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Vu l'intérêt Historique, Archéologique et cultuel qu'elle présente. Le classement de La Casbah de Bgayet sur la liste du patrimoine mondial est aujourd’hui nécessaire.
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L’Unesco au chevet de La Casbah de Béjaïa
Ce projet a pour objectif de favoriser un environnement culturel et architectural permettant de promouvoir particulièrement le patrimoine de La Casbah de Béjaïa
Une mission de l’Unesco devrait rallier, ce matin, Béjaïa avec, pour feuille de route, la réalisation d’une étude visant à inscrire La Casbah sur la liste du patrimoine architectural mondial. Elle devrait préalablement être reçue par nombre d’autorités locales dont le wali et le P/APC de Béjaïa ainsi que des représentants de la société civile, particulièrement le Groupe d’études sur l’histoire des mathématiques à Bougie (GEHIMAB). Cette mission s’est déjà entretenue, à Alger, avec des responsables du ministère de la Culture.
Ce projet a pour objectif de favoriser un environnement culturel et architectural permettant de promouvoir particulièrement le patrimoine de la Casbah de Béjaïa, déjà classée patrimoine national par le gouvernement algérien sous l’ordonnance n° 67-281 du 20 décembre 1967 relative aux fouilles et à la protection des sites et monuments historiques et naturels.
"Le classement de La Casbah de Bgayet sur la liste du patrimoine mondial est aujourd’hui nécessaire. Ce sera le meilleur hommage qu’elle puisse recevoir pour le rôle qu’elle a joué et l’essor qu’elle a connu tout au long des siècles passés", confie Kamel Bazizi, architecte-urbaniste, membre de la mission de l’Unesco.
"Notre intention est de valoriser la diversité culturelle et d’encourager le dialogue entre les cultures et les civilisations à travers les différents savoir-faire. Par l’intégration des volets éducation, mise en valeur des ressources humaines, sciences et communication, nous souhaitons contribuer au développement durable par la création des moyens de subsistance pour les plus vulnérables. Il s’agit donc de contribuer au partage des connaissances par le biais des projets-pilotes interdisciplinaires", poursuit notre interlocuteur. Outre M. Bazizi, font partie également de cette mission MM. Mohamed Ould-Khattar, spécialiste du programme Culture au bureau de l’Unesco à Rabat, Bernard Wagon, architecte- urbaniste-expert auprès de l’Unesco.
- La depeche de Kabylie
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L’Unesco au chevet de La Casbah de Béjaïa
Ce projet a pour objectif de favoriser un environnement culturel et architectural permettant de promouvoir particulièrement le patrimoine de La Casbah de Béjaïa
Une mission de l’Unesco devrait rallier, ce matin, Béjaïa avec, pour feuille de route, la réalisation d’une étude visant à inscrire La Casbah sur la liste du patrimoine architectural mondial. Elle devrait préalablement être reçue par nombre d’autorités locales dont le wali et le P/APC de Béjaïa ainsi que des représentants de la société civile, particulièrement le Groupe d’études sur l’histoire des mathématiques à Bougie (GEHIMAB). Cette mission s’est déjà entretenue, à Alger, avec des responsables du ministère de la Culture.
Ce projet a pour objectif de favoriser un environnement culturel et architectural permettant de promouvoir particulièrement le patrimoine de la Casbah de Béjaïa, déjà classée patrimoine national par le gouvernement algérien sous l’ordonnance n° 67-281 du 20 décembre 1967 relative aux fouilles et à la protection des sites et monuments historiques et naturels.
"Le classement de La Casbah de Bgayet sur la liste du patrimoine mondial est aujourd’hui nécessaire. Ce sera le meilleur hommage qu’elle puisse recevoir pour le rôle qu’elle a joué et l’essor qu’elle a connu tout au long des siècles passés", confie Kamel Bazizi, architecte-urbaniste, membre de la mission de l’Unesco.
"Notre intention est de valoriser la diversité culturelle et d’encourager le dialogue entre les cultures et les civilisations à travers les différents savoir-faire. Par l’intégration des volets éducation, mise en valeur des ressources humaines, sciences et communication, nous souhaitons contribuer au développement durable par la création des moyens de subsistance pour les plus vulnérables. Il s’agit donc de contribuer au partage des connaissances par le biais des projets-pilotes interdisciplinaires", poursuit notre interlocuteur. Outre M. Bazizi, font partie également de cette mission MM. Mohamed Ould-Khattar, spécialiste du programme Culture au bureau de l’Unesco à Rabat, Bernard Wagon, architecte- urbaniste-expert auprès de l’Unesco.
- La depeche de Kabylie