignon.

    "Nous pourrions passer un accord de coopération dans le nucléaire civil" souligne l'ancien ministre à travers la fourniture par EDF et Areva de leur savoir-faire."En contrepartie, nous pourrions avoir une relation privilégiée dans la fourniture de gaz pour sécuriser l'approvisionnement de la France et des pays européens", poursuit-il.

    Il souligne que "l'Etat français ne peut être pieds et poings liés à une décision des actionnaires de Suez, qui ne se sont toujours pas prononcés sur la fusion avec Gaz de France".

    La fusion entre Suez et Gaz de France que le conseil constitutionnel n'a autorisée quà compter du 1er juillet prochain, date de l'ouverture totale à la concurrence en France du marché du gaz et de l'électricité (ce qui fait disparaître de fait le monopole de Gaz de France) reste soumise au résultat de l'élection présidentielle. Le futur élu pourrait vouloir remettre en cause le projet.

    Cela peut être vrai pour François Bayrou et pour Ségolène Royal. Jusqu'à maintenant, Nicolas Sarkozy, ministre des finances lors de l'ouverture du capital de Gaz de France et de sa mise en bourse en échange du maintien de l'Etat à hauteur de 70% dans le tour de table, avait fini par accepter du bout des lèvres le projet de mariage, initié ) la hussarde par Dominique de Villepin à Matignon pour contrer les appétits prêtés à l'italien Enel envers Suez.

    Mais ces dernières semaines, le candidat UMP à l'élection présidentielle a commencé à reprendre ses distances par rapport au projet. Et aujourd'hui, c'est un de ses lieutenants qui évoque à haute voix une solution aternative pour Gaz de France... sans dire ce qu'il adviendrait alors de Suez dont les activités dans l'énergie - le groupe est présent dans le nucléaire, dans le gaz naturel liquéfié et dans l'hydroélectricité - comme dans l'environnement (notamment de son grand concurrent en la matière, Veolia) suscitent toujours les convoitises
    latribune.fr

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    • #3
      Si les Français veulent une coopération energetique ou la Sonatrach reste independante OK. Comme avec les Espagnols. Comme avec les Italiens. Des projets communs par exemple un nouveau gazoduc trans-mediteraneen Algérie-France comme ceux qui existent deja. Mais si les Français veulent créer un super groupe avec la Sonatrach qui se retrouve assimilée dedans, dominé par les capitaux Européens... franchement ils revent debout.

      Il est hord de question pour les Algériens de céder les commandes de la Sonatrach quelque soit X. Et ce n'est pas cette tromperie de "coopération sur le nucléaire civil" qui va y changer quoique ce soit. A croire que si l'Algerie voulait acheter un réacteur nucléaire civil rubis sur ongle, qu'elle aurait besoin de Sarkozy pour le faire. Le monsieur veut non seulement rentabiliser sa nouvelle generation de reacteurs avec des contrats de ventes pour son industrie nucleaire, mais en plus il veut nous faire croire que c'est une grande faveur de sa part et qu'on devrait lui ceder les commandes de la Sonatrach pour ca. Il est fou le Sarkozy. Mais bon, c'est de bonne guerre. Je crois que son mandat sera beaucoup plus interessant que celui de Chirac.

      A+
      66.

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      • #4
        La tentation est grande, en tout cas, les appêtits s'aiguisent, et les langues salivent...

        Mais la loi sur les hydrocarbures, faut-il le rappler, a apporté en tout cas beaucoup d'espoirs aux charognards US...le film n'est pas encore terminé...

        C'est surtout le prochain mandat de nos prochains députés qui sera percutant à la lumière de ce que les médias annoncent de temps à autre.

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        • #5
          Tu te trompes sur la loi des hydrocarbures. Elle nous aurait ete benefique à nous avant tout. Une plus grand production, tout en maintenant le meme controle sur la Sonatrach et les memes taxes sur les revenus.

          Mais tu n'as pas tort au sujet des appetits qui s'aiguisent. Sarkozy a révélé au grand jour ce que cachait le "traité d'amitié" de Chirac.

          66

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          • #6
            Double6
            Ce sujet est à caractère économique avec des relents très politiques.
            Il est hord de question pour les Algériens de céder les commandes de la Sonatrach quelque soit X
            Je pense te rassurer de suite que cette option n'est même pas envisagée du coté français parce qu'il savent qu'elle n'est même pas envisageable par la partie algerienne.

            J'ai cru comprendre que cela pourrait être l'inverse. Une prise de capital de Sonatrach dans "Gaz de France". cela mérite confirmation puisque je viens juste de prendre connaissance de l'information. On y verra plus clair très vite.
            Pour le moment on parle d'un partenariat Sonatrach_GDF
            En effet, Nicolas Sarkozy, privilégie un partenariat entre GDF et le producteur de gaz algérien Sonatrach à une fusion avec Suez, afin de "sécuriser l'approvisionnement de la France" en gaz, affirme un de ses proches, l'ancien ministre de l'Industrie, Patrick Devedjian.
            D'autres part sachant que Sonatrach envisage de créer dans les prochains mois une société qui commercialise du gaz naturel en France, il serait utile que cela se fasse en partenariat avec GDF. D'autant qu'avec la libéralisation du marché energétique français (en juillet 2007), de grand groupes (Tel Gazprom,...) sont déjà sur la ligne de départ à n'attendre que le coup du starter.

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            • #7
              Tu me rassures: si ce n'est pas pour englober toute la Sonatrach, on peut deja discutter comme ca..

              Maintenant si c'est pour un partenariat dans une nouvelle société de distribution en France, GDF est deja capable de distribuer elle meme normalement. Donc pourquoi inviter Sonatrach? Est ce que c'est simplement pour avoir du gaz moins cher? Ne serait il pas mieux pour la Sonatrach alors de retenir le modéle classique et de vendre et transporter à destination au prix du marché? Ne gagnerait elle pas plus comme ca? Pourquoi la Sonatrach devrait elle prendre pied en France, ou dans n'importe quel autre marché de consomation en somme, plutot que d'investir son argent dans les champs de production à travers le monde comme elle envisage de le faire actuellement?

              66

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              • #8
                Ne serait il pas mieux pour la Sonatrach alors de retenir le modéle classique et de vendre et transporter à destination au prix du marché?
                La sonatrach est fournisseur de gaz en France à hauteur de 14%. Devancée en cela par la Norvège et la Russie. La décision de Sonatrach, annoncée par Chakib Khellil, de créer une société en France pour vendre du Gaz obeit certainement à cette nouvelle donne. GazProm y a déjà crée sa société.
                Ne gagnerait elle pas plus comme ca?
                Apparemment non. c'est une véritable guerre de positionnement à laquelle se livrent les géants gaziers.
                Pourquoi la Sonatrach devrait elle prendre pied en France
                Comme toute implantation externe, elle a plus de chance de se pereniser si elle s'adosse à un opérateur local.
                Un element politique et d'ordre stratégique est assurément privilégié par les deux parties.

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                • #9
                  >>>Comme toute implantation externe, elle a plus de chance de se pereniser si elle s'adosse à un opérateur local.

                  Une filiale locale de distribution j'y crois pas, elle sera balayée dès le début et ce sera à mon avis une perte d'argent voire dangereux...la loi anti-trust est de rigueur...

                  Gazprom est un géant qui peut aujoudr'hui faire pipi la où il veut et peut se permettre de perdre son dentier pour en refaire un autre dans l'heure qui suit..ce n'est pas le cas pour sonatrach, qui fait office d'agneau effarouché.

                  Deux choses, s'arimer avec un althérophile pour le moment et aiguiser ses dents de distributeur sur des marchés moins sauvages en afrique essentiellement...

                  Le marché français est le deuxième ou premier en europe sur ce segment, les distributeurs sont des rouleaux compresseurs...

                  Raison : l'expérience de distribution sonatrach est équivalent à celle de sonelgaz c'est à dire presque rien en comparaison avec les géants de la distribution européens..

                  Commentaire


                  • #10
                    Gazprom est un géant qui peut aujoudr'hui faire pipi la où il veut et peut se permettre de perdre son dentier pour en refaire un autre dans l'heure qui suit..ce n'est pas le cas pour sonatrach, qui fait office d'agneau effarouché.
                    Le gazier russe Gazprom, a lancé sa filiale de distribution à la fin de l'année 2006 sur le territoire français, nommée Gazprom Marketing & Trading France.

                    C'est justement cet argument d'hégémonie "Gazpromienne" qui inquiète les européens en général et la France en particulier.

                    Sonatrach n'a certes pas une longue experience dans la distribution, qui néanmoins n'est pas un créneau de haute technologie. Un partenariat Sonatrach-GDF est à mon sens interessant.
                    Dernière modification par jawzia, 13 mars 2007, 18h07.

                    Commentaire


                    • #11
                      Je suis pas sure que c'est une bonne chose pour l'Algerie, d'etre actionnaire de GDF ou autre chose en europe, je crains le pire (une nouvelle Maguoulle, ou une nouvelle Khalifa Bank ), car les Francais ne sont pas si gentille que ca , et ils connaissent tres bien le buisness et leurs interets, le mieux et de faire des prospections en Afrique et en amerique latine, la bas, il y a du pain pour tout le monde.

                      Tout ces contrat et ses visites ne me donnent pas envi de rire mais plutot j'ai peur pour notre pays, qui a chaque fois ce fait entuber .

                      Je dis a Boutef, retient toi, pas de traite' ni actionariat , ni autre chose, plutot vendre le GNL, ca suffit. tanque aucune grande firme de technologie, d'agroalimentaire, d'assurance, de tourisme, ......ne s'ínstalle pas et ne produisent pas en algerie.

                      Car le moidre faut pas de notre gouvernement doit etre sonctionne', faut que le peuple reste eveille', sinon l'ombre de 1989 reviendra.


                      Cela dis, il faut que l'algerie reste dans la politique politicienne et ne pas melanger les genres, on est un petit pays, et on dispose d 'aucun moyen de force ou de pression, vu qu'on importe tjrs notre ble'de France a prix fort en plus. donc, faut pas se prendre pour le nombrile du monde...

                      Cela dis s'íl arrive deja a regler le probleme du lait :20: , c''est deja tres bien... a mon avie faut rester sage
                      Dernière modification par racdavid, 13 mars 2007, 18h12.

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                      • #12
                        >>>tout en maintenant le meme controle sur la Sonatrach et les memes taxes sur les revenus.

                        Double6

                        C'est toi qui le dis, l'ouverture du capital dans le sens international du terme signifie que toi et moi les autres, tout le monde peut acheter des actions..

                        les lois algériennes sont trop permissives, et nous ne sommes pas les US..eux ils peuvent virer un l'investisseur emirati qui voulait contrôler les docs US parceque c'est la première puissance mondiale..

                        L'algérie peut à peine rouspeter sur ses tarifs de gaz et encore, j'imagine un peu les décideurs chez nous fermer le robinet parceque on leur créer des misères...

                        L'algérie ce n'est qu'un petit pays encore trop fragile...mieux vaut s'ouvrir doucement la porte, on ne saiit jamais qui est derrière...

                        En bon politicien que tu es, tu dois savoir naviguer au gré de la real-politik...

                        Dis mois pour que je puisss changer un peu mon avis sur les legislatives, le RND est pour ou contre la loi de Khelil ?

                        S'il est contre indique moi un bureau de ton parti pour que je puisse prendre une carte de militant

                        Commentaire


                        • #13
                          Salut citoyen,

                          Il n'a jamais ete question d'ouvrir le capital de la Sonatrach dans cette loi. Il etait question d'ouvrir le marché. Sinon pour la réponse: désolé de te decevoir mais le RND soutient la loi de Khelil. Le FLN par contre en a fait son antéchrist, donc si ca peut te consoler

                          Au plaisir,
                          66

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                          • #14
                            >>>Le FLN par contre en a fait son antéchrist, donc si ca peut te consoler

                            saha double6
                            Pas beaucoup, et je ne crois pas du tout en l'antéchrist du FLN, c'est une imposture.

                            Il y eu des pressions de la part de l'opinion publique, des gens qui ont le coeur gros pour leur pays, ceux qui ont expliqué avec des mots simples et accessibles les conséquences attendues d'une telle loi...bref...

                            Le vautour fait encore de grands cercles en vol plané, alors la vigilance est de rigueur...

                            >>>Sonatrach n'a certes pas une longue experience dans la distribution, qui néanmoins n'est pas un créneau de haute technologie. Un partenariat Sonatrach-GDF est à mon sens interessant.

                            Oui une prise participation avec un transfert de technologie notamment en ce qui concerne, la facturation, le réseau, l'engineering permettrai de propulser un peu ces métiers et les reverser sur le territoir, autrement un échange de capital serait totalement merdique, ils vont se faire balayer...
                            ou bien encore proposer sonelgaz, au lieu de SONATRACH ce qui me semble convenir d'un point de vue métier...

                            Commentaire


                            • #15
                              En effet Doubl66 ! Il s'agissait plutôt d'ouvrir le marché.

                              Sinon, sarko est un petit malin. J'aimerais bien voir les points de cette alliance qu'il désire enre GDF et Sonatrach... veut'il voir la création d'une joint-venture en France, en Europe, en Algérie ? Quelle serait son rôle ? Qui détiendrait quoi ? On n'en sait trop peu pour l'instant pour pouvoir se prononcer. Wait and see...
                              La mauvaise langue n'est jamais à court d'inventions !

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